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- Repose ça Klaus, ça ne t'appartient pas. dit Luther.

- Wouah Luther t'en as pris du muscle dit-donc, tu fais de la muscu ? réplique Klaus.

C'est vrai que depuis son accident il possède une carrure assez imposante, mais personne ne sais à quoi il ressemble vraiment sous son gros manteaux, sauf moi. D'ailleurs personne ne sait pour cet accident.

- Aller repose le ! continu Luther.

- C'est bon, ce n'est qu'un petit bout de notre héritage. répond Klaus en sortant des objets de ses poches.

Je sort du bureau en rigolant doucement. Je m'avance vers le couloir qui donne à nos chambres quand je vois Klaus sortir du bureau en révélant une boite qu'il avait caché dans son pantalon.

Je pourrais le dénoncer, mais est-ce-que je vais le faire ? Bien sûr que non.

Ca y est, je ne peux plus me retenir, les larmes me montent quand je passe devant la chambre de Cinq. Je ferme les yeux, inspire et continu mon chemin.

Il y a déjà assez de tristesse dans cette maison pour en ajouter encore. J'entre dans ma chambre, cette odeur de fleur, ces murs violet pastels, ce lit blanc et gris, ce bureau vide, cette armoire rempli d'uniforme de l'académie. Je m'avance dans mon ancienne chambre et tout les souvenir qu'elle renferme reviennent. Ces souvenirs heureux et triste, quand Allisson venait me piquer du parfum pour retrouver Luther, quand Klaus lui me piquait du maquillage pour faire une blague à Ben, quand Vanya me fessait des concert privé de violon, quand cinq me prenais dans ses bras à l'abris du regard des autres... tant de souvenirs.

Je m'assoie sur mon lit qui sent la lavande et je sort la boîte à photos de sous mon lit, je sourit et lâche une petite larme devant les photos de mon enfance. Soudain une musique parvient à mon oreille, ma préféré, je me lève et commence à danser dans ma chambre, je m'amuse comme une folle.

La musique s'arrête et je rejoins mes frères et sœurs dans la cuisine. Quand j'arrive, Diego me saute dessus et me serre de toute ces forces.

- Ah moi aussi je suis contente de te voir Diego mais tu m'étouffe la ! lui dit-je.

- Ah ouai désolé, ça va toi ? me questionne t-il.

- Ça va oui, Vanya ?Vanya ! cris-je en la serrant dans mes bras, étreinte qu'elle me rend gentillement.

- Comment tu vas petite sœur ?

- Super et toi, tu fais toujours de violon ?

- Ça va et oui je continue, je fais partie d'un orchestre.

- Je suis trop contente pour toi !

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Un bruit assez étrange venant du jardin nous interpellent, nous sortons en trombe et une lumière bleu se tient dans les airs, une lumière bleu comme celle de,.. non ce n'est pas possible ?!

Si ça peut très bien-être lui, non impossible, et si c'était lui ? Oh mon dieu, je veux que ça soit lui, j'ai peur que ça soit lui !

Quelque chose ou plutôt quelqu'un tombe du portail spatio-temporel.

- Vous aussi vous voyez le ptit numéro cinq ? demande Klaus.

Il se relève et les larmes me monte, je m'avance vers lui, nous nous regardons et des larmes glisse le long de mes joues. Je le prend dans mes bras et il resserre notre étreinte, nous nous lâchons et nous regardons encore, je ne contrôle plus mes mouvement, la colère monte en moi et je le gifle de toute mes force puis repart à l'intérieur du manoir.

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Ce chapitre est beaucoup plus court que les autres désolée.

588 mots

☆ Cinq et Emmy ☆ [Corrigé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant