Le Contre Courant : Acte 2

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Koï entame une autre vague d'adversaires, ce rappelant de ce que son maître disait :

- On et tous une carpe qui monte éternellement le contre courant d'une rivière afin de devenir dragon...

Koï voudrait déjà être dragon, mais cela serait trop facile... Les adversaires s'accumulent et l'odeur du sang commence à envahir l'atmosphère et les vagues d'adversaires s'enchaînent rapidement, il faut simplement gardé le rythme, et surtout la détermination...
Koï reste concentré ce combat lui rappelé la triste histoire qui promène derrière lui...
Une famille qui était absente, un père violent, une mère manipulatrice, et rien de spécial aux niveaux des amours ou des amitiés, à croire que c'était rien de particulier celon Koï, son entraînement et son savoir était sa principal occupation, son incroyable réflexion, à croire que c'était juste un détail le reste, c'était paradoxal...
Koï revient au combat, les adversaires commençait à tombé et d'autres à ce multiplier et à devenir important, mais pas pour autant ou le combat était long, mais Koï etait endurant, donc il continua à ce battre, la montagne s'assombrit par le couché du soleil, qui remplacé la lune, les étoiles commencent à brillait et les adversaires à tombé, ça commençait à devenir constant... Le paradoxe ? C'était le temps, plus il passait au départ, plus les adversaires venait, plus la nuit venait, plus ils diminua, le temps à un effet sur l'adversité on dirait... Mais dans le fond, le combat n'était pas éreintant, il était juste long, le temps lui même semblait irréaliste et très longs, rien de mieux que de savoir que tout reste à ce passé et à voir, vaut mieux attendre la suite, la rivière et passé, maintenant ils faut l'escaladée...

Koï : La Rivière Dorée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant