Temple Reamd

.34.

Temps indéfini, nuit

𝕃'𝕒𝕦𝕥𝕣𝕖 𝕄𝕠𝕟𝕕𝕖

Dans l'immense montagne, Mao poursuit depuis un moment, le jeune Amanjaku. Qui se faufiler entres les arbres, tel un animal en fuite. Grace a sa bonne vue, Mao pouvais suivre du regard, les attributs animaux de Hiroki. Celui-ci ralentis sa course au fur et a mesure, par fatigue et Mao prit l'avantage en lui sautant dessus. Les fessant dévaler une pante dans la montagne, jusqu'à un petit court d'eau a moitié vide. 

Du a la chute, Hiroki se retrouva sur Mao, dans une position suspicieuse, si la situation serait différente. D'ailleurs, l'Amanjaku fut très vite gêner, et essaya de se retirer, avant que le Moryo le sers part les hanches. 

- Tu crois aller ou comme ça ? , demande Mao en grimaçant de douleur. 

-  Laisse moi tranquille, s'il te plait., chuchote Hiroki en prenant appuie sur ses bras. 

Ses deux mains poser de chaque côté de la tête de Mao, Hiroki essaye une seconde fois de faire pression avec ses bras, pour se libérer de la prise du Moryo, tout en évitant de l'écraser avec le poids de son corps. 

- N'y compte même pas. Pas après avoir blesser Tama comme tu la fait. , grogne Mao en fixant Hiroki de ses yeux grenat. 

- Je suis désoler., s'empresse de répondre Hiroki en suant a grosses goutes. 

-Ou sont-ils ? , demande Mao en regardant les yeux doré de l'Amanjaku. 

Hiroki détourna le regard, extrêmement gêner de la proximité entre son visage et celui de Mao. Mais celui-ci ne remarque rien, et continue de le garder fermement contre lui, dans l'attente de réponse. 

- Qui ça ? , demande Hiroki en poussant sur ses bras et ses genoux au sol. 

- Tama et les humains voyons. Tu croyait que je te courait après pourquoi ? 

Demande Mao avec agacement, sous les yeux tremblant de Hiroki perdu. 

- Des humains sont ici ? 

Hiroki reporte son regard sur le visage de Mao, qui semblait exaspérer de la situation. Et les irises de l'Amanjaku, se noie dans ceux du Moryo, laissant place a un silence et une tension étrange. 

- T'en sait rien., souffla Mao en rompant le silence. 

Mao retire ses bras des hanches de Hiroki qui se redresse en vitesse, cachant ses rougeurs au joues avec les bordures blanches sale de son kimono. 

- Pourquoi tu me fuyait ? , demande Mao dos a Hiroki. 

- Je pensais qu'on t'avait engager pour me ramener au temple. . . 

Chuchote le Yokai tout bas, en baissant ses orielles d'animal sur sa tête. 

- Jamais je travaillerais pour un Yamatono-Orochi., marmonne Mao en époustouflant ses vêtements. 

Mao se retourne vers Hiroki qui garder les yeux river au sol, avec un air peiner au visage.  Un petit pincement au cœur le prend, et il posa sa main sur celui-ci. Etonner de ce genre de sensation qu'il venait de ressentir pour la première fois. 

- Tu n'as plus besoin de moi ? , demande Hiroki en relevant la tête. 

- Euh non, c'est bon., marmonne Mao en détournant le regard embarrassé. 

Mao commence a faire demi-tour pour repartir en direction du village, quand Hiroki le retient par la manche. 

-Ma. .Mao. . . 

Appel Hiroki en retenant Mao par la manche de son kimono orange. Le Moryo se retourna partiellement vers lui, en le détaillant du regard. Et les yeux attrister de l'Amanjaku, fit frissonner le Moryo. 

- S'il te plait, ne dit as personne. Que tu m'a vus..., supplie Hiroki en regardant le Moryo de ses yeux doré. 

Mao regardent le regard désespérer et apeurer de l'Amanjaku. Et il pousse un second soupire exaspérer. Il aimer pas la tournure des choses, et la sensation que Hiroki lui a fait ressentir, le perturbe. 

- A qui veut-tu que je le dise ? Ton maitre ? Sa m'intéresse pas de m'immiscer dans la vie des autres., explique Mao en fessant un brève signe de la main. 

- Merci beaucoup, si je peux faire quelque chose., remercie Hiroki en se courbant plusieurs fois. 

Mao regarde l'esprit, et réfléchit a une possible chose que l'esprit puisse faire. Après tout, une aide de plus, n'est pas de refus. Le Moryo fait apparaitre a travers une petite fumer orange, un bracelet noir, et le donne a l'Amanjaku. Celui-ci le regardent, en fessant tomber ses oreilles animales sur le côté. 

- T'es assez puissant pour reconnaitre les humaines, même avec des interfaces. Si tu croise deux jeunes filles humaines et James, ou même un membre de mon groupe. Prononce mon prénom en passant ton pousse sur la fissure du bracelet., explique Mao en montrant du doigt la fameuse fissure. 

Hiroki met le bracelet a son poignet gauche et hoche la tête discrètement, avant que Mao prenne la forme d'un feu follet oranger et s'aventure dans la forêt. Laissant Hiroki, tout seul. 

Pendant ce temps, Jud, James et Miki, marchent en direction du portail, après que Tama leurs est fait faux bond. Heureusement pour les humains, Miki connaissait le chemin, a partir de leur emplacement. Ils arriveront a destination, dans moins d'une heure, si personne ne vient les déranger. 

- Et pour Charlie ? , demande James a Miki qui marche a l'avant.

- J'ai sentit la présence de Yugo dans les environs. A mon avis, ils sont entrains de marcher comme nous, en direction du portail., répond le Goryo en levant la tête vers le ciel qui commence a s'éclaircir.

Jud pousse un soupire de soulagement, a côté de James qui lui fait une tapote de réconfort sur le dos. 

- Il manque plus que Tama., rajoute James en regardant derrière lui.

Miki s'arrête brusquement dans le chemin, avant de reprendre sa marche sans donner d'explications. James accélère et rattrape le Yokai en le forçant a s'arrêter, et lui fit volte place. 

-Qu'es qui as ? Tu sait pourquoi il est partit ? , demande James en fronçant les sourcils. 

A cette distance, les humains ne l'on pas entendu, mais si Tama est partit en précipitation. C'est car un grondement, avait resonner déjà plusieurs fois, pendant qu'ils marchaient dans la forêt. Et l'inquiétude constante de Tama, as augmenté au fur et a mesure, jusqu'à se qu'il perde patience. 

- Tama savait qu'on était plus très loin du portail, il nous as simplement déposer pour faire quelque chose ailleurs. Il as même du sentir la présence de Charlie., répond Miki en évitant le regard insistant de James sur lui. 

-Tu me mens, je le sais., réplique l'humain catégorique. 

Miki marmonne des choses dans une langue étrangère aux humaines, quand soudain. Des bruits de pas s'approche d'eux, les terrorisant sur place.