[Iwaizumi x Oikawa]
Oikawa emménage dans son nouvel appartement et fait la rencontre de son voisinage fort sympathique, dont Hajime Iwaizumi. Il est beau, fort, charismatique et sa voix sensuelle l'hypnotise. Bref, c'est l'homme parfait.
Petit hic :...
Note de l'auteure : Bonjour, bonsoir à vous ! On se retrouve cette fois-ci avec du IwaOi, ship que j'affectionne particulièrement. Les chapitres seront assez cours, tout comme l'histoire, mais les publications seront rapides ; il ne me reste que des relectures à faire. Ces deux-là m'inspirent des interactions qui me font beaucoup rire et du bien au moral (j'espère réussir à le transmettre correctement).
Sur ce, j'espère que vous aimerez cette histoire, alors bonne lecture à vous !
------------------------------
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Le dernier carton fut posé dans le salon éclairé par les rayons du soleil déclinant qui passaient à travers la baie vitrée menant au petit balcon, où il se voyait déjà prendre de délicieux petits-déjeuners, et Oikawa se redressa, les mains posées sur les hanches, satisfait.
— Oh, je n'avais pas fait gaffe que le soleil se couchait sur la droite... C'est super, j'aurai le soleil toute la journée, souffla-t-il en admirant la vue.
Matsukawa et Hanamaki, tous deux affalés sur le canapé installé plus tôt dans la journée, tournèrent la tête pour suivre son regard et hochèrent la tête pour montrer leur accord. Ils étaient tous deux épuisés et ne voulaient plus gaspiller la moindre énergie en de futiles paroles.
Le bruit d'un tramway passant au bas de son immeuble se fit entendre avec les fenêtres ouvertes et Oikawa trouva cela apaisant. Il appréciait énormément l'énergie de la ville, tous ses bruits, ses nombreux habitants hétéroclites, comme si elle était une immense fourmilière.
Il se retourna pour fermer la porte d'entrée et fit à nouveau face à ses deux meilleurs amis. Hanamaki avait laissé tomber sa tête sur l'épaule de son comparse et avait les yeux fermés, prêt à dormir. Il faut dire qu'ils n'avaient pas chômé. Le nouvel appartement d'Oikawa se trouvait au cinquième étage et l'ascenseur en panne avait failli faire fuir le rosé, retenu par ses amis. En se retroussant les manches et munis d'une bonne dose de courage, ils avaient réussi à monter toutes les affaires du châtain. Par chance, il s'agissait d'un appartement en grande partie meublé et le plus compliqué pour eux avait été d'amener le canapé jusqu'ici sans encombre, chose faite miraculeusement.
— Je vais vous faire à manger ! J'ai des paquets de ramens dans un carton quelque part... Bougez pas. — C'était pas notre intention, marmonna le brun.
Oikawa avait su être organisé pour ce déménagement, à la grande surprise de ses deux amis. Chaque carton avait un intitulé au marqueur noir, lui permettant de savoir d'un rapide coup d'œil ce qu'il contenait.
La cuisine était séparée du salon et les cartons prévus pour cette pièce y avaient été entreposés. Lorsqu'il trouve celui qu'il cherchait, il l'ouvrit et sortit trois sachet de ramens. Trouvant une casserole dans un autre carton, il la remplit d'eau et pendant qu'elle chauffait, il prépara trois bols tout en chantonnant.
