Chapitre 9

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PDV GUËN

Je réalise seulement quelque secondes après ce que je viens de dire. Mais je met à  affirmer. C'est pour sa mère.

- Je jouerais avec vous, déclaré - je.

- Sérieusement ? demande Sam.

- Nan elle n'est pas sérieuse, elle ne sait pas ce qu'elle dit, répond Stan en se rasseillant.

- Si je sais ce que je dis et je dis que je vais jouer avec vous. Il ne réponds pas et Sam frappe dans ses mains comme une petite fille. Elle me prend la main et m'emmene vers une des portes.

- Comment cela se fait il que votre appartement est si grand ? Demandé - je.

- Oh, les garçons ont casser les murs de quatre appartements.

C'est impressionant.

- Alors, continue t'elle, là c'est la salle de bain, annonce t'elle en pointant la première porte du doigt. Là c'est la chambre à moi et Kam, elle pointe la deuxième porte, la chambre à Stan et Alex, elle pointa la porte suivante, celle de Manu, Nick et Thomas qui ont une chambre plus grande.Et la chambre de Julie ,ma mère.

Je me contente d'un "hum hum" en hochant la tête. Je suis trop occuper à me rendre conte de ce que j'ai fait. J'ai accepté de jouer avec lui ? Avec eux ? Mais c'est devenus un défi. Un défis lancé par Stan, et que je doit relever. Il me jete sens cesse des regard. " T'est pas cap " me lancent ses

yeux. Puis, tandit qu'il me scrute je me redemande dans quoi je me suis embarquée. Je ne veux certainement pas me faire casser la cheville à la main !!!! Comment peut il parler de ça normalement ?? J'arbore une moue dégouter. Et puis la fille Kam en question ne voudra sûrement pas de moi. Une fille qui lui pique sa place !! J'accentue mon expression. Stanislas abbat soudain son livre sur le bras du fautieul. Il se lève et s'approche de moi. Il s'arrête quand il est assez près pour que je doive lever la tête pour attteindre ses yeux.

- Je sais ce que tu pense, chuchote t'il le regard dur.

- Je..., il me coupe.

- Tu as pitié de moi, crache t'il. J'essayai de nouveau.

- En faite...

- Mais j'en veux pas de ta pitié, rugit il. Je ne réplique pas. Il tendis son bras en direction de la porte.

- Alors maitenant, sois pas hypocrite, et dégages !

BASKET & LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant