chapitre 5 /1

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Aujourd'hui, je n'avais envie de rien faire .  C'etait mon jour de congé  et d'être inactif comme ça me rend flemmard.  De plus mon appart bien que comfortable  est plutôt petit  et ne comporte que trois pièces, salon, chambre et salle de bain . 

Je pourrais appeler un ami mais pour ça il faudrait que je sois un minimum  sociale  et la je n'ai pas envie de faire semblant de m'intéresser à la vie d'un tel et d'un tel . Je soupire , changeant toute les minutes de chaîne, ne me fixant sur aucune émission  , policier , cuisine  et téléréalité  me font vraiment chier .

Mon téléphone sonne tout d'un coup et j'hésite sincèrement  à répondre quand je vois qu'il s'agit d'un numéro inconnu mais finis tout de même par le faire.

Louis: oui ?

¥ : Louis  ? Salut Louis ! Je sais que c'est ton jour de congé  mais tu pourrais aller chercher  un document chez un client et le ramener  à  Harry s'il te plais ! Je suis bloqué  dans un bouchon d'enfer à cause de la tempête  et c'est super méga urgent!

Il s'agissait  de Niall et au vue de sa voix paniquée  cela devait vraiment être urgent .

Louis : d'accord  .

Niall: super tu me sauve !  Je t'envoie  l'adresse fais au plus vite et couvre toi bien , c'est l'averse dehors !

Louis : d'accord  mais comment vous avez eu mon ....

Pas le temps de finir , il avait déjà raccroché et je recevais en même temps l'adresse.

Louis : bon et bien c'est parti. 

Je prenais me manteau que j avais de plus chaud  , ce qui se résumait à une parka d'un joli  vert kakis et me dépêchait d'aller  chez le fameux client qui se trouve être à l'autre bout de la où  j'habite mais j'appelle un taxis et donne un pourboire  au bonhomme quand celui-ci  arrive en moins de dix minute  top chrono  et m 'emmene à la destination.

Louis : attendez moi ici , je dois récupérer quelque chose et je reviens

Chauffeur : très bien mais le conteur continue  de tourner

Louis : ce n'est pas grave .

Je tournais le dos au taxis et courrais pour me mettre à l'abri de la trombe d'eau qui me mouille en moins de deux .  Le bâtiment est immense mais moins que le cabinet de Styles et le propriétaire  des lieux est un connard  de crocodile  qui profite de ma naïveté pour me pelotonner  quand je lui tourne le dos une fois le dossier  en main propre  .  Je me retiens de lui en foutre une et retourne vite  jusqu'au taxis , donne la nouvelle adresse et profite des 15 minutes  avant d'arriver  jusqu'au cabinet pour me reposer  un minimum.

J'etais trempé  et j'avais des envie de meurtre à  cause de ce gros porc . Je ne voulais qu'une chose rentrer chez moi mais on dirait  bien que j'étais condamnée  à faire le reste de la route à pieds quand je vis qu'on était bloqué  dans un bouchon . Je réglais le prix de la course et sauta de la voiture pour me mettre à courir jusqu'au cabinet . 

Je montais dans l'ascenseur  le dossier serré contre ma poitrine et tentais d'arrêter les tremblements  de mon corps détrempé , mais rien n'y faisait , avec un sursaut de de lucidité je sentais mon poignet pour m'assurer  que mon parfum qui sent pour moi le chocolat et pour les hybrides  le chat , était toujours présent malgré la tonne d'eau qui s'était abattue sur moi  . Je poussais un râle  soulager quand une légère odeur chocolatée  emplit mes narines .

Les portent à peine ouverte que je me dépêchait  de foncé vers le fond du couloir  ou se trouvais le bureau de mon patron puis toquais quand j'avisa la présence de plusieurs silhouettes.   J'ertnua pile au moment où  monsieur Styles ouvrit la porte, sans un mot je lui tendis l'enveloppe  et me retournais , ne voulant plus m'attarder  plus que ça .  J'etais pas loin de devenir  un steak congelé  , pas loin de perdre doigts et orteils  et au comble de l'oreille quand je marchais mais chaussures  trempées  fais " spuick " le bruit par excellence que je deteste plus que tout .

Je repris un autre taxis et apprécia le soudain petit  éclaircis qui perça les épais nuage girsonneux .   J'apprécia le comfort de chez moi juste le temps de me dire " putain enfin chez-moi !" Puis sans prendre de douche, je me changeais  et parti directement me coucher .

Louis : je ne quitterais plus mon paradis  " soupirais- je avant de définitivement m'endormir .

TerriaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant