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Point de vue extérieur.

      Le milieu de la nuit, la lune cachée par d'innombrables nuages qui faisaient barrage à sa douceur et sublime lumière, n'éclairant la pièce aux volets non-fermés que de temps à autre à intervalles irréguliers et distants, les vivants pouvaient déjà prévoir qu'il y aurait du verglas et du gèle sur leurs par-brises à leurs réveils, ils râleraient sûrement en s'afférabt gratter le givre sur leur automobile non abriter pendant la nuit. Il faisait froid dehors, les oiseaux étaient cachés dans leur planques, les chats devaient sûrement marcher plus vite que d'habitude pour tracer leurs routes du point a au point b qu'ils avaient certainement en tête pour éviter le plus possible de devoir rester sur ce sol fraîchement désagréable, les animaux savages devaient hiberner, pour certains, ou bien se balader par-ci par-là à la périphérie des grosses villes, les travailleurs de nuit devaient regretter leurs choix à l'heure qu'il était, ils devaient être frigorifiés malgré leurs affaires sur le dos. Il avait froid, lui qui était recroquevillé dans le lit double qui n'était pas le sien, la couverture remontée jusqu'aux oreilles, son visage le plus enfoncé possible dans cet oreille qui ne semblait pas se réchauffer malgré le temps passé sur celui-ci, les doigts de pieds pétrifiés et incapables de se se sentir bien sous les draps. Pourtant la fenêtre était fermée, le chauffage était activé depuis le soir dernier depuis que les informations à la télévision avaient annoncé que ce ne serait pas une partie de plaisir les nuits qui allaient suivre cette déclaration par la miss météo à peine plus habillée que si nous étions au printemps. Mais elle était élégante, il le pensait vraiment. L'avait-il toujours penser ? Avait-il toujours donné des coups d'œil à quelqu'un d'autre ? Ou seulement à la même personne ? Avait-il ne cesserait qu'eut un intérêt pour une personne autre que lui, celui qui c'était levé pour aller aux toilettes ou boire un verre ? Avait-il eût un regard différent sur une femme ? En avait-il pinçé sur une quelconque autre personne ? Et ce fameux Christopher dont Minho lui avait parlé plus tôt dans la soirée, qui était-il pour lui ? Pourquoi avait-il pleuré pour lui ? L'avait-il, lui aussi, aimé ? C'était-il passé quelque chose entre eux ? Minho avait cité un autre garçon mais Jisung n'avait pas retenu son prénom et au fond, il ne s'en sentait pas plus coupable que ça, mais pourquoi ce Chris lui faisait-il autant d'effets malgré l'absence de souvenir a ce moment-ci aussi ? Minho avait émit l'hypothèse que l'âme à une mémoire et que c'était sûrement mon inconscient qui avait manifesté son ressenti. L'âme... ça ne signifiait trop rien pour Jisung, c'était abstrait et semblait peu utile dans le cas présent. Cette âme qui était la sienne, s'était-elle attaché à cet homme que son ami lui avait décrit ? Et lui, qui était-il pour lui, vraiment ? L'ange lui avait dit qu'il avait été son meilleur ami voir plus, comme un frère paraissait-il mais ça aussi, ça semblait abstrait pour lui, pour ses émotions coincés dans cette cage thoracique prisonnières de ce corps qui avait froid en cette nuit d'hiver.
      Il s'était tourné encore une fois, il avait arrêté de compter le nombre de fois qu'il l'avait fait depuis qu'il cherchait le sommeil, il n'était jamais venu. Son bras vînt chercher la présence de son ange mais sa main tomba lourdement sur une absence de présence et un drap froid, trop froid, il avait envie de taper dans quelque chose avant de réfléchir et de se dire que s'il sortait des draps, il allait avoir encore plus froid. Soupire, il enfouit sa tête dans son coussin toujours frais et sans odeur particulière, sans son odeur. Son corps n'était certes pas là mais son odeur corporelle oui. À tâtons il vînt trouver son oreiller à lui, le tirer fortement vers sa tête et d'y enfouir son nez jusqu'à ce que les premières effluves n'effleurèrent ses cavités nasales qui récupérèrent le plus d'air possible avant d'expier par la bouche dans le tissu. Il allait s'en contenté jusqu'au moment où il entendit la porte grincé lentement comme si la personne faisait tout son possible pour ne pas réveiller l'être avachie en diagonale sur le matelas assez grand pour accueillir deux corps d'adultes. Il sourît sans s'en rendre complètement compte avant de lever la tête et de grimacer quand ses yeux eurent trop de lumière à son goût.

Souviens-toi.      [Découvre-moi II ••Minsung]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant