«Ceux qu'on a vu danser ont été pris pour des fous par ceux qui n'entendaient pas la musique» disait Nietzsche.
D'un coup je me sens inspiré ,
Mais ce que je dirai , restera mépriser.
A toi celui qui se croit connaisseur ,
A toi le fameux sujet menteur ,
Crois tu encore pouvoir me faire taire ?
M'as tu regardé quand j'étais par terre?
N'est ce pas nous que tu disais vaut rien?
Alors qu'en réalité on t'a multiplié par rien.
N'est ce pas toi qui nous disait bandit?
Sais-tu ce que fait ta fille avec son ordi?
N'est ce pas toi qui nous disait ignorants?
Sais-tu que vivre ce n'est pas intelligent ?
Connais tu déjà ce qu'est la vie ?
Si oui, c'est dans l'obscurité que tu vis.
L'heure est grave :
Les menteurs sont hélas, les plus braves.
Les ignorants hélas, les plus intelligents.
Suis-je le seul à avoir perdu l'espoir ?
Je suis condamné au prison du désespoir.
On se livre nous même à notre perte;
Les bras croisés, nos consciences inertes;
Ne rien faisant pour mettre fin à nos vices;
Je me regarde et j'hésite d'avoir un fils;
Mes raisons ? Je préfère ne pas le dire;
Sans mon passé je ne pourrais vivre
Relisez le texte intitulé «je m'en souviens»
C'est toujours moi le diable sinon ya rien.
Le mal devient de plus en plus accessible;
Le bien est parfois jugé inadmissible;
Nous l'avons cherché ces nombreux virus:
Le Sida, aussi sanguinaire que Spartacus,
Notre cher Corona, des morts par milliers,
Nous sommes impuissants, voire exténués
S'y ajoute, un peuple dénué d'humanité,
Avec toutes les imbécilités de l'autorité,
Et l'absence d'originalité de notre société
Et l'impossibilité d'une totale paisibilité,
On a donné raison aux occidentaux :
On s'entretue dans les hôpitaux,
L'argent passe avant la vie humaine.
La drogue c'est pour le fils du capitaine.
Ce dernier intervient, ok il n'a rien fait.
Ma fille est mieux que celle de Niokhor,
La fille de ce dernier travaille au port,
Elle tombe malade, je l'ai marabouté.
La mécanique, mon choix et ma passion.
Je suis à l'aise quand je suis à l'action.
L'école n'était pas de la merde, là je sais,
J'ai eu mon bac d'office, on m'a respecté.
La rue, c'est une jungle, c'est mon avis.
Après dites moi qui n'a pas été trahi?
Le sexe, du plaisir qui te prive de lumière.
Je le sais, oui on me traitait de pervers.
J'étais curieux, j'ai pris la weed un peu tôt.
Rien de drôle, ne l'approcher pas trop.
La chute cause une mort lente et fatale:
C'est la folie ou le camp pénal.
Tu te retournes, tu ne vois personne.
Et Tu te demandes si ça valait la peine,
De causer temps de bien par malchance.
Tu te sens seul même dans l'ambiance,
Et tu ne montres aucune faiblesse
Mais tu es vide d'émotion et en détresse.
Tu ne t'accroches plus à cette vie,
Morose sont tes journées cher ami
Le goût du plaisir, tu n'as plus.
En route vers la dépression, tu es.
Un vieillard de 21ans , tu es.
Douce nuit , tu ne connais plus.
Une quelconque lueur , tu ne vois plus.
S'évader devient presque impossible.
Être normale , tu ne connais plus.
Solitaire, tu deviens à moitié invisible
La solitude, je l'ai vraiment vécu.
Néanmoins de l'alcool j'en ai jamais bu.
J'ai fait beaucoup trop de promesses
Que je n'ai pu tenir, oui une belle impasse
Certains m'ont ignorés dans la rue.
Sûrement c'était à cause de mes pieds nus,
Ou mes habits pas présentable peut être.
Ne juge pas celui que t'as pas vu naître;
N'échangez pas votre dignité comme moi;
Ne faites surtout pas tomber votre toit;
Car sans dignité, nous sommes des bêtes
Même si pour nous, c'est l'autre la bête.
2020, c'était une très belle année,
Qui, était tout sauf une année de paix.
Mais, on a appris beaucoup de chosesEn dehors de nos activités en pause.
#Solitaire_Loco
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Refuge
Poesíaje dirai pas une histoire car j'en suis pas capable. Par contre ces Textes pourraient vous être utile. Y'a du tout : les vices de nos sociétés , la souffrance , les regrets , l'amour impossible , l'illusion que nous berce le vrai amour , la famille...