Aujourd'hui, je n'avais envie de rien faire . C'etait mon jour de congé et d'être inactif comme ça me rend flemmard. De plus mon appart bien que comfortable est plutôt petit et ne comporte que trois pièces, salon, chambre et salle de bain .
Je pourrais appeler un ami mais pour ça il faudrait que je sois un minimum sociale et la je n'ai pas envie de faire semblant de m'intéresser à la vie d'un tel et d'un tel . Je soupire , changeant toute les minutes de chaîne, ne me fixant sur aucune émission , policier , cuisine et téléréalité me font vraiment chier .
Mon téléphone sonne tout d'un coup et j'hésite sincèrement à répondre quand je vois qu'il s'agit d'un numéro inconnu mais finis tout de même par le faire.
Louis: oui ?
¥ : Louis ? Salut Louis ! Je sais que c'est ton jour de congé mais tu pourrais aller chercher un document chez un client et le ramener à Harry s'il te plais ! Je suis bloqué dans un bouchon d'enfer à cause de la tempête et c'est super méga urgent!
Il s'agissait de Niall et au vue de sa voix paniquée cela devait vraiment être urgent .
Louis : d'accord .
Niall: super tu me sauve ! Je t'envoie l'adresse fais au plus vite et couvre toi bien , c'est l'averse dehors !
Louis : d'accord mais comment vous avez eu mon ....
Pas le temps de finir , il avait déjà raccroché et je recevais en même temps l'adresse.
Louis : bon et bien c'est parti.
Je prenais me manteau que j avais de plus chaud , ce qui se résumait à une parka d'un joli vert kakis et me dépêchait d'aller chez le fameux client qui se trouve être à l'autre bout de la où j'habite mais j'appelle un taxis et donne un pourboire au bonhomme quand celui-ci arrive en moins de dix minute top chrono et m 'emmene à la destination.
Louis : attendez moi ici , je dois récupérer quelque chose et je reviens
Chauffeur : très bien mais le conteur continue de tourner
Louis : ce n'est pas grave .
Je tournais le dos au taxis et courrais pour me mettre à l'abri de la trombe d'eau qui me mouille en moins de deux . Le bâtiment est immense mais moins que le cabinet de Styles et le propriétaire des lieux est un connard de crocodile qui profite de ma naïveté pour me pelotonner quand je lui tourne le dos une fois le dossier en main propre . Je me retiens de lui en foutre une et retourne vite jusqu'au taxis , donne la nouvelle adresse et profite des 15 minutes avant d'arriver jusqu'au cabinet pour me reposer un minimum.
J'etais trempé et j'avais des envie de meurtre à cause de ce gros porc . Je ne voulais qu'une chose rentrer chez moi mais on dirait bien que j'étais condamnée à faire le reste de la route à pieds quand je vis qu'on était bloqué dans un bouchon . Je réglais le prix de la course et sauta de la voiture pour me mettre à courir jusqu'au cabinet .
Je montais dans l'ascenseur le dossier serré contre ma poitrine et tentais d'arrêter les tremblements de mon corps détrempé , mais rien n'y faisait , avec un sursaut de de lucidité je sentais mon poignet pour m'assurer que mon parfum qui sent pour moi le chocolat et pour les hybrides le chat , était toujours présent malgré la tonne d'eau qui s'était abattue sur moi . Je poussais un râle soulager quand une légère odeur chocolatée emplit mes narines .
Les portent à peine ouverte que je me dépêchait de foncé vers le fond du couloir ou se trouvais le bureau de mon patron puis toquais quand j'avisa la présence de plusieurs silhouettes. J'ertnua pile au moment où monsieur Styles ouvrit la porte, sans un mot je lui tendis l'enveloppe et me retournais , ne voulant plus m'attarder plus que ça . J'etais pas loin de devenir un steak congelé , pas loin de perdre doigts et orteils et au comble de l'oreille quand je marchais mais chaussures trempées fais " spuick " le bruit par excellence que je deteste plus que tout .
Je repris un autre taxis et apprécia le soudain petit éclaircis qui perça les épais nuage girsonneux . J'apprécia le comfort de chez moi juste le temps de me dire " putain enfin chez-moi !" Puis sans prendre de douche, je me changeais et parti directement me coucher .
Louis : je ne quitterais plus mon paradis " soupirais- je avant de définitivement m'endormir .
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Terria
FanfictionIl y'a bien longtemps quand les êtres humains étaient encore au sommet de la chaîne alimentaire , où les immenses bâtiments de béton poussais comme des champignons aux détriment de la végétation , les animaux privés de leurs libertés , b...