L'otage du cheikh /Tome 1 Saga; Prince Du Desert

chapitre 12☀

Reb était glacée.

La main sur la gorge, elle fit le maximum pour ne pas perdre Amir. Ses lèvres tremblaient. Cette femme lui avait donné des sueurs froides.

Reb se retourna lentement pour voir si la femme qui l'avait menacé était toujours dans les parages. Elle eu un soupire de soulagement en comprennant qu'elle n'y était pas. Probablement, elle s'était enfoncée dans les jardins.

Dieu du ciel!

Elle eu la peur de sa vie. Amira sur ses épaules, elle franchit le grand hall du palais qui était magnifique. Décoré d'un ton chaud, il souffrait d'une opulence a n'en pas douté. Des oeuvres d'art ornaienait parallèlement les murs. Des grosses colonne surplombait la vaste pièce. L'achitecture était magnifique qu'eu l'impression de venir dans un paradis.

Momentanément, elle oublia les menaces qui lui avait donné la chair de poule pour se reconcentrer sur l'interieur du palais. Quittant le grand hall, Ils prirent directement le chemins des grands couloirs du palais. Ces derniers étaient tous aussi magnifique. De plus l'achitecture était doté de matériaux précieux ; bois rare, marbe colorés, mosaïque a fond d'or. De nombreux décors céramiques occupaient le sol et les murs y presentant des motifs extremement variés.  Reb se retourna sur elle , la bouche entre-ouverte. Jamais , elle n'avait vu cela.

Elle se crû plonger dans le suréel tant le palais était majeustueux. Amira qu'en a elle était subjugé. La petite souriait et tirait les cheveux de sa mère de fortune. Reb grimaca légèrement puis , se reprit pour constater avec horreur qu'Amir la regardait ainsi que sa mère. Honteuse, elle balbutia une excuse avant de les suivres. 

Mon Dieu!

Elle s'était laissée emporter de la pire des manières. Quand elle s'arrêta enfin. Ils étaient devant une porte. Des motifs qu'elle ne reconnaissait pas y étaient inscrits. Amir l'ouvrit et entra suivit de sa mère.

Reb déglutit et ne se fit pas prier.

Elle entra dans la chambre qui était composé de plusieurs autres chambres magnifiquements décorés. Un air béat se rehaussa sur ses traits.

-Vos appartements, fit Amir. J'espère qu'ils vous plaisent.

Reb jeta un regard circulaire sur la pièce. Amir était-il serieux? De sa vie, elle n'avait dormit dans des pieces aussi grandes. Elle avait l'impression d'être désorientée. Et qui le serrait pas?

-C'est parfait, répondit t-elle au cheihk.

Amir secoua la tête avant de faire appelle au serviteur. Reb se sentit gênée quand deux serviteurs virent avec ses bagages qui a l'evidence était peu. La gorge serrée, elle les regarda défaire sa valise qui ne contenait que quelques jeans et des T-shirts. Confuse, elle se racla la gorge.

-Veuillez laisser les affaires de mademoiselle, déclara la reine mère, demain je lui enverrai des vetements a decroîte.

Reb souffla.

Quelque chose retint toute de même son attention. Ou étaient les affaires d'Amira?

-Et Amira?

-Elle ne dormira pas avec toi, lui informa Amir la mine toujours impassible, ses appartements sont déjà disponibles.

Son coeur faillit lâcher.

Sa fille dormirait et partagerait ses appartements. Ce palais était beaucoup trop dangereux pour la laisser seule et sans défense bien qu'elle le ne serait pas avec les gardes postés devant chaque appartements. Un frisson courru sur sa peau. La femme de tout a l'heure était clair. Sa tête ainsi que celle d'Amira serait tranché. Mieux vallait qu'elle reste avec elle.
Elle était capable de la protéger et de veiller a ce qu'elle ne manque de rien.