Chapitre 6.

416 16 5
                                    

Les vacances ont enfin fait leur entrée, c'était l'occasion de partir au soleil avec mes amis et ma copine : direction la Corse. Nous sommes arrivés la veille et avons décidé de prendre un hôtel. Et actuellement, tout le monde se trouve à la plage à siroter un cocktail, ou comme moi, à s'amuser dans l'eau.

- Polak ?
- Quoi ?
- Tu peux nous écouter au lieu de matter Salomé comme ça ? Tu la vois tous les jours.
- T'es vraiment piqué, lance Tobi.

Je me contente de lever les épaules.

- Mais bien sûr qu'il est piqué ! Il peut pas passer un journée sans prononcer son prénom !
- Il l'a carrément en fond d'écran.
- Il lui tient la main devant tous les gars de la cité.

Voilà pourquoi je n'aime pas leur présenter mes copines. Je les laisse surenchérir et lève les yeux au ciel. Ormaz passe son bras sur mes épaules :

- Ça fait plaisir de te voir heureux mon frère.
- Merci, je souris.

Et nous passons le reste de l'après-midi à la plage.

En début de soirée, nous sommes rentrer nous changer et Sadam à été chargé de choisir le restaurant où nous avons dîné. Il a prit soin d'en choisir un avec une petite scène, une piste de danse et un bar. Alors je suis désormais assit, à en regarder certains se déhancher, mais surtout ma copine. Elle est tellement belle, je sens la pression des regards sur elle. Pendant que je la détaille, mon ami Elyo me bouscule doucement et me pousse à rejoindre les autres sur la piste, c'est vrai que la musique est bonne, mais on ne peut pas dire que je sois très à l'aise quand il faut danser. Je le suis sans grande conviction mais je finis par me surprendre à danser avec tout le monde et étonnamment j'aime bien ça.

- PLK de Brazil est dans la place ! crie Pablo.

Je rigole avec les gars et même si cette blague à suffit à me gêner, je reste et ma copine s'approche de moi pour m'entraîner. Je suis le mouvement.

Quelques heures plus tard, les gars décident qu'il est temps de rentrer à l'hôtel et une fois arriver, chacun regagne sa chambre après avoir souhaiter une bonne nuit aux autres.

Ma copine retire ses chaussures et se rend dans la salle de bain où elle s'enferme pour prendre une douche. Moi, je m'assois à bord du lit et ferme les yeux pour profiter du silence. La soirée a été bonne, maintenant je réclame juste de prendre une douche et de revenir profiter du lit.
Salomé termine sa douche et ouvre la porte alors je rouvre les yeux pour la regarder. J'aperçois sa silhouette dans le cadrant la porte de la salle de bain. Je ne vois ni son visage, ni ses sous-vêtements - si seulement elle en porte - je devine uniquement ses courbes. Elle s'approche lentement et je dois avouer que la pression monte en moi. Elle m'entraîne à ôter mon tee-shirt et me pousse doucement pour m'allonger. Aussitôt, elle se place à califourchon sur moi, prend appuie sur mon torse et je sens son bassin glissé au niveau de mon intimité, sur mon short. Mes mains viennent machinalement se posées sur ses hanches et de cette façon je me permet de détailler son corps nu sur moi. J'aurais tout donner pour la rencontrer plus tôt et profiter de ces plaisirs plus de fois.
Elle décide de se relever pour m'aider à retirer mes dernières couches de vêtements mais elle décide de ne pas se replacer sur moi. Salomé s'installe entre mes jambes et entreprend de me faire une petite gâterie que je ne peux refuser. Elle le fait si bien.
Quand elle a finit, elle reprend sa place initiale à l'exception de mes habits, me fait pénétrer en elle et se lance son bassin dans une danse fougueuse pendant que mes mains qui juste avant ça lui tirait les cheveux, parcours désormais son corps en prenant soin de s'attarder sur ses seins bien dodus. Les siennes se glissent de temps à autres dans ses longs cheveux avant de revenir sur mon torses pour lui fournir l'appuie dont elle a besoin.
Nos regards se croisent une fraction de secondes puis elles referme les yeux et balance sa tête en arrière pour gémir mon prénom. J'appuie alors mes mains sur ses fesses pour l'aider dans ses mouvements de bassins, ses fesses qui sont si fermes et musclés au passage, j'atteins l'orgasme dans un cri rauque. Elle se laisse tomber sur moi, je la sert, son dos pleins de sueur. Je dépose des baisers dans son cou et sa respiration se calme peu à peu. A cet instant, je prend conscience que mon cœur est prit en otage. Jamais plus je ne pourrais me passer d'elle, de son corps, de sa voix.

J'approche ma bouche de son oreille et chuchote :

- Je t'aime.

Je la sens sourire ; elle dépose un baiser près de mon oreille.

- Moi aussi.

Je souris et caresse son dos en passant parfois sur sa nuque jusqu'à ce qu'elle s'endorme et que je la fasse s'allonger sur le côté.
Je me lève doucement pour ne pas la déranger et me rend dans la salle de bain pour y prendre une douche et la rejoindre ensuite pour me laisser porter par le sommeil.

AimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant