DollHouse [Omegaverse KatsuDeku]

Chapitre 4 - Négociation et arguments de vente

          - Etes-vous sûr d'avoir de quoi payer jeune homme ? C'est une grosse somme d'argent... tente-t-elle pour me dissuader.

          - Vous les voulez en cash ou en chèque la vioc ? demandais-je volontairement insolent.

Elle grince des dents et ça me fait rire intérieurement. Puis elle tente de reprendre un sourire avant de regarder la foule à nouveau.

          - Nous avons donc 30 000. Quelqu'un à 31 ? Regardez-moi ce beau jeune homme, plein de santé... C'est une occasion qui ne se reproduira pas messieurs dames ! Et si vous passez la barre des 30 000 alors ce sera quand vous voudrez, où vous voudrez, et comme vous voudrez ! Vous aurez le contrôle de tout !

J'y crois pas... quelle sale pute. 

Sans mauvais jeu de mots. 

Personne ne voulait surenchérir et elle cherche de nouveaux arguments de vente. J'vais me la faire. Un homme accepte les 31 000. Puis une femme propose 31 500 et le sourire de la vioc s'élargit. Puis c'est au tour du vieux au costume gris de surenchérir. 

Je vois un éclair de terreur passer dans le regard d'Izuku et pour toute réponse je lui fait un clin d'œil. Les enchères, bien que timides, continue de monter de 500 en 500. 

Jusqu'à ce que je lance :

          - J'aime beaucoup vos arguments ! 37 000 ! (~300E )

De nouveau, silence dans la salle. Elle grince des dents. Fais pas cette tête, ça donne des rides. Ça va pas t'aider, sale pouf.

Elle appelle aux propositions, espérant que quelqu'un surenchérisse. Mais aucune voix ne se fait entendre. Et je sais déjà que j'ai remporté la vente. Si elle est réglo évidement. Mais elle fait bosser un Omega dans un bordel de Bêtas, alors elle ne l'est pas vraiment, donc je m'attends à tout...

          - Adjugé pour 37 000 à l'homme aux yeux rouge.

Je souris. J'ai gagné.

Mon regard se posent quelques instants sur les alphas perdant de la vente. Ils me fusillent du regard. Surtout le gars au costume gris. Et oui bande de vicelard, vous n'aurez pas sa première fois, elle m'appartient. Osez l'approcher de trop près et je vous colle un procès que vous n'aurez pas vu venir bande de dégénérés.

La pièce se vide petit à petit, tous les acheteurs s'en vont dépités alors que je suis extrêmement fier de moi. C'est un véritable plaisir d'avoir remporté cette vente, je dois bien l'admettre.

Alors qu'il n'y a plus que les travailleuses du bordel, Izuku et moi dans la pièce, celui-ci descend de scène et se dirige à vive allure vers moi, tout sourire. Mais la vioc l'arrête en l'attrapant par le col de sa veste avant qu'il ne puisse m'atteindre.

          - Avant toute chose, il va falloir payer mon cher, monsieur.... ? demande-t-elle pour avoir mon nom.

          - Katsuki.

          - Votre nom... ?

          - Pour vous, ce sera juste Katsuki. dis-je avis un plaisir non dissimulé.