Je hais Bérénice mais je ne lui ai jamais souhaité du mal puisque je ne la voyais pratiquement jamais étant presque jamais malade. Mais aujourd'hui , aujourd'hui ! J'aimerais qu'elle aille pourrir en enfer où crèche très certainement son père .
C'était un jour normal , je travaillais sur un tableau excel pour ma compta quand Bérénice se pointa. Elle avait un sourire un peu trop satisfait en plus elle semblait jubiler, je sût que je n'apprécierais pas ce qui allait suivre et je ne m'étais pas trompé.
Bérénice : et bien alors Louis , on ne sait plus faire son travail ?
Louis : de tout évidence si , puisque c'est moi qui suis ici et non toi . Je déclare avec suffisance , ce qui la fais se crisper.
Bérénice : de toute évidence non, mon cher Louis ! Mon petit doigt ma dit que tu aurais envoyé un mail confidentiel au mauvais destinataire ! Bien sûr , j'ai pris la décision de prévenir ce fameux client pour le prévenir que tu as envoyé à un parfait étranger des informations confidentielles le concernant.
Tu comprends Louis, on ne voudrait pas qu'il l'apprenne de la bouche de quelqu'un d'extérieur à l'entreprise . Le fameux clien qui se trouve être monsieur Leo , il m'a d'ailleur remercié et ne devrait pas tarder à t'appeler ! Elle avait un air jubilatoire et un visage tordu dans la méchanceté , elle suintait la suffisance, persuadée d'avoir enfin trouvé un moyen de me faire virer.
Louis : je n'aurais jamais fais une chose pareille ! Je m'insurge mais prend le temps de vérifier et puis quand je tombe sur le fameux mail que j'ai effectivement envoyé au mauvais destinataire, toute trace de couleur sur mon visage disparaît et je vois du coin de l'oeil l' autre cruche se réjouir un peu plus.
Les mains tremblentent je remonte les yeux pour voir la date et elle correspond au jour où me sentant pas au top de ma forme , je travaillais en mode automatique. Mon dieu ! Qu'est-ce j'ai fais ! C'est une faute grave ! J'ai peu être ternis l'image du cabinet même voir de mon patron ! Je ne savais pas quoi faire mais en plus le téléphone sonna et je su que ce serait le client ne qui devait être au bout du fil prêt à lâché tout son venin et ça de manière totalement logique au vue de ma grossière erreur.
À peine le téléphone posé tout contre mon oreille et à peine le temps pour moi de prendre une légère inspiration que déjà le déluge, de reproche et d'insulte mérité me tombèrent dessus , empêchant toute phrase d'excuse de sortir de ma bouche. Bérénice était en ce moment même la définition d'allégresse malsaine , elle jubilait de mon malheur et même ses pupilles s'étirait en-tête d'épingle
Louis : monsieur , je suis vraiment désolé et je sais que mes excuses ne sont pas suffisantes face à une tel bêtise et je ...
Leo : une bêtise ? A ce point ce n'est plus une bêtise mais une connerie petit chat de gouttière et vous ....
Et il continua comme ça sur sa lancée , s'en fichant pas mal des "désolé " que je lâchais de temps en temps , histoire qu'il ne pense pas que je me fous de ce qu'il raconte .
¥ : je peux savoir ce qui se passe ?
Je sursautais tout autant que la jeune femme , nous n'avions pas remarqué l'arrivée de mon patron mais cela semblait mauvais pour moi au vue du sourire qui grandi un peu plus sur le visage de la femme . Sans aucune pudeur elle s'accrochait au bras du patron et avec une légère pression le poussa à s'approcher de mon bureau tandis que mon coeur menaçait de quitter ma cage thoracique alors que monsieur Leo continuait de vomir ses remarques parfois dépassant les limites même pour ce que j'ai fais .
VOUS LISEZ
Terria
FanfictionIl y'a bien longtemps quand les êtres humains étaient encore au sommet de la chaîne alimentaire , où les immenses bâtiments de béton poussais comme des champignons aux détriment de la végétation , les animaux privés de leurs libertés , b...