𝓓𝓮𝓼𝓽𝓲𝓷𝓮́𝓮

Révélation (partie 1)

Petite information que j'aurais du vous donnez dès le début, mille pardon ! Dans cette histoire l'apocalypse n'est pas sur le point de se produire. J'ai préférer d'abord aborder tout les personnages, approfondir leur relation et leur histoires avant de rejoindre la véritable histoire. Je reviendrais surement sur celle ci plus tard dans l'histoire, donc considéré que pour le moment on est quelque mois avant le premier avril. Sur ce, bonne lecture !

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c: Qu'est ce qui te tracasse encore ? *demanda l'homme dans la peau d'adolescent qui venais d'entrer dans la pièce, t'y trouvant assise sur le fauteuil*

Toi: Pourquoi ai-je l'impression qu'il y avait une forte dose de mépris dans ta phrase. *dis-tu en détournant les yeux, ne voulant pas croisé son regard. De peur de lui sauter dans les bras. Il vient s'assoir devant toi, a croupi, cette position lui permettant d'être a ta hauteur*

Ça avait toujours été comme ça, quelque chose, que tu ne savais expliqué, t'attirait chez lui. Etait-ce son amour qu'il se vouait a soi-même ? Ou bien justement le fait que tu aies l'impression que ce ne soit qu'une façade, pour cacher le fait qu'il aime bien plus qu'il ne le voudrait sa famille. Et toi, qui est tu aujourd'hui pour lui ?

C: Détrompe toi, je méprise ce qui t'empêche de sourire. Je... Tp je... Pourquoi est-ce si dure de s'exprimer.. *grogna-t-il a voix basse, mais tu su a cet instant que ce qu'il s'apprêtait a te dire serait déterminant*

Tu posa ta main sur sa joue et l'incita a poursuivre de ton regard.

C: Tp, tu comptes plus que tout, tout ce que je fais chaque jour, je le fais en espérant que cela te sera bénéfique... Je n'ai jamais oublié tu sais ? Notre conversation d'il y a... de quand nous avions Huit ans. Chaque jour j'aspire a rendre le monde meilleure, pour toi. Quand j'étais la bas, aucun jour ne passait sans que je pense a toi, que je rêve que tu me prennes dans tes bras et me caresse les cheveux comme tu l'avais déjà fait auparavant pour me calmer. Sentir ton parfum doux et sucré et plus cet horrible odeur de décomposition.

Tu ne dis rien. Il te montrait toute une autre version de lui-même, loin de l'adolescent , narcissique et épuisant, il laissait sortir le petit garçon effrayé qu'il avait été lors de son périple. Tu posa tes pieds par terre et attira la tête de cinq contre ta poitrine. Caressant ses cheveux alors qu'il passait ses bras autour de toi. et sans même t'en rendre compte tu t'endormis dans ses bras.

Flash-back

Toi: Tu sais Numéro Cinq, je ne comprends pas comment tu fais pour avoir si peu d'empathie envers les autres *t'énerve tu.*

C: Et c'est reparti, alors si on ne vit pas dans un monde de bisounours comme toi ça veut dire que on est pas emphatique ?

Toi: Je ne vis pas dans un monde de bisounours CINQ HARGREEVES. Je fais le choix d'avoir Foix en l'humanité et a me dire que le méchant que tu as tué hier aurait pu devenir meilleur !

C: JE N'AVAIS PAS LE CHOIX ! C'était soit toi soit lui ! Même un couteau posé sur la gorge ça n'active pas chez toi un certain instinct de survie ? Tu veux savoir ! Je suis peut-être pas emphatique mais toi t'es suicidaire !

Tu reculas sous le coups du choc de la violence des mots de Cinq. Lui aussi sembla se reprendre car il s'excusa.

C: La vérité, c'est que c'était hors de question que tu meurs. Mais je te jure, moi Cinq, que je ferai tout pour te rendre le monde meilleur et a la hauteur de tes attentes aussi hautes soit elles.

Ce qu'il ne savait pas, c'est que tu t'étais déjà assoupie avant d'avoir pu entendre cette promesse.

Fin du flash-back

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Et voila, oui deux chapitres dans la même soirée écoutez j'étais d'humeur écrivaine donc... Voila j'espère que cela vous a plu, bye bye bye !!!! ;-)