Zombies attaque

Chapitre 29

*Côté d'Antoine*

Personnes a pu rattraper Alisone, elle est parti trop vite, et dans la nuit ce n'est pas évident. Alexis était assis sur le lit entrain de pleuré... A sais côté Manon et Corentin qui essayé de le réconforter du départ d'Alisone. Il s'en veut tellement.... Puis Gladys est de son côté entrain de faire je ne sais quoi. Je me mis en face d'Alexis pour lui parler.

-Alex... Ne t'en fait pas, elle va s'est sortir. Tu la connais bien sais une guerrière. Dit Manon

-Je suis désolé, c'est à cause de moi... Dit Corentin

-Arête c'est la faute à personne! Quand quelqu'un sort du coma il peut être très colérique surtout s'en les cachés n'encaissera. Dis-je

Demain on ira la chercher. Dit Corentin

-Oui... J'espère qu'elle va bien... Avec le froid de dehors elle doit tellement avoir froid... Dit Alexis

-Tu sais elle a pris son sac, elle a tout pour être dans une très bonne situation. Puis Alisone se débrouille toujours pour quoi que ce soit. Dit Manon

-Oui... Dit Alexis. Elle me manque...

-Allons dormir et dès demain on fera des recherches pour la retrouvé. Dit Corentin

Après avoir un peu calmé Alexis, on se coucha tous pour entamer des recherches demain. Gladys est assez bizarre...

*Côté Alisone*

Je suis tellement fatigué... J'ai tellement froid et faim! J'ai l'impression de vivre un cauchemar! Pourquoi je suis parti au juste? Je ne me souviens même pas pourquoi je me suis énerve! Par chance il y a une sorte de lycée devant moi. Je vais pouvoir m'abrité pour la nuit. Je sors mon arc, je mis une flèche paraît a tiré si je croise un zombie. J'ouvrai les portes et vue en premier lieux, des cadavres de zombie partout, je touchai le sang pour voir quand il on était tué. Le sang est encore frais... Donc je ne suis pas seul... Je restai discrète tout en avançant. Puis une voix qui cira me stoppa net.

-NON! S'IL VOUS PLAÎT NE ME TUÉ PAS! J'Y SUIS POUR RIEN

Puis des tirs se firent. Je me cachai dans un casier car des pas s'approché de moi. Des hommes en uniforme de militaire s'arrêtèrent devant les casiers pour parler dans un micro.