precious stone heart

38 - hard on the outside but if you give me time

- Je dois t'apporter des couvertures ? Celle qu'on a utilisé hier soir est lesté. En plus de peser 7 kilos, le tissus sur l'une des faces est pol-

Je tira vers moi l'écharpe à de son cou pour le faire taire, le rapprocher de moi et l'embrasser. Comme hier, l'excitation ne tarda pas à se manifester. Cette fois nous étions plus confiant et sûre de nos actes. Du moins j'espérais.

Jeno se pressa contre moi et tenu ma hanche qu'il avait marqué d'un bleu. Je passa mes bras au tour de son cou et retira ce qui lui tenait chaud. Ma langue de fraya jusqu'entre ses lippes. Je l'embrassa fougueusement, à pleine bouche. Tandis qu'il effectuait les mêmes mouvements que moi hier soir. D'abord avec sensualité mais une fois tout les deux plus durs, il passa au niveau supérieur.

Je grogna de plaisir lorsqu'il pressa nos deux bosses. Ses coups de rein la langoureux et instinctif... Mais bien vite il se stoppa et se releva.

- J-Jaemin... J'ai chaud...

Ses joues étaient rougis et son regard embrumé par le plaisir. Il voulait plus c'étais sûre...

- Est-ce que je peux te... Juste...

Sa main s'avantura sur mon membre durcit pour ensuite tirer légèrement l'élastique de mon boxer. Être nu avec lui ne me dérangeait pas trop... Mais je savais que l'étape supérieure allait être plus facilement accessible. Et ce n'étais pas ce que je voulais... En réalité, ça m'effrayait.

- Non... Je préfère pas. Je te l'ai déjà dis, je ne veux pas que tu me pénètres ou ce genre de choses.

- Je le sais mais je n'avais pas ça en tête. Je voulais juste... Sentir ta peau contre la mienne. Faire comme hier mais en baissant au moins nos bas... Je veux que tu me touche...

Je me traita d'idiot rapidement. Jeno ne cessait m'attendrir. Il aimait vraiment ses trucs d'adolescents aux hormones en feu. Avec lui je n'avais pas m'inquiéter, il n'allait rien tenter qui allait me faire du mal ou me forcer à faire quoique ce soit.

- Tu... T'en as vraiment envie?

Il hocha la tête l'air impatient et sûr de lui. Je me redresse pour être à sa hauteur et m'appuya contre la tête de lit. Je sortis nos deux membres de nos vêtements lentement. J'avais déjà pu voir la sienne une fois mais je ne pouvais m'empêcher de vouloir l'observer d'avantage. Il n'y avait vraiment pas de différence au niveau de ma taille, quoique la sienne semblait être plus épaisse.

Timidement mon doigts se glissa dessus. Je la sentis bouger d'elle même à mon léger touché. Le brun se raprocha un peu plus jusqu'a ce que nos glands puissent se toucher, puis juste après m'embrasser. Je me sentis rougir, c'étais comme si je découvrait moi corps avec lui, comme si je vivais une sorte de première fois.

Je décida de poursuivre son idée: je laissa coulé de la salive sur ma paume et pris nos verges durcis avec mes deux mains pour nous masturber. J'approfondis son baiser en instaurant une cadence au début lente et sensuelle. Les minutes passaient, seul nos souffles se mélangeaient, nos bouches se rencontraient, nos soupire de bien être et les bruits visqueux du au liquide transparent sur mes mains s'entendaient.

Nous étions tout le deux si dur l'un contre l'autre. J'avais encore du mal a croire que je touchais avec envie le pénis d'un homme. Qui plus est t celui de l'autiste. Et la vue était loin de me dégouter. Je regarda Jeno, en face de moi, qui se mordait la lèvres en grognant. Il était tellement désirable.

Mais en réalité, il était plus frustré qu'autre chose. Je lâcha un léger gémissement quand il commença frotter sa paume sur nos glands sensibles. Je reserra un peu plus ma poigne et mes muscles se contracterent à répétition.

- A-ah...~ Doucement...

Ses mouvements maladroit mais vigoureusement semblaient me paralyser quelques instants. C'était tellement fort et à la fois bon. On pouvait vraiment dire qu'il n'y allait pas de main morte. Je sentais mon bas ventre bouillir de plus en plus. J'avais du mal a me concentrer sur les mouvements que j'exerçais sur tout lougueur de nos sexes.

Le brun prit les devant et se redressa tout en continuant de nous torturer sans douceur. Malgré ça, son attitude, douce, contrastait complètement. Il ne cessait de quémander mes lèvres qui laissait s'échapper divers petits gémissements. Ses lippes parcouraient ma joue, mon cou ainsi que l'une de mes oreilles qui n'hesitais pas à lécher.

Les frottements de sa paume sur le bout de nos membres sensibles et humides s'intensifiaient. Je respirais de plus en plus fort, mes mains aggripaient finalement ses épaules et sa nuque pour marquer sa peau de mes ongles.

J'atteigna ma limite, mes gémissements s'emplifiaient dans la pièce heureusement bien insolé. Je me cambra soudainement et me déversa dans la main de Jeno, il venu peu de temps après en tenant fermement ma jambe qui tentais de se resserrer à l'autre dû a l'orgasme intense.

L'arrière de mon crâne fut contre le mur tandis que son front reposait sur mon épaule. Nous reprenons notre souffle lentement. Jeno stoppa ses mouvements petit à petit avant de nous torturer d'avantage après ce plaisir intense.

Étrangement je me sentais comme la dernière fois, en accord avec moi même. Je n'etais ni dégouté ni en colère. Seul la plénitude semblait être présente. Mais cette exercice m'avait épuisé, je ferma les yeux quelques secondes.

Je voulais me reposer quelques minutes avant de faire quoique ce soit. Mais en entendant des bruits étranges humides plus bas, j'observa le brun du coin de l'oeil. Sa nature bizarre avait reprit le dessus: il s'amusait encore avec nos deux semences, s'amusant à les faire devenir homogène. Je remarqua également le creux de mon oreille beaucoup plus humides. Je l'essuya en devinant qu'il avait sûrement dû y introduire sa langue.

Ce que j'allais faire ne me plaisait guère, par manque de mouchoirs, je retira mon t-shirt de pyjama pour essuyer ses mains et nos verges encore un peu dures.

- Toi et ta passion pour les fluides corporels... C'est vraiment dégueu'. Rassure moi tu n'es pas cannibale au m-

Je me raidis d'un coup en entendant des pas dans le couloir. Je fit comprendre, avec des signes, au brun de rester muet comme une tombe. La personne en question toqua puis ouvrit la porte de la chambre question. J'entendis la voix de Jaehyun se questionner elle même en ne trouvant pas mon collègue dans la pièce. Mon coeur rata un battement en entendant le même bruit au niveau de ma porte.

- Jaemin? Jeno est avec toi? J'entre...