EP11

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En même temps Valencia enlève ces Lou Boutin dépose son sac Prada aux sol remonte un peu sa robe Dior s’attache les cheveux en arrière prend un panier de fleurs et commence à vendre. Pendant qu’elle écoulait les roses de Carlotta comme des petits pains sa grand-mère et sa marraine prennent place sous le parasol. Amelia voyait un côté de Valencia qu’elle ne connaissait pas auparavant ce n’était plus la fille de ces 3 dernière années elle avait l’air plus douces. Amelia demande a Carlotta

Amelia : Dite moi madame Carlotta vous avez connu mon fils Raoul est ce qu’il a été un bon père pour Valencia ?

Carlotta : Vous êtes la mère de Raoul ? L’épouse de Montero ?

Amelia : Oui je suis la mère de Raoul sa grand-mère

Carlotta : Pourquoi vous avez fait ça vous saviez que Raoul ne voulais pas voir votre mari autour de Valencia !

Amelia : Je n’avais pas le choix quand je l’ai retrouver cette nuit là sur la tombe de Raoul elle était a moitié morte, tremper jusqu’aux os. Si je l’avais laisser la elle serait morte de froid

Carlotta : Vous aurez pu l’emmener à l’hôpital mais vous avez choisi de l’emmener chez vous. Je connais Valencia et cette fille que je suis entrain de voir n’est pas l’enfants que j’ai élever.

Amelia : Je dois vous avouer que je n’ai pas pû résister de la ramener chez nous dans sa maison je l’ai très vite regretter

Carlotta : Cette innocence qu’elle avait dans ces yeux a disparue. C’est de ça que Raoul avait peur qu’elle devienne com

Carlotta se rétracte mais Amelia termine sa phrase

Amelia : Comme nous. Et il avait raison. J’ai enterrer tout mes enfants a cause de mon mari mais faite moi confiance je suis bien décider a sauver me.. ma petite fille.

Carlotta : Comment vous voulez faire ça

Amelia : Avec votre aide Carlotta elles vous écoute

Carlotta : J’ai vue la colère dans les yeux de Valencia le jour de la mort de son père j’ai eu la peur de ma vie.

Amelia : Je sais de quoi vous parlez !

Carlotta : Alors si votre mari a eu 3 ans pour attisée sa haine ce n’est pas en 2 jours que ça va disparaitre croyez moi.

Amelia : Je sais que ça va prendre du temps

Carlotta : Non vous ne me comprenez pas. S’il y a une chose que Valencia ne sais pas faire c’est pardonner !

Amelia : Elle tiens ça de son vrai père Diego lui aussi était ainsi

Carlotta : Depuis qu’elle est toute petite elle a se côté rancunier et que votre mari l’ai dresser n’a pas arranger les choses

Amelia : Que me conseiller vous de faire madame Carlotta.

Carlotta : Rien il n’y a qu’une personne qui peu la surveiller c’est Pedro. Il a toujours su l’empêcher de faire une bêtise.

Amelia : Pedro ?

Carlotta : Mon fils ils ont grandit ensembles. Les 2 son comme l’huile et l’essence au bout d’un moment l’un se transforme toujours en sapeur pompier pour limiter les dégâts !

En moins de 10 minutes Valencia avait vendu tout les fleurs de la table. En se dirigeant vers Carlotta une main la soulève c’était Pedro qui était fou de joie de la voir il serre très fort et se met a la secouer.

Pedro : Mais qu’est ce qui t’a pris de disparaitre comme ça tu deviens folle ? Je me suis fait un sang d’ancre petite idiote.

Valencia : Je suis désoler si je t’ai fait peur. Je t’ai manquer ?

Pedro : Moi jamais je suis un homme. C’est a ma mère que tu a manquer. Les filles me cours après par milliers ici !

Valencia : Tu viens d’où aussi bien habiller ?

Pedro : J’avais un petit rendez vous avec une fille

Valencia : Il y a une fille qui est tomber dans ton piège ?

Tout les deux vont rejoindre Carlotta et madame Amelia. C’était la première fois qu’Amelia voyait sa petite fille sourire autant. Le soir Ricardo lui ne voulais qu’une seul chose tuer Juan.

Francisco : Papa je dois y aller j’ai un vol ce soir

Ricardo : Je peux savoir où tu va ta famille a besoin de toi

Francisco : Il en est hors de question débrouiller vous sans moi

Juan : Tu ne peut pas dire ça on est une famille

Francisco : Tu a encore le culot d’ouvrir la bouche ? D’abord tu tue son père ensuite tu lui offre l’entreprise familiale sur un plateau d’argent et tu ose encore l’ouvrir devant moi.

Lucinda : Calme toi Francisco. Parle avec elle vous êtes amies elle t’écoutera peut être. Évitons une nouvelle guerre.

Francisco : Elle a arrêter d’être mon amis le jour où tu a sortit papa et Juan de prison. Vous n’êtes pas aveugle je crois que vous avez tous vue la haine dans ces yeux.

Miguel : Ça ont la tous vue elle a vraiment changer

Francisco : Elle n’est pas venu faire des affaires avec vous elle est venue pour se venger et ça on le sait tous.

Lucinda : S’il y a une personne qui peut encore sauver notre société c’est toi.

Francisco : J’en ai mare de tout ceci ce soir je retourne à Paris j’ai mon entreprise qui m’attend.

Ricardo : Tu préfères laisser ta mère dans la misère c’est ça ?

Francisco : Si tu appelles une fortune de 680 millions de dollars la misère alors oui papa c’est une très belle misère. Au-revoir

Ricardo : Tu a vue Montero a cette fête n’est ce pas mon fils ? Dit moi combien restera t'il de ces 680 millions si cette guerre débute vraiment !

Miguel : Francisco jusqu’à maintenant Montero ne c’est jamais montrer ouvertement a un de ces coups bas là c’est différent !

Ricardo : Tu sais bien que Montero ne se montrerait pas s’il ne préparait pas un mauvais coup dont il connaît déjà l’issue !

Lucinda : Reste. Tu sais bien que je ne dormirai jamais a point fermer en sachant que tu n’est pas a la maison.

Miguel : Je suis incapable de tout gérer tout seul je suis fatiguer.

Valencia ( Mon Amour , Mon Péché) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant