Terria

chapitre 9/1

Depuis quelque jour , je me sentais suivis et observé sans réussir à en trouver la provenance . Bien que je tentais de faire comme - ci je ne remarquais rien , jetant seulement de temps en temps des coups d'œil par dessus mon épaule avant de marcher un peu plus vite et toujours avec des rues remplies de monde .

Aujourd'hui encore alors que je viens à peine d'arriver au travail , cette sensation ne m'a pas quitter et ce n'est qu'une fois à l'abris dans le cabinet que je me permet de respirer plus librement .

Je me demande si je devrais en parler à quelqu'un . On pourrait me prendre pour un paranoïaque où pire on pourrait découvrir mon secret !

Je sors d'un sac les vêtements prêter par mon patron et me faufilais jusqu'à son bureau encore vide à cette heure de la mâtiné . Je place la petite pile sur le coin de sa table de travail , de coin de l'oeil je crois reconnaître le nom sur un des dossiers qui était dans ma pile des "peu attendre" mais en y pensant bien, je ne me souviens pas de l'avoir rentré dans mon ordinateur. Faisant quel que pas , je me déplaçais de façon à voir le nom sur la chemise orange mais au même moment et alors que je n'eu le temps que de lire le début d'un nom qui devait être soit fla soit blat ,une voix grogne un peu trop près de moi .

¥ : je pourrais savoir ce que vous faite ici en mon absence ?

Louis : mon-monsieur ! Ha je ...j'ai déposé les affaires que vous m'avez très gentiment prêté!

Je pointais du doigt les vêtements parfaitement plier , les yeux rappelant la forêt d'Amazonie passèrent de moi au vêtement et inversement avant qu'il n'hoche la tête et se décale assez pour que je respire autre chose que son odeur intoxiquante à même son torse musclé et tatoué de ce que j'ai pu voir .

Je me positionnait de façon à être de l'autre côté de la table de travail et regarda monsieur Styles s'avachir avec classe sur son siège ergonomique.

Louis : bien , eum je vais y aller.

Styles : attendez , avant de partir dite moi avez-vous encore reçues des appels de monsieur Gator ?

Ha le fameux Gator violeur d'humains et d'hybride en plus d'être un harceleur apparemment. Depuis que j'ai informé l'alligator que monsieur Styles ne le prendrais pas en charge, il ne faisait que de rappeler encore et encore. Ses derniers temps j'ai le droit aux insultes et le patron à des menaces de mort .

Louis : non monsieur depuis deux /trois jours nous n'avons plus aucune nouvelle , je m'arrêtais , réfléchis, pince ma lèvres inférieur entre mes dents , mon regard braqué sur le brun face à moi qui fait disparaître le dossier qui avait attiré mon œil, puis je me lance . Si je puis me permettre , monsieur vous devriez prendre au sérieux certaines de ses menaces.

J'ai hésité à faire part de mes doutes puisqu'il pourrais être touché dans sa fierté de mal dominant mais au lieux de ça une lueur brilla dans ses yeux ce qui réchauffe la couleur verte acide de son regard.

Styles : j'en prends note , retournez travailler maintenant .

Louis : bien monsieur, excusez - moi

Styles : ha et viens dans mon bureau à midi et n'oublie pas d'amener ton repas !

Je m'arrête surpris et je m'efforce de ne pas rejeter directement sa demande mais sérieusement manger avec monsieur-je suis- aussi -stoïque- qu'une- statut- Styles ne me réjouit vraiment pas .

Louis : très bien .

Je quittais le bureau au pas de course ne voulant pas que le patron ne trouve autre chose qui me mettrait dans l'embarras. Le patron était bizarre , bien qu'il ne me fixe plus ,son comportement reste assez étonnants pour être noté.