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Développé
(du français développer)
La jambe de travail est tiré jusqu'au genou de ma jambe de soutien, puis étendue vers l'extérieur

Le campus de kiyoomi à une salle de gym, mais pour l'avoir attentivement inspecté tout le long de sa première année, payer un abonnement autre part à sembler être une meilleure option. Il y a un peu de marché pour arriver à la salle choisit, mais moins de ge's la fréquente, c'est ouvert vingt quatre heure sur vingt quatre, et mieux que tout, il y a une salle séparée pour les classes. Kiyoomi n'a aucun intérêt dans le crossfit ou les choses comme ça, mais il chérit les fenêtres du temps lorsque les classes ne font pas leurs sessions, et que la salle est libre pour lui. Il y a un grand miroir qui rappelle ceux de son ancien atelier, et bien que le sol soit un peu glissant, il peut tourner. (il ne le fait pas normalement, car tout ce qui dépasse un triple nécessite d'enlever ses chaussures.)

Venir à la salle de gym à minuit était censé n'arriver qu'une fois, mais le temps est limité et les taches d'une journée donnée sont interminables, alors kiyoomi prend ce qu'il peut obtenir dans la foulée. De plus si il néglige l' odeur tamisée du déodorant qui imprégne le bâtiment même s'il est loin de sa capacité maximale, la salle de sport est presque un peu belle comme celle ci.

Kiyoomi utilise son pied pour ouvrir la porte de la salle pour les cours. (il a appelé affectueusement cette "salle de danse" un an après son adhésion à la salle de sport.) Elle est vide. C'est toujours le cas, mais c'est toujours comme tomber sur quelque chose de précieux quand il pose les yeux sur son reflet.

Armé d'un vaporisateur et d'une serviette en papier, Kiyoomi commence à désinfecter son tapis de yoga déroulé. Intellectuellement parlant,kiyoomi sait que le tapis n'est pas sale. Mais le raisonnement n'a pas suffisant depuis longtemps, et la vie a tendance à se dérouler comme ça : nettoyer son tapis avant de s'asseoir dessus, même s'il le frotte après chaque séance d'étirement sans transpiration; ouvrir les portes des établissements publics avec le bout de sa chaussure, même s'il se trempera les mains dans du désinfectant une fois à l'intérieur.

Le plan pour cette soirée est de faire un étirement complet, puis un peu de musculation en apesanteur. J'espère que ce sera l'une des visites les plus rapides de kiyoomi au gymnase, car même s'il n'a pas de conférence à huit heures du matin demain, l'épuisement s'infiltre toujours dans son squelette et rend sa danse bâclée l'après midi.

Kiyoomi inspire, expire, et puis tourne son cou en petit cercle dans le sens des aiguilles d'une montre. Après  les deux fois où la chanson pop bubblegum qui passe à travers les haut-parleurs de la salle de danse, il ajoute ses épaules. Le resserrement de ses articulations se relignant lui rappelle qu'il est là. Il est là, vivant, malgré l'anxiété et les germes et l'écriture éternelle sur le mur.

Deux autres huit chefs d'accusation et kiyoomi met tout son torse dans le mouvement, laissant ses jointures glisser sur son tapis. Au bas du troisième cercle, il s'arrête et attrapé ses chevilles, passant sa tête à travers des jambes chevauchantes. Inspirez pendant quatre temps, puis encore une fois. Il roule et répète l'ensemble de processus dans le sens antihoraire.

Kiyommi est une routine construite sur des routines. La procédure d'étirement à été gravée dans la plante de ses pieds avant qu'il ne prenne un cours de danse formel.

Sa famille avait toujours penché du côté des lève tôt, mais ce matin là, la mère de kiyoomi l'a réveillé avant même que les fauvettes gazouillent. Elle lui a dit qu'il y avait quelque chose d'important à faire. Kiyoomi, nageant encore dans son sommeil, avait plissé les yeux et se demandait ce qui pouvait être plus urgent que de prendre le petit déjeuner. Cela avait dû sens quelque plus tard une fois qu'il se jetait dans un brochet indolent, essayant de copier les mouvements sans couture de sa mère.

"tu sais, les étirements ne consistent pas seulement à placer votre corps", avait elle dit, et kiyoomi vit ses cheveux lisse en chignons, et ses ballerines se lancèrent. La personne qui a parlé ensuite n'était pas sa mère, mais Sakusa Rie, la danseuse principale, s'est mise en forme grâce à des années de sacrifice échangées contre la mince chance de succès chance de succès. "il atteint activement. Tu dois fermer les yeux, grandir de quelque centimètres et essayer d'attraper quelque chose à chaque fois que tu t'étires."

Lorsque tu es jeune, les métaphores ont tendance à passer au dessus de ta tête. Un kiyoomi confus retira ses mains de ses rotules pour s'agripper au tapis.

Sa mère à rigoler doucement derrière sa main. "non, tu ne touches rien physiquement kiyoomi, tu l'atteins jusqu'à ce que tu le ressentes."

Cette instruction, dans le cerveau de kiyoomi à cinq ans, était incroyablement vague. Il était jeune, mais il savait que ces sentiments étaient des choses inconstantes. Ils étaient tenus d'être perçus différemment par des personnes différentes. Et parce qu'ils ne pouvaient pas être résumés par des mots, il ne comprenait pas exactement ce qu'il était censé rechercher. Naturellement, il l'avais dit à sa mère.

"le sentiment ? Tu sauras quand ça arrivera." promit elle, et sa présence était tellement puissante que kiyoomi c'était senti obligé de l'a croire.

Alors qu'il tire son bras gauche sur sa poitrine dans une salle de gym vide, kiyoomi pense atteindre ce fameux mur.

L'horloge analogique indique 1:46 du matin. Ce n'est probablement pas ce que sa mère avait impliqué quand elle disait que s'étirer était une bonne façon de commencer sa journée, mais grandir veut dire développer un niveau d'élasticité à certaines normes. Il y a des règles qui peuvent être déformées, et il y a des règles qui ne peuvent pas l'être. Le temps est une construction, donc la rigidité de kiyoomi sur les heures d'étirement est légèrement plus malléable.

Il ferme les yeux alors qu'il tend vers le second, se penchant vers la droite pour étirer son oblique gauche.

Kiyoomi adore être capable de se perdre dans les moments où il dance. Certaines personnes décrivent ça a un moment où le cerveau se détache du corps, mais pour lui, c'est plus le sentiment d'être ancré dans sont corps et que tout, à part son rythme cardiaque, est insignifiant. La trivialité et la mysophopie ont tendence à s'exclure mutuellement, de sorte que à ce que la danse se soit installé dans le cœur de kiyoomi en raison de cette sensation unique qu'elle évoque. Mais la solitude temporaire à un désagréable sous produit : la vision periferique de kiyoomi devient considérablement plus étroite, même lorsqu'il ne fait que s'étirer.

"merde, ma bouteille d'eau." une voix appelle.

Il y a un bruit sourd de la bouteille présumé qui heurte le sol, et soudain kiyoomi peut sentir des ruisseaux de sueur fantôme couler dans son dos. Il garde les yeux fermés

Quelqu'un d'autre est dans la pièce.

pas de deux 💮~sakuatsu~💮 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant