chapitre 7

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Je hais Bérénice  mais je ne  lui ai jamais souhaité du mal puisque je ne la voyais pratiquement  jamais étant presque jamais malade. Mais aujourd'hui  , aujourd'hui ! J'aimerais qu'elle aille pourrir en enfer où crèche  très certainement son père .

C'était un jour normal , je travaillais sur un tableau  excel pour ma compta quand Bérénice  se pointa.  Elle avait un sourire un peu trop satisfait  en plus  elle semblait  jubiler, je sût  que je n'apprécierais  pas ce qui allait suivre et je ne m'étais  pas trompé.

Bérénice :  et bien alors Louis , on ne sait plus faire son  travail ?

Louis : de tout évidence si , puisque c'est moi qui suis ici et non toi . Je déclare  avec suffisance , ce qui la fais se crisper.

Bérénice : de toute évidence non, mon cher Louis ! Mon petit doigt ma dit que tu aurais envoyé  un mail confidentiel au mauvais destinataire   !  Bien sûr  , j'ai pris la décision de prévenir ce fameux client pour le prévenir  que tu as envoyé à un parfait étranger  des informations confidentielles le concernant.

Tu comprends Louis, on ne voudrait pas qu'il l'apprenne  de la bouche de quelqu'un d'extérieur à l'entreprise .  Le fameux  clien qui se trouve être monsieur Leo  , il m'a d'ailleur remercié  et ne devrait pas tarder  à t'appeler !  Elle avait un air jubilatoire  et un visage tordu  dans la méchanceté , elle suintait  la suffisance, persuadée  d'avoir enfin trouvé  un moyen de me faire virer.

Louis : je n'aurais jamais fais une chose pareille !  Je m'insurge mais prend le temps de vérifier  et puis quand je tombe sur le fameux  mail que j'ai effectivement envoyé au mauvais  destinataire, toute trace de couleur sur mon visage disparaît  et je vois du coin de l'oeil  l' autre cruche se réjouir un peu plus. 

Les mains tremblentent je remonte  les yeux pour voir la date et elle correspond au jour où  me sentant pas au top de ma forme , je travaillais en mode automatique.  Mon dieu ! Qu'est-ce j'ai fais ! C'est une faute grave ! J'ai peu être ternis l'image du cabinet même  voir de mon patron ! Je ne savais pas quoi faire mais en plus le téléphone  sonna et je su que ce serait le client ne qui devait être au bout du fil prêt à lâché tout son venin et ça de manière totalement logique au vue de ma grossière erreur. 

À peine le téléphone posé  tout contre mon oreille  et à peine le temps pour moi de prendre une légère  inspiration  que déjà le déluge, de reproche et d'insulte mérité me tombèrent dessus  , empêchant  toute phrase d'excuse de sortir de ma bouche.   Bérénice était en ce moment même la définition  d'allégresse malsaine  , elle jubilait  de mon malheur  et même ses pupilles  s'étirait en-tête d'épingle

Louis : monsieur  , je suis vraiment désolé  et je sais que mes excuses ne sont pas suffisantes face à une tel bêtise et je ...

Leo : une bêtise ? A ce point ce n'est plus une bêtise mais une connerie petit chat de gouttière  et vous ....

Et il continua comme ça sur sa lancée , s'en fichant pas mal des "désolé " que je lâchais de temps en temps , histoire  qu'il ne pense pas que je me fous de ce qu'il raconte .

¥ : je peux savoir ce qui se passe ? 

Je sursautais tout autant que la jeune femme , nous n'avions pas remarqué l'arrivée de mon patron mais cela semblait mauvais pour moi au vue du sourire  qui grandi un peu plus sur le visage de la femme . Sans aucune pudeur elle s'accrochait au bras du patron et avec une légère pression le poussa à s'approcher  de mon bureau  tandis que mon coeur menaçait de quitter  ma cage thoracique alors que monsieur Leo continuait de vomir ses remarques parfois dépassant les limites même pour ce que j'ai fais .

TerriaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant