Ep25

174 20 0
                                    

Bianca n’était pas intéresser par les histoires de famille de sa rivale et ira attendre un peu loin des deux femmes. Pedro ne savais toujours pas quoi penser de ce qui c’était passer entre lui et Valencia. Son cœur battait très vite a chaque fois qu’il pensais a Valencia, Carlotta remarque que son fils était perdu dans les nuages elle lui demande si tout allait bien Pedro fait un oui de la tête et continue à cirer ces chaussures. Montéro DeLaVéGa n’était pas du tout content le voilà entrain de préparer les funérailles des Savantiez les mêmes personnes qui avaient participer à l’assassinat de son fils bien aimé Diego. Si les funérailles de Juan n’était pas fait dans la maison des Pérez le Mexique allait apprendre la nouvelle défaite de Ricardo contre Montéro. Le grand père de Valencia savais déjà par où passer pour coincé Ricardo. Le père de Miguel était sur un contrat important et Olegario voulais l’avoir. Ce nouveau contrat allait résoudre les problèmes financiers de son ennemie. Olegario va proposer à son ennemis de lui rendre la maison s’il lui cède le contrat le grand père de Valencia ne comptait jamais vivre dans la maison de l’assassin de sa fille.

Ricardo: Je ne vais jamais te donner ce contrat.

Olegario: Et moi je n’ai pas besoin de ta maison

Ricardo: Vend le alors mais tu n’aura pas ce contrat

Olegario: Pourquoi le vendre si j’ai des bulldozer à ma porter. Je vais simplement détruire la maison.

En tournant la tête Ricardo verra des bulldozer qui se tenait devant chez lui sur le moniteur de l’ordinateur. Olegario lui dit sur un ton ferme

Olegario: Je vais te poser la question une seul fois. Cède moi ce contrat immédiatement où Adieu à la villa

Ricardo sert la mine et signe le document. Ce que Olegario ne savais pas à ce moment c’était le piège de Ricardo ce soit disant contrat dont tout le monde parlait n’existait pas. Olegario va rendre la maison à Ricardo ne sachant pas que les mines de pétrole qu’il venait d’acquérir était vide. Quand il le découvre il était déjà trop tard Ricardo avait récupérer sa maison gratuitement. À Vista Bianca et sa cousine la suivait au pats et à l’œil. Après avoir récupéré cette vignoble que son père Diego lui avait acheter il y’a plus de 20 ans la jeune héritière décide de rentrer. Elle avait préparer un mauvais coup pour Bianca et sa copine. Arriver à l’aéroport Bianca et sa cousine se feront arrêter pour détention de substances illicite. Valencia avait mis de la poudre pour bébé dans un verre et l’avais placer dans le sac de Bianca.

La pauvre dans son arrogance avait manquer de respect à un agent de la douane qui voulait fouiller son sac a main. Malheureusement ce comportement va agrandir les soupçons des autres douaniers qui vont fouiller son sac et découvrir le petit verre avec la poudre blanche. Arrêter elles ne seront relâcher que 2 jours plus tard. En sortant du commissariat de Vista elles sont accueillis par la presse qui leur tombent dessus. Le commissaire Carlos ne pouvais pas en croire ces yeux sur une des vidéos de surveillance ont pouvait voir le visage de Valencia sortir de la chambre de Juan quelques secondes après la mort du jeune homme. Le commissaire n’avait pas le choix il se devait d’arrêter Valencia. Un policier compromis va avertir Valencia elle le remercie.

Montero: Que se passe t’il mon enfant

Valencia: Le plan B commence. Dit à grand père de garder les fausses mines de pétrole. Je vais enfin passer à l’étape supérieure. Appelle le faux témoin

Montero: Tu est sur la prison n’est pas facile

Valencia: C’est un mal nécessaire si je veux en finir avec cet homme. Il est temps pour moi

Quand la nouvelle arrive aux oreilles des Pérez Francisco ne pouvais pas le croire. Bianca se met à crier en direction de Miguel

Bianca: Tu vois je te l’avais dit elle est mauvaise. Je suis contente elle n’ira pas en prison pour avoir tué mon enfant mais elle sera puni pour Juan.

À la télé l’arrestation de Valencia va faire le tour des médias. Une fois derrière les barreaux Ricardo voulais en profiter pour reprendre son hôtel mais malheureusement pour lui Esteban était déjà prêt. Il se rend quelques heures plus tard à la prison de l’île pour savourer la soit disant fin de Valencia. Assise dans sa cellule entrain de lire un magazine elle sera appeler au parloir et se retrouve devant Ricardo Perez qui voulais lui parler.

Ricardo: Tu n’est pas ci intelligente que tu le pensais fillette

Valencia le regarde et sourit en lui disant

Valencia: Ricardo ne te réjouis pas trop. Cette cellule est mon parfait alibis.

Ricardo: Alibis? Descend sur terre je ne compte pas te laisser sortir vivante de cette cellule.

Valencia: Ont verra bien. Joyeux anniversaire!

Ricardo repasse ces paroles et se demande pourquoi Valencia n’avait pas l’air de s’inquiéter. Valencia passera des mois en prison. Au début de son procès tout semblait perdu pour elle mais ce le dernier jour du procès que tout se jouera. L'engouement était grand tout le monde voulais savoir comment une fille aussi belle pouvais commettre un acte ci horrible. La moitié de la presse mexicaine était devant le palais de justice. Les grands journalistes étaient présents au premier rang de la salle. Enfin l’atmosphère parfait pour achever Ricardo était créer. Bianca passera en premier dans la barre des témoins et raconte ce qui c’était passer. Avocat de la défense de Valencia monsieur Brasãs demande

Brasãs: Madame Perez vous avez dit tout à l’heure que Valencia ici assise était rentrée dans la pièce et vous à poignardé à plusieurs reprises

Bianca: Oui elle était comme folle allié

Brasãs: Vous êtes sûr de vous madame?

Bianca: Puisque je vous dit qu’elle était devant moi

Brasãs: Comment se fait il qu’elle soit à 2 endroits. Une fois avec Monsieur Francisco une fois avec vous. Les cameras le prouve

Bianca: Je n’en ai aucune idée mais c’était elle.

Brasãs: Ne serait ce pas plutôt parce que vous êtes en train de mentir vous n’aimez pas ma cliente

Bianca: Cela n’a rien à avoir avec ce qu’elle m’a fait.

Brasãs: D’accord dite moi où étiez-vous le 15 du mois avant l’agression dont vous accuser Valencia

Bianca: À l’hôpital je ne me sentais pas bien

Brasãs: N’étiez vous pas à l’hôpital pour avoir tenté un avortement à votre huitième mois de grossesse

Bianca : Bien sûr que non je voulais ce bébé

Valencia ( Mon Amour , Mon Péché) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant