Prologue :

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" I just keep on dancing, i just keep on dancing, you love me....."; sonna doucement mon téléphone .

Je l'éteinds en lâchant un grognement de mécontentement. Mon réveil indique une heure que je déteste voir tous les matins , montrant le début d'une nouvelle journée rempli de problème: 6h45.

Un flash.

Encore un

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Encore un. Quand est-ce que j'arrêterais d'avoir ceci?

Ma vie commence par se fichu réveil. Je me demande toujours pourquoi le travail existe! Si un jour je gagnais au loto j'arrêterais d'être avocate pour arrêter de défendre des petits délinquants pour qu'ils n'aillent pas en prison.
Ma vie est nulle en résumé. Je suis célibataire , vivant dans un appartement trop grand pour moi, dans le 16 ème arrondissement. Je sais c'est chic mais je n'aime pas trop.

Vivre dans le luxe ne m'a jamais plus. Je préfère vivre dans une petite maison, à la campagne, en train de me regarder un film. De tout façon une vie ne se choisis pas elle se construit.

J'ouvre mes rideaux et remarquent que le temps est gris et quelques gouttes ruissellent sur ma vitre.
Bon, encore une journée de flotte.

Je met mes chaussons et je sors de ma chambre pour aller dans ma cuisine-salon. J'y rentre tranquillement et je remarque quelque chose bougeant sur ma droite. Je m'approche discrètement de l'endroit et là, une personne me saute dessus. Cette personne était cagoulé et je ne pouvais voir que ses yeux bleus perçants .Il se met à califourchon sur moi, me rappelant un affreux souvenir. Des larmes coulent en y repensant. Quelques dessins de formes géométriques ayant une couleur légèrement violet apparurent sur la peau de mon agresseur. Il me disait quelque chose, ressemblant à un dessin que j'avais fait recamment.

Je me débats en donnant des coups sur son torse mais on dirait qu'il est fait en béton. J'essaye d'attraper n'importe quoi en retenant l'homme avec un bras, mais il le remarqua et me donna un coup sur la tête. Je ne peux apercevoir juste une arme de fortune dans sa main ressemblant à un bout de bois assez large. Un voile noir s'installa devant mes yeux et je m'effondre. 
Je pus entendre encore quelques mots du voleur:

-Mais que je suis bête il ne fallait que je fasse ça! Valentin ne sera pas fière de moi!

Avant de me retrouver plonger dans les ténèbres de l'enfer, complètement cette fois ci

Perdu et retrouvé [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant