Medhi: Ok. Raconte moi, libère toi.
Moi: Je t'aimais, je t'aimais à la folie. Je ne pourrais pas décrire ce sentiments de légèreté, de bonheur, et de bien être qui parcourais mon corps lorsque nous étions ensemble. Mais quand tu n'étais pas près de moi, je me sentais mal. C'était comme si mon propre coeur me bouffait de l'intérieur. La blondasse me répétais sans cesse que j'étais grosse, moche, et conne. Elle me disait que je ne servais à rien, et que je ne ferais jamais rien de ma vie. Je la croyais, je j'écoutais, et je faisait tout pour changer. Et puis elle m'a dit que vous vous étiez embrassés et que tu lui avez dit que tu l'aimais plus que tout.Je marque une pose pour reprendre mon souffle, car les mots sont sorties de ma bouche sont discontinuer.
Medhi: Nous ne nous sommes jamais embrassés, et je ne lui jamais dit que je l'aimais.
Moi: Je sais... A l'époque j'étais trop naïve pour réaliser. Quoi qu'il en soit je l'ai crû et j'ai rompu. Ensuite tu ne venais presque plus en cours. Tu trainé je ne sais où. J'ai commencée à fumer de plus en plus, à fréquenter les mauvaise personnes. Je suis devenu, d'après les médecins et les psys, anorexique. Je me piquais à l'héroïne, je sniffais. Je faisais des insomnies. Bref je suis devenu une horrible personne. Pas juste à cause de notre rupture, mais aussi car la pute me manipulais. J'étais cette jeune fille fragile et naïve. Quand j'ai compris ce qu'il ce passait c'était trop tard. Et toi je ne savais même pas où tu étais. Je me haïs, je la haïs, et je haïs le monde entiers ! Que touts ces cons aillent se faire fouttre! Je suis moi, point.
Medhi: Je suis désolé. Je suis partie un peu en couille moi aussi, certe pas à ce point, mais à ma manière. J'ai juste agit comme un lâche en évitant les problèmes. Je suis là maintenant. Et je t'aime.Je reste là, choquée. Franchement je ne sais pas quoi dire. Même après tout ce temps on peut encore s'aimer? Aucune idée.
Medhi: Dis quelque chose s'il te plait.
Moi: Je... Je suis juste un peu déstabilisée.
Medhi: Tu ne sais pas si ce que je ressens est réciproque, hein?
Moi: Je t'avoue que je suis un peu perdue en effet.
Medhi: Regarde moi dans les yeux.Je plonge mon regard dans le siens, il est si beau. Puis je regarde ses lèvres, puis de nouveaux ses yeux. Lui est moi laissons naviguer notre regards entre nos bouches, et nos yeux.
Moi: Embrasse moi.
Il penche sa tête inclinée vers moi, j'avance la mienne.
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sad girl=bad girl
Teen Fiction"Tu es grosse", trois petits mots mais une éternité pour les oublier. Yasmine Jamila-Salam, 17ans, bad girl, déménage en Floride et veut devenir la terreur de son nouveau lycée. Épaulée de ses nouvelles amies, la jeune fille pars a l'attaque, avec u...