Chapitre 15: The day you let me help you, I will

1.4K 39 7
                                    

Chapitre quinze: The day you let me help you, I will

Aujourd'hui, je découvrais la ville. J'étais plantée au milieu de mon dressing en me demandant quoi mettre quand Niall débarqua. Il me demanda si tout allait bien et me serra contre lui, mon dos contre son torse musclé et ses bras m'entourant, protecteurs. Il déposa une série de baiser dans mon cou avant de s'écarter:

- Je vois bien que tu es soucieuse, Ma'. Dis-moi juste pourquoi?

- Je ne sais pas quoi mettre...

Il s'esclaffa. Je lui sautai dessus, ayant comme idée de le punir de ce rire moqueur. Je me retrouvai sur son dos tandis qu'il tournait en rond au centre de la pièce. J'enfouis ma tête dans ses cheveux tant les couleurs des vêtements qui se confondaient sous le coup de la vitesse me donnait mal au coeur. Quand il me reposa à terre, mes jambes flagoleaient et je m'aggripai à ses bras quelques instants, juste ce qu'il fallait pour reprendre mes esprits.

- Tu n'as qu'a y aller comme ça! me lança-t-il.

- Evidemment, je vais rencontrer Eleanor et Perrie en peignoir... Pourquoi n'y ai-je pas pensé avant! répliquais-je, agacée.

- Si ce sont elles qui te posent problème, tu n'as vraiment pas à t'en faire... Je suis certain qu'elles t'adoreront.

- Pas sûr... tu oublies qu'elles ont dû te ramasser à la petite cuillère à cause du scandale Knokke?

- Le scandale Knokke?!

- Oui, c'est le nom que je lui ai donné avec Solène, à l'épisode du magazine...

Je m'attendais à ses foudres pour avoir abordé sujet si délicat mais il éclata à nouveau d'un rire sonore. Il se mit à ouvrir les penderies et les tiroirs et me lança successivement un short en jeans taille haute avec une rangée de boutons en guise de braguette et un chemisier blanc. Une fois que je les eu enfilés, il me tendit une paire d'escarpins bleu turquoise. J'allai me maquiller et quand je sortis de la salle de bain, il me lança une paire de bretelles assorties aux escarpins.

- Elles sont à toi?

Etrangement, j'avais du mal à l'imaginer porter cette couleur. Le rouge ou le blanc lui allait bien mieux!

- Plus maintenant, dit-il en m'aidant à les fixer dans le dos du short.

Je sentais son souffle sur ma joue et sa présence, si près. Je me retournai et l'embrassai. Ce fut Louis qui rompit notre étreinte, passionée comme à chaque fois, en nous appelant depuis le hall: les filles étaient arrivées. Je me redressai vivement et lissai les faux-plis de mon chemisier. Niall m'ordonna d cesser d'avoir peur et me précisa que j'étais parfaite. Il m'entraîna ensuite en bas.

- Ils en mettent du temps...entendis-je Liam se plaindre alors que nous descendions les escaliers.

- Les voila! s'exclama Zayn.

Je reconnus immédiatement Perrie, qui était assise sur ses genoux et qui se leva à cette annonce. Elle sourit en m'apercevant et vint me prendre dans ses bras. Elle se présenta quand même et déclara qu'elle était heureuse de me rencontrer enfin. Eleanor se fit plus distante, presque farouche. Elle se tenait à côté de Louis, raide comme un piquet, et je voyais bien qu'il n'y avait pas entre eux la sois-disant complicité vantée par le management. Son attitude me fit penser à celle d'un petit animal sauvage.... un écureil? Je ne pus m'empêcher de sourire à cette idée.

Depuis deux heure, nous arpentions la capitale britannique. Les gars étaient amusés de me voir courir partout dans cette ville dont ils connaissaient les moindres recoins. Je convainquit Perrie d'aller ennuyer les légendaires gardes de Buckingham Palace, ce qu'elle accepta en riant. De loin, j'apercevais Big Ben. Comme à Bruxelles, Niall me porta sur son dos une bonne partie du trajet entre Piccadilly et le musée de Madame Tussaud. Je m'amusais comme une folle!

I hate haters!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant