- Richerette ! Cria Michael lorsqu'il constata qu'elle s'en allait.
Mais elle ne se tourna pas, alors il fit face a vanessa et la toisa de tout son long avant de suivre richerette
Qu'il vit dans le couloir l'air pâle
- richerette ? Dit Mika
Elle voulu courir mais fut rattrapé aussitôt.
- richerette dit une fois de plus Mika. Écoute vanessa ne représente rien pour moi elle est juste la fille d'un collaborateur de mon père
- mais tu avais l'air bien avec elle
- en faite elle manipule beaucoup son père et j'ai peur qu'elle se serve de ça pour lui demander d'arrêter son contrat.
Mais Richerette n'avait pas l'air vraiment rassuré constata Mika
- et tu sais je suis attiré uniquement par    une fille et je pense que tu l'as connais
- non, dit elle méfiante. Dc tu avoue être attiré par quelqu'un malgré le fait que tu m'ai embrassé. Dit elle en colère. Espèce de goujat
- mais non c'est toi petite gourde. Dit il en souriant avant de l'embrasser à nouveau et quand elle lui rendit son baiser il vu qu'elle n'était plus en colère.
- ok c'est bon pour cette fois
                    *
                 *    *
Le lendemain comme avait prévu Chris son patron l'appela pour lui informer qu'elle pouvait prendre sa journée. Malgré le fais qu'il lui ai dit que cette soirée de libre ne sera pas déduit de sa paye. elle lui promis de travailler deux fois plus le lendemain.
- allô ;
- oui mademoiselle Pharel ?
- elle même
- c'est votre patron Patrick Benet
- oui Mr
- je tiens a vous informer que vous pouvez prendre votre journée
- vraiment, merci Mr. Je tiens a vous assurer que demain je travaillerai deux fois plus pour compenser cette journée
- ce n'est pas grave mon enfant je ne réduirais pas votre paye. Prenez ça comme un cadeau de remerciement pour vos efforts
- vous n'êtes pas obligé Mr. Je travaillerai et n'insisté pas ma décision est prise
- ok mademoiselle. Et passé une bonne soirée
- merci Mr
Après sa discussion avec son patron il était un peu plus stressé mais en mm temps excitée d'aller enfin dîner. Après avoir pris une longue douche froide elle décida de s'habiller, mais elle se rendit compte qu'elle n'avait pas eu le temps de faire les magasins et n'avait donc rien a se mettre. Quand on sonna à la porte.
- oui j'arrive. En s'avançant devant la porte avec son peignoir bien serré
- qui est ce demanda t'elle
- le coursier
- le coursier ? En ouvrant la porte
- tenez madame. Il lui tendit un carton et une feuille de papier à signer
- merci dit elle en signant
Puis elle ferma la porte il était déjà dix sept heures. Elle examina le paquet et vu un mot, sur le quel était écrit. << Ne fait pas la cruche et acceptez le. Je tiens à vous faire plaisir. Et s'il vous plaît laissez vos cheveux détachés. Vous êtes si belle ainsi. Et aussi quand vous rougissez de cette manière>>. Il n'avait pas tord elle était toute rouge et son cœur battait la chamade  mais se ressesit aussitôt. Quand elle ouvrit le paquet elle n'y croyais pas c'est yeux une somptueuse robe bleue sa couleur préférée.
- mais comment a t'il su ?
S'interrogea t'elle en s'asseyant sur un canapé bleu. Et soudain se rendit compte que la plus grande partie de sa maison était décoré de bleu
- Emi cesse de réfléchir et habille toi. Se dit elle
Elle fonça alors dans sa chambre et enfila la robe elle était pile a sa taille et Émilie se demandais comment a t'il pu connaître ses mesures et se promis de lui demander au dîner
Elle se maquilla coe d'habitude mais un peu plus travailler tout de même, mais resta toujours simple comme elle l'aime et ne changerait cela pour personnes. Elle détacha alors ses cheveux comme promis. Et le résultat était parfait, enfin elle croyait car quand elle entendit sonner elle ne pu s'empêcher de se trouver des défauts. Elle trouva néanmoins la force d'aller ouvrir la porte et la elle découvrit le plus bel homme qu'elle n'eu jamais vu. Emi en eu le souffle coupé. Christian Stevens constituait à lui seul la virilité incontesté. Emi aurait juré avoir vu dans ses yeux une lueur y passer. Un frisson se mit à parcourir le long de son corps. Devant cet homme dont la musculature fut impressionnante.
- mademoiselle pharel vous êtes ravissante.
Ravissante était un bien pauvre mot pour ce qu'il avait devant les yeux cette femme n'y était plus elle était bien plus. C'était la première fois qu'il la voyait avec les cheveux détachés, ils étaient ondulés et descendait jusqu'à la naissance de ses jolies fesses. Qu'il regardait avant de dévier son visage sur cette femme qui portait la robe qu'il lui avait offerte. Christian baissa lentement ses yeux sur les courbes du bustier qui soulignait parfaitement sa poitrine. Un désir violent vint se nicher au creux de ses reins.  Mais il fut vite tiré de son état de songe par elle
- cette robe ne me va t'elle pas a se point Mr Stevens. Ne pu t'elle s'empêcher de demander vu la façon dont il la regardait. 
- comment peut elle penser une seconde a ne pas être belle. Était elle si peux consciente de sa beauté ? Ne pu s'empêcher de penser Christian
- vous êtes magnifiques je vous l'ai dit maintenant allons y. Dit il en lui tendant la main. Qu'elle pris volontiers.
Elle ferma la porte et s'en alla.

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