Chapitre 1

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Voici mon histoire, j'espère sincèrement quelle vous plaira, si oui, faite moi le savoir en commentant! Oh! Et je voulais dédiez cette histoire à ma meilleure amie, qui m'as donner le courage de me publier sur wattpad, je ne la remercirai jamais assez! Cette histoire, j'y tiens beaucoup alors Svp, pas trop de commentaires négatifs? J'accepte les idées avec grand plaisir! Si vous vous chercher de la lecture, j'ai comencer une nouvelle histoire, sa s'appelle Outre-Mer, allors allez la lire en grand nombre! :) Sur ce, Bonne Lecture! 

Marie-Rose

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Rose Ross, Les Enfants de la Lune

Enfin! Après deux longs mois en mer, nous étions finalement arrivés. L’air salin avait définitivement incrusté mes vêtements, ma peau et mes cheveux. Je leva la tête et vit le soleil qui rayonnait  dans le ciel.

Le premier mois se passa sans apercevoir la terre ou un quel qu’onques signe de civilisation, même pas un oiseau! La mer avait été calme tout le long des six premières semaines puis un vent froid avait envaillit l’atmosphère et était repartit aussi vite qu’il était venu. Le beau temps ne nous vais plus quitter depuis.

Il y a de sa une semaine environ, nous avons croisé des îles, sur lesquelles se dressaient des arbres étranges avec de gros fruits marron à la chaire blanche et délicieuse. Puis, il y a deux jours nous avons aperçu une longue lande de terre, qui se dessina peu a peu pour devenir un continent nommé l’Amérique.

Aujourd’hui, nous sommes entrés dans le port de Boston, ou un officier nous a indiqué un kiosque d’immigration. Le soleil tapait sur nos crânes, puisque qu’il n’y avait aucun nuage. Nous avons fait la file durant de longues heures, puis ce fut enfin à notre tour.

-Bienvenue en Amérique, nous dit l’officier, Vos noms? Votre pays et votre ville d’origine?

-Terrence Joshua Ross et ma fille, Rose Elizabeth Ross, Nous sommes Espagnols et nous venons de Santa Carla, proche de Barcelone, dit mon père.

L’officier pris un rouleau de parchemin et griffonna ces quelques informations sur nous.  Le bruit du papier contre sa plume me fit grincer des dents. Il nous posa une série de questions, puis il griffonna nos réponses dans son parchemin. Il posa sa plume et estampa le parchemin avec un sceau de cire rouge.

-Nous avons une carriole attelée de deux chevaux pour vous. Prenez-la et  dirigez vous vers l’est pendant une demie journée. Vous arriverez à un petit village nommé Westmont, prenez la route principale et vous pourrez voir des terrains avec des drapeaux blancs. Tous ces terrains son libres. Vous avez droit de choisir le terrain que vous voulez, seulement  vous n’avez droit qu’à un seul.

-Nous n’avons rien à payer? Même pas pour  l’immigration? Ni pour le terrain? Dit-je, très impressionnée du fait que l’on pouvait donner des terrains à tout le monde car chez nous, il n’y a plus aucuns terrains libres, seulement des terrains que l’on donne de génération en génération.

-Non ma p’tite fille, dit l’officier, pas le moindre centime!

Je rageai interrieurement. Jai dix-sept ans! Je ne suis plus une petite fille! Je retins des propos désobligeants envers l’officier.

-Nous vous remercions infiniment! N’est-ce pas, Rose? Dit mon père en me gratifiant d’un regard pesant.

-       Oui père, dit-je, abattue.

Nous descendirent nos maigres bagages de la cale du bateau et nous chargeâmes la charrette. J’embarquai dans la charrette en premier et aidai mon père à embarquer à son tour. Ce n’est pas très facile  pour lui avec sa jambe de bois, après tout.

Rose Ross, Les Enfants de la LuneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant