Il est mort

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Tu remarquas, à travers la neige qui tombait du plafond, le choc s'afficher sur le visage de Cinq. Tu n'en regardas pas plus et tourna la poignée. Puis tu rejoins l'endroit où tu avais laissé la malette. Tu avais beaucoup à expliquer avec la directrice.
Tu arrivas la bas et chassa les larmes qui avaient pris possession de tes joues sans ton autorisation d'un revers de main. Tu marchais d'un pas douloureux, meurtrier, la température bien en dessous des positifs.

Flash-back

Tu marches dans le couloir. La directrice à côté de toi. Tu n'as pas été assez forte. Vivre sans lui t'es impossible. Tu as essayé. Alors tu as rejoint la commission. Du moins tu vas la rejoindre. La directrice est à côté de toi. Tu attends une réponse. La condition que tu viennes était le droit de poser une question sur le futur. Et elle allait te le dire. Une fois dans son bureau. Mais avant d'y arriver, il fallait franchir l'infinissable couloir... en écoutant d'une oreille inattentive le discours de la dame à côté de toi. Il te semble qu'en ce moment elle parle des autres postes ici. Peut t'importe. Toi tu vas être tueuse. Peut être que prendre la vie des gens te rendra un peu la tienne... nan mais a quoi tu pense ? On dirait un fou... puis vous arrivez enfin au bureau ou la femme d'un âge inconnu te fit t'asseoir en face d'elle.
Direct: Tout d'abord je veux te dire que nous sommes vraiment avec toi. Tu l'as rencontrera plus tard, mais, ma fille Lila, qui a ton âge, et moi même seront ta famille ici. Aujourd'hui tu signe pour cinq ans *aïe douleur d'entendre ce nombre...* et si tu en veux plus tu pourras renouveler le contr-
Toi: Je signe et je verrais pour la suite. Maintenant je veux ma réponse.
Direct: Je suis désolée Tp. Il est mort.

Le monde tanga sous tes pieds... sa disparition t'avais déjà anneantie. Maintenant il était mort. Perdu à jamais. Comme ton âme...

Fin du flash-back

Derrière toi, du vent glacial, quelque flocons et beaucoup de gel. Tu ouvris la porte d'un simple geste du doigt, ouvrant sur le bureau un vent glacial. De rage, de douleur, et de trahison tes yeux violet étincelait.
Toi: COMMENT AVEZ VOUS PU ! *hurla tu. Folle de rage*
Direct; Tu l'as revu à ce que je vois. D'ailleurs ce serait bien si tu me disais à quoi il ressembl-
Toi: VOUS M'AVEZ MENTI *continua tu la voix douloureuse, une fine couche de neige recouvrant le givre déjà sur le sol. *
La directrice épousseta ses épaules, se leva et dit dans le plus grand des calmes.
Direct: Il le fallait. Une motivation. Je te l'ai donnée, regarde toi maintenant ! Tu es impressionnante.
Toi: Mais... je croyais que nous étions une famille... que je pouvais vous faire confiance...
Direct: Mais tu le peux... on a fait ce qu'il y avait de mieux pour toi...
Tu n'écoutas pas la suite, la neige formant déjà une couche de vingt centimètres. Tu quitta la pièce, tes larmes dévalant tes joues, avant de se cristallisées sur celle ci

𝓓𝓮𝓼𝓽𝓲𝓷𝓮́𝓮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant