chapitre 11☀

4.4K 521 16
                                    

Une horde de journalistes les attendaient déjà quand ils sortirent du jet privé. Reb s'entoura de ses bras et suivit Amir en titubant. Dieu, elle n'avait jamais vu cela bien qu'a Paris elle était constamment harcellée par des paparazzi. Amir attrapa sa main et la serra dans la sienne, ce qui la rassurra bien plus que les mots ne sauraient le faire. Bien vite, son équipe de sécurité fit un parages pour décourager les petits curieux. Reb frissona quand le cheihk lâcha sa main pour la serrer par la taille. Elle fit l'impossible pour ne pas en être troublé ce qui lui paraissait une montagne russe. Son attirance pour Amir était indéniable.

Son équipe leur frayèrent un passage et c'est ainsi qu'ils durent montés dans l'une des voitures qui les avaient attendu. Une fois sur la banquette arrière, Reb soupira rudement.  Elle était faible et la chaleur ne l'aidait pas a se sentir mieux. Sans aucun commentaire, Amir déposa Amira a ses côtés. Il l'avait porté depuis leur sortit du jet jusqu'a la voiture. Cette dernière dormait paisiblement, en douceur, Reb la souffla et la cala sur elle en carressant ses magnifiques boucles blondes.

Elle eu petit soupire et dormit a point fermé. La présence d'Amira lui fit oublié temporairement l'homme doté d'une virilité dangereuse qui était assit a ses côtés. Il s'était encore changé. Obtant pour une chemise bleue ciel et un pantalon noir. Dieu qu'il était beau. Elle le regarda a la dérobé, maître de la situation, il était assit comfortablement en pianotant son portable, affectant d'un ennui profond. Le sillage de son parfum musqué planait dans la voiture resemblant dès lors, a un petit cocon. La jeune femme se retourna vivement. Elle eu chaud tout a coup. Cet homme était faite de beton.

Et l'achitecture parfaite de son corps lui faisait sembler a un dieu grec dans toute sa splendeur.

-Je suis désolé, fit-il a sa plus grande surprise , tout cela n'avait pas été prémedité.

Reb , fit un <ok> faible comme un mumure. Elle qui croyait qu'ils devraient s'en résumé a un bonjour ou bonsoir , la voilà surprise. Quand bien même sa douce voix enroulée d'accent l'avait captivé, elle fit l'effort de se rependre. Il était hors de question qu'Amir s'en rende compte de sa fragilité au risque de compliqué sa situation.

-Comment est-ce vous faite? Tout parait si naturel....

Au comble du supplice, le cheihk l'entraînait sur un chemin perilleux. Essayait-il de la tester? De lui faire avoué son impardonnable action?
Et bien, il avait reussit car, en se moment même, elle était terrorisé. Reb chercha ses mots avec toute la prudence du monde.

-Amira est un ange, répondit t-elle en esperant qu'il se calme. Elle ne pleure presque pas.

Amir fonça les sourcils.

-C'est drole parce que ma mère s'était toujours plaigné de mon comportement quand j'étais bébé. Elle disait souvent que Fadir,mon frère, était calme alors que moi , j'étais une vraie plaie.




Le sol semblait ouvrir sous ses pieds. Et pire, Amir la jauglait du regard, un regard désapprobateur qui lui coupa presque la respiration. Et dire qu'elle avait crû se debarrasser de ses doutes, Reb avait la sensation de s'être enfoncé dans un sable mouvant.

Dit quelque chose!









-Elle tient cela de moi, affirma t-elle
Ou de Melia


Amir ne parut pas convaincu le moins du monde. Longeant sa main, il se mit a carresser les petits boucles d'Amira

-Comme par exemple ses cheuveux qu'elle tient d'ailleurs de vous




Son coeur s'arrêta de battre.
Cet homme était un monstre a n'en pas douter. La jeune femme frôla l'infractus quand il toucha ces cheveux a elle. Des insupportables frisson la torturait. Maudit frisson!
Elle s'humecta ses lèvres quand il défit son chignon et glissa une main autoritaire dans ses cheuveux. Ils étaient a l'air libre, attendant soigneusement ses carresse. Si provisoirement , les questions embarrassantes n'était plus d'actualités, Reb ne se sentait pas rassurer pour autant. Ils étaient a deux doigts de se toucher ou plutôt leur corps. Reb se tint droite ,raide comme un piquet et pria le ciel pour que cela s'arrête

-Tes cheuveux, déclara t-il en tirant une mêches. Ils sont magnifiques.



Reb était rouge malgré sa couleur de peau. Elle murmura un faible merci au cheihk. Et quand sa grande main descendit sur son visage ovale, elle se crû vaciller ou pire, elle était en état de choc. Sa paume était rugeuse mais douce,signe qu'il ne passait pas sa vie enfermé dans de magnifique appartements a jouir de ses privilèges. Son torse était ouvert et la jeune femme crut voir la naissance d'un tatouage qu'elle n'en saurait déterminée la forme. Tout cela le rendait si sexy. Ses joues s'empourpèrent de honte en songeant a cela. Ses carresses étaient divins, son touché délicieux. Et l'effluve de son parfum musqué lui tintilla les narines. Cet homme était le symbole même de la force. Indéniablement, il était sans nul doute un excellent amant, Reb en avait la certitude.


Ses pointes de seins se durcissait sous sa chemise et elle en avait horreur.

Quand a coup, la magie s'arrêta. Amir se retira doucement et ouvrit la portière. Ils étaient arrivés.

Bon sang, elle n'avait rien vu

Elle mit de l'ordre dans ses cheuveux et sortit a son tour. Elle ressemblait a une femme qui venait de faire l'amour! Que diront les gens s'ils la voyait ainsi? Elle s'était abandonnée comme une vulgaire depravée. Pourtant, ils n'avaient rien fait. Le cheihk l'avait seulement touché le visage. Elle se tira de sa torpeur quand elle entendit une voix s'adresser a lui ;

-Bienvenue chez toi mon fils


Reb leva les yeux et fut subjugé. Le palais respirait le luxe. Tout était parfait ,féerique même. Tes serviteurs s'inclinèrent respectueusement et s'occupèrent de leurs bagages

-Vous êtes la mère de ma petite fille, ajouta la dame en s'approchant d'elle.

Elle carresa les cheveux d'Amira d'un geste maternel quand soudainement elle s'arrêta, comme frappé d'une charge électrique. Etonné, la dame leva la tête et la regarda de plus près, ou du moins ses cheuveux. Elle ne fit aucun commentaire et les intima a la suivre. Reb, alla partir quand quelqu'un la bloqua dans son élan. Une poigne l'avait arrêter dans sa course

C'était celle d'une femme d'une beauté incroyable. Les cheuveux noires et long descendèrent en cascade sur sa taille. Elle avait l'apparence d'une femme tout doit sortit d'un magazine de mode. Habillé sans attrait, Reb avait honte d'elle même quand avec horreur elle déclara;


-Reste tranquille dans ton coin petite chose sinon ta batârde et toi finira la tête tranché


































Votez!







Commentez!






Partagez!

L'otage du cheikh /Tome 1 Saga; Prince Du DesertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant