Tu pars, retenant tes larmes. Non tu ne peux pas chuter maintenant. Il.. faut que tu tiennes. Tu ignores les larmes envahissant tes yeux et continue de retourner la maison.
A: Tp... Tp tu as aussi le droit d'être choquée...
Toi: Je... Je ne suis pas choquée. Je dois me concentrer.
Elle marche jusqu'à toi, jusqu'à ce moment là fouillant le fauteuil, en vain. Elle pause alors sa main sur ton épaules et des sanglots surgisse malgré toi de ta gorge. Elle t'entoure de ses bras et tu t'accroches a elle en pleurant.
Toi: Il était mort... il... il ne peut pas être en vie c'est impossible....
A: Enfin tp on a jamais été sur que il était mort...
C: Tu l'étais n'est-ce pas ? *dit cinq en entrant dans la pièce. Tu t'éloigne et tente tant bien que mal de te redonner un air* tu étais convaincue que j'étais mort.
Toi: Tu veux savoir quelque chose ? *tu t'approchas de lui, furieuse* j'aurai préféré que tu soit mort.
Puis tu partis à grand pas. Regrettant instantanément tes mots. Mais qu'est ce qu'il croyait ?! Que il pouvait partir durant dix sept ans (enfin plus pour toi) et revenir la bouche en cœur ?!! Mais qu'il aille en enfer ! Tu entendis alors toquer. Tu gelas la porte. Sauf que cela ne l'arrêta pas. Il se téléporte et tu te laissa tomber.
C: Je sais que tu y es allée. J'ignore encore pourquoi mais je le découvrirait.
Tu ris ironiquement, peut être un peu tristement aussi.
Toi: On s'est pas vu durant 17 ans et tout ce que tu trouve à faire c'est me menacer ?
C: Je... écoute si tu veux me haïr fait comme tu veux mais souviens toi que c'est moi qui t'ai vu mourir sous mes yeux !
Toi: De... de quoi tu parles ?!*il ne t'écoute pas et sors de la pièce. Tu grognes puis sors à ton tour* He ! Ne te fais pas passer pour la victime ! J'en ai bavé bien plus que toi et je m'en fout que tu sois devenu complètement tare parce que je ne suis pas folle !et puis c'est toi le fou.
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𝓓𝓮𝓼𝓽𝓲𝓷𝓮́𝓮
General FictionTu aurais pu vivre une vie normale, orpheline de six ans, tu as une seule particularité, la couleur hors norme de tes yeux, violets. Tous te fuient et te craignent, jusqu'au jour ou tu rencontres sept enfants qui disent être « comme toi »