chapitre 8

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Rebecca était sidérée par sa découverte!

La porte de son appartement enfoncé!

Des hommes vetûs de noir assisent dans son petit salon!

Amira pleurant a tu tête!

Et pour en ajouter une couche a son malheur, Amir , lui faisait pression sur elle  pour qu'elle parte a l'aveugle dans un pays dont tout lui était inconnu. Et comme si ça ne suffisait pas, il était venu avec un femme d'âge mure pour l'aider avec ses bagages, violant son intimité. Elle lui bloqua la porte avec son petit corps. Oh non, il n'allait pas lui aussi envahir son intimité. Pas question!

-Vous n'entrez pas, déclara t-elle en haussant le menton.

Ce croyant dangereusement aguerrie de son charme, elle haussa une fois de plus le menton , esperant arrivée a la hauteur vertigineuse de l'homme. Peine perdue, cet homme lui dépassait d'une bonne tête. En se tordant le cou elle pouvait se faire mal. Au risque de se faire plus de mal, elle baissa un peu la tête et se carra devant l'homme, esperant se faire comprendre

Amir qu'en a lui grogna.

Instinctivement, il l'a prit par l'epaule pour se faire un chemin quand la jeune femme frissona sous sa paume.

Rebecca eu la sensation de toucher un fer comme si la marque de son touché laissait des traces indélebile. Elle sursauta et fit un pas en arrière pour éviter d'éveiller ces dangereux frissons pertubateurs. Pourquoi réagit t-elle ainsi? Que lui arrivait-il?

Jamais ô grand jamais , un homme ne l'avait mise dans cet état. La chaleur de sa paume était toujours enfoncé dans sa chair. Et secretement, elle mourrait d'envie qu'il la touche.

Assez , s'admonesta-elle dans son for interieur tout en s'accabalant de reproche.

Cet homme était dangereux.

Inutile d'essayer de s'en approcher.

-Je m'excuse de mon comportement, fit-il aussi troublé qu'elle, je voulais seulement verifié si Mala avait finit avec vos valises.

La jeune femme bouda serieusement.

Tout était de sa faute. Il l'avait forcé , la traînant de force dans pays lointain dont elle ignorait les moeurs et coutumes. Comment allait -elle faire privé de son concon? Son egoiste et son cynisme n'avait aucune limite. Elle reprima le plaisir de le gifler en pleine figure.

-Ne faites pas semblant, repliqua t-elle, avoué que vous êtes content car vous avez eu ce que vous vouliez.

Un sourire froid se dessina sur ses traits qui jusque la était impassible. Cet homme était d'une virilité palpable or pour une jeune jovencelle comme elle, il n'y avait rien a dire, elle était complement sous son charme.

-Vous ne m'avez pas laisser le choix

Effectivement, elle se retenait captive durant trois jours. Rebecca avait prit le soin de ne pas repondre a aucun de ses appels. Elle n'avait magnifesté aucune volonté et secretement, elle espérait qu'il lâche l'affaire. C'était mal le connaître. Les trois jours passés, il avait enfoncé sa porte, se fichant pas mal qu'elle fut dans le plus simple des appareil, envahissant son espace privé. Un sourire fière couvrit ses lèvres gracile.

Seigneur, elle aimerait tant lui faire avaler sa suffisance!

Rebecca eu un soupire tremblant.
Elle était sur le point de s'écrouler. Jamais , elle ne s'était sentit mise a un nues par un homme. Quelque chose lui disait que c'était loin d'être fini

Puis, Amir se retourna et donna des ordres a cette charmante Mala qui decampa aussi.

Pitié seigneur ne me laisser pas seule avec ce type, se plaignit t-elle

Rebecca arrivait même a regretter de l'avoir fait venir en France. Mais comment aurait-elle pu joindre les deux bouts avec ses maigres économies? Il en était de son devoir et l'avertir avait paru la meilleure solution, jusqu'a aujourd'hui.

-Rebecca je ne vous veux aucun mal, commença t-il avait de prendre une légère pose

Comme c'est charmant!

Pourtant elle peinait a le croire!

-Cet enfant est le mien, continua t-il en la regardant, non en la dévorant du regard.

Elle se sentit soudainement nue.
Pour éviter ce dilemme, elle fixa un point invisible.

-Comme tout bon père,il est de Mon devoir de veiller a ce qu'elle ne manque rien.

Cette fois, Rebecca posa un regard paniqué sur le jeune cheihk. Était-il serieux? Il y avait anguille sous roche. Elle ne fit aucune commentaire pourtant, elle en avait cruellement envie.

-C'est la raison pour laquelle j'ai prit une telle decision. J'aimerais que tu le comprenne. A Zubran, tu serras en sécurité et a l'abris des journalistes.

Le dénouement médiatique ne l'effrayait pas. Elle en avait subit les retombées depuis des jours. Amir avait l'air de s'y connaître mieux qu'elle ,lui qui avait passé sa vie sous le feux des projecteurs. Bien que son initiative lui augurait bien des problèmes, elle abdiqua tout en se traitant mentalement de stupide. De un, elle n'était pas la mère d'Amira et de deux , elle n'avait aucune envie de le suivre jusqu'a l'autre bout du monde. Par simple caprice!

Zubran....

A mille lieux d'ici...

Avait-elle le choix?

Cet homme n'était certainement pas l'habitué a ce qu'on lui dise non. Elle en avait la preuve, sa pauvre porte avait été défoncé de manière brutale. Tout cela l'agaçait au plus au point.

-J'espère que tu es d'accord. Je le fais pour le bien d'Amira

Son expression se durcit légèrement pour se faire comprendre. Dans quoi s'était-elle embarquée? Se reformula t-elle avec déception Elle était en proie a de vague inquietude si bien qu'elle grommola un petit oui entre les dents.

-J'oublie une chose,

Encore?

Pendant combien de temps allait -elle supporter sa présence?

Amir retourna sur ses pas et attrapa son menton. Ahurie, elle poussa un petit râle de surprise, les grandes mains du cheihk avait attrapé avec puissance son petit visage ne l'a laissant aucun repis. Leur regard était soudé, seul une milième de centimetre les separait. Son souffle semblait percuter le sien. Si aujourd'hui, elle se doutait de sa virilité et sa beauté diabolique, Rebecca en avait la preuve juste devant ses yeux. Elle était sur le point de tituber, quand par dessespoir elle le toucha. Oh non, elle toucha la texture si soigné de son costume. Pourtant, elle avait l'impression de le toucher. Rebecca était dans tout ces états. Le désir crescendo enflamma son bas-ventre ce qui la fit trembler de tous ses membres et en espace de quelque seconde

Le regard qui fut doux ce changea en terreur sous ses yeux. Ce fut violent



-A l'avenir évite de me contredire jeune fille, déclara t-il d'un ton sec, je suis un homme dangereux et je sais me montrer sans pitié. Prends garde!




Puis, il la relâcha.

Rebecca déglutit.

Cet homme lui avait fait froid dans le dos. Et bizarrement, elle le croyait capable du pire. Qu'arrivera t-il quand il decouvrira qu'Amira n'était pas sa fille?

Elle était perdue!






























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L'otage du cheikh /Tome 1 Saga; Prince Du DesertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant