Chapitre 2

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Roven : *sourire timide* Bonne fête Fran...

Ana & Nana : BONNE FÊTE NOTRE FRANÇOISE PRÉFÉRÉE!!

Françoise : Ohh merci merci, vous y avez pensé !

Nelly : Tant de cris à cette heure, qu'est-ce qu'il se passe là ? Même pour les morts vous n'hurlez pas aussi fort.

Nana : C'est la fête de notre petite Françoise héhé!

Nelly : Awn, comme c'est mignon, bonne fête à toi écoute.

Françoise : Merci c'est gentil.

Nelly : Bon, qu'y a-t-il de spécial prévu pour l'occasion ? Il faut bien faire un peu d'inédit ?

Ana : Alors effectivement, quelque chose est organisé, ne vous inquiétez pas pour ça ! *chuchote à Nana* Euh...On a quoi ?

Nana : *glisse à Ana* Pas grand choseOn va improviser

Nelly : *ironiquement* Bah alors les auteurs, vous êtes en panne dinspiration ?

Ana : Nooon, pas du tout ! On se disait quon allait dabord vous laisser présenter les termes du Roven : *sourire timide* Bonne fête Fran

Ana & Nana : BONNE FÊTE NOTRE FRANÇOISE PRÉFÉRÉE!!

Françoise : Ohh merci merci, vous y avez pensé !

Nelly : Tant de cris à cette heure, quest-ce quil se passe là ? Même pour les morts vous nhurlez pas aussi fort.

Nana : Cest la fête de notre petite Françoise héhé!

Nelly : Awn, comme cest mignon, bonne fête à toi écoute.

Françoise : Merci cest gentil.

Nelly : Bon, qu'y a-t-il de spécial prévu pour loccasion ? Il faut bien faire un peu dinédit ?

Ana : Alors effectivement, quelque chose est organisé, ne vous inquiétez pas pour ça ! *chuchote à Nana* Euh...On a quoi ?

Nana : *glisse à Ana* Pas grand chose On va improviser

Nelly : *ironiquement* Bah alors les auteurs, vous êtes en panne dinspiration ?

Ana : Nooon, pas du tout ! On se disait quon allait dabord vous laisser présenter les termes du chapitre 2.

Nelly : Qui sont ?

Nana : le no man's land, les étiquettes quon a oubliés hier et comment les infirmières agissent sur le terrain.

Nelly : Ok, pas trop compliqué, Roro, à toi lhonneur.

Roven : Toujours moi *soupir* Je suis sûr que tout le monde sait ce quest le no man's land, on voit ça en cours dHistoire

Nelly : Dis donc, monsieur tente de se révolter!

Françoise : Fais juste un petit rappel, cest pas trop long.

Roven : Soit, cest la partie entre les deux tranchées ennemies. Il est rare que les soldats y aillent par plaisir, parce que le terrain est boueux, les obus qui tombent font des trous partout et surtout, on peut se faire tirer dessus facilement, car on est très visible.

Nelly : OH! Une pointe dhumour sest fait sentir, je me trompe ? *regard moqueur*

Nana : Nelly ! Arrête de tacharner sur lui roooh.

Nelly : Ça va ! Ce nest pas bien méchant !

*Blanc*

Bref, puisque les taquineries ne sont pas tolérées, *lève les yeux au ciel* Françoise prend donc le relais.

Françoise : Bien bien, *séclaircit la voix* les étiquettes, oui On en a sur nous lorsquon part chercher des blessés à même le terrain. Celles-ci sont très précises, on y trouve lidentité du patient, à quel régiment il appartient, les blessures quil a et enfin, sur quel camp il a été trouvé! Cest plus efficace pour les infirmières davoir directement sa fiche de santé sur le patient plutôt que de se balader avec un gros carnet rempli de toutes ces notes, cela serait une perte de temps vu le nombre de trouvailles, de morts et de départs quotidiens. Quant à lidentité, elle permet de recenser les blessés et éventuellement de prévenir leurs familles en cas de mort.

Ana : Merci beaucoup Françoise pour ces explications. Nelly, toi qui es la plus ancienne et donc la plus expérimentée, peux-tu nous expliquer le fonctionnement des diagnostics faits sur le terrain ?

Nelly : Mais bien sûr. Tout tient en un seul mot, e f f i c a c i t é ! Le terrain est le milieu le plus hostile de tout le champ de bataille. Si on peut y aller pour récupérer des blessés, le temps y est compté et toutes les secondes sont importantes. Alors lors des formations on apprend aux futures infirmières quelles doivent être capables de diagnostiquer en 15 à 20 secondes le soldat et estimer si on peut le sauver ou non. Cest très compliqué au début, déjà parce que la plupart étaient des civiles non soignantes auparavant, mais surtout, il paraît immoral de devoir juger qui on peut sauver ou non la vie de quelquun. Cest angoissant parce quon ne doit pas faire derreur. Cest une très lourde responsabilité.

Nana : Effectivement, cela semble grave de devoir trier sur le volet qui est digne dêtre sauvé ou non.

Nelly : Je men rends bien compte, mais il faut penser quon a peu de temps et de ressources. Même si le poste de soin permet plus daide, ce nest pas non plus un hôpital hyper élaboré. Certes, les plus graves peuvent être transférés dans un vrai établissement de soin, mais cela prend du temps, demande du personnel qui ne pourra pas faire autre chose. Alors, oui cest épouvantable, mais on ne peut rien y faire. Il vaut mieux sauver cinq vies que sacharner sur une dont on sait quelle va finir par mourir dans les heures qui suivent. En soi, si on réfléchit ainsi, ce n'est pas cruel, cest logique.

Ana : Mouais, ça reste quand même dramatique

Françoise : Elle n'a pas dit le contraire !

Nana : Bon ! Pour ramener un peu de bonne humeur et de légèreté, moi je dis on va aller manger un bon gâteau pour célébrer ta fête Françoise !

Tous en coeur : Ouaiiiiis !

Nelly : Stop stop attendez Elle est où l'exclusivité sur Françoise ? Vous navez rien cest ça ? Ahah, je le savais ! Quelles auteurs indignes ! *se moque* Alors ma pôv chérie, pas de cadeau pour toi, et elles nassument pas en plus ! Elles essayent de changer de sujet avec leur gâteau!

Nana : Hep la mauvaise langue, je tarrête tout de suite, il y a bien quelque chose de prévu ! Ce sera dans les bonus personnages !

Ana : Et le premier sera évidemment en lhonneur de notre petite Françoise ! Il sera publié en même temps que le prochain chapitre !

Françoise : Juste Jsuis pas si petite que ça hein !

Ana & Nana : Cest affectiiif !

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Voilà le bonus sur le chapitre 2 à l'heure puisqu'il a été fait la veille ! Pour une fois !

Le guide - Un ange à VerdunOù les histoires vivent. Découvrez maintenant