Le lendemain matin Émilie était fin prêt pour son voyage, enfin s'efforçait elle d'y croire. Il est bien vrai ses valises sont faites et son passeport est là mais mentalement elle redoutait ce voyage énormément.
- j'espère que tout ce passera bien. Bon je dois être à cet aéroport privé dans 45 min le temps pour moi de prendre un café.
Comme à son habitude elle se mit devant sa fenêtre, elle baladait ses beaux yeux noisette dans la rue. S'en objectif particulier se forçait elle a penser. Car elle le cherchais lui, l'homme qui la hantait dans ses rêves déconseillé au moins de 20 ans, oui dans ses rêves pas très catholique. C'est cet homme qu'elle cherchait désespérément des yeux, juste pour le voir, juste ça, elle n'en voulais pas plus. Pensa t'elle.

Christian aurait aimé sortir de cette chambre pour allé courir comme à son habitude et oui essayer de regarder incognito la fenêtre du dessus pour espérer voir ces magnifiques prunelle donc t'il rêve tant, et pouvoir s'imaginer à la place de cette tasse de café qui n'a même pas idée de la chance de pouvoir sentir de tel lèvres. Christian était tellement perdu dans ses pensées torrides qu'il ne remarqua même pas la présence de Simon devant la porte.
- Mr la voiture est prête nous devons nous rendre à l'aéroport.
- allons y Simon
Les deux hommes s'en allaient en direction du garage où ils prirent la porche qui y était.
En passant devant l'immeuble, Christian regarda par la fenêtre dans l'espoir de voir Émilie devant la sienne, mais il fût déçu.
- peut être est elle déjà parti. Pensa t'il. Doit je aller la chercher ? Non je me suis promis de l'éviter, exactement Comme elle a essayée de le faire après les résultats du concours.
Christian déprimait de plus en plus, il espérait au fond de lui que Émilie soit heureux du voyage.
- c'est pour son bien se voyage, ses études, la décompression, nous.
Venait il vraiment de dire "nous" en pensant à Émilie et lui, il n'en revenait pas, il était plus attaché à elle qu'il le croyait.
- pourquoi ne pas aller la chercher. C'est ma voisine et nous allons dans la même direction c'est normal. En plus ça ne me dérange pas. Mais elle, dit il soucieux, est ce que ça la dérangerait ?

Emilie fermait sa valise lorsqu'elle entendit le bruit de la sonnette retentir. Elle la pris sur le lit et se dirigea vers la porte.
- qui est ce ? Demanda t'elle
- Jules Madame Pharel
Qui est ce donc pensa la jeune fille.
- sans doute un autre coursier comme la dernière fois.
Emilie se rappelle de cet instant où on lui as dit que le paquet venait de Christian.
- peut être que c'est toujours de lui, met une robe pour voyager n'est pas bizarre ? Dit elle toute émue et rouge d'excitation, peut être ne lui en voulais t'il pas de ce qu'elle avait fait. Elle la soulageait.
On frappa encore à la porte. Ce bruit suffit à sortir Émilie de ses pensées,elle ouvrit aussitôt la porte, mais elle fut déçu de ne voir aucun colis entre les bras de cet homme
- bonjour que puis je faire pour vous ?
- le propriétaire m'a dit que vous vous plaignez des bruit du déçu et que ça vous empêchait d'apprendre c'est derniers temps.
- oui c'est bien le cas, et qui est vous.
- je suis Silvio le fameux voisin, dit il en souriant. je viens juste m'excuser, j'organisais avec mi familia une fête pour fêter mes fiançailles,
- c'était donc lui le fameux mexicain séduisant dont me parlais Sophie la voisine dans face ? Pensa Émilie en détaillant le jeune homme du regard.
Il était vraiment pas mal yeux noir, un corps bien musclé digne d'un mexicain, ses cheveux étaient lissé en arrière laissant voir ses mâchoires, mais il lui manquait forcément quelque chose car Émilie n'arrivait pas à le trouver attirant du tout malgré sa gentillesse apparente et sa beauté.
- mademoiselle ?
Emilie sortie de ses pensées
- oui oui d'accord dit elle confuse. C'est pas grave je vous pardonne. Poursuivie t'elle en lui tendant une main.
- mais madame dans mon
Pays après une réconciliation on se fait la bise. Dit il en lui prenant dans ses bras avant de lui faire un baisé sur la joue gauche et un autre sur la droite.
Christian montait à pas rapide vers la porte d'Émilie, et fit surpris par la scène qu'il avait devant lui, un homme qui prenait Émilie dans ses bras ? Un homme ? Et pas lui ?
Alors Christian se mis à penser à tous ce qui était possible.
- son manège de femme apeurée n'était que pour le duper, son visage d'ange et son regard innocent n'était qu'un jeu.
Christian descendit les escaliers plus vite que lorsqu'il venait.
- les femmes sont donc toutes des manipulatrice ? Et celles qui paraissent saines sont en réalité les pires. Je pensais qu'elle ressentait la même attirance que je ressent pour elle.
Christian arriva au rez de chaussée et s'en alla vers sa voiture toujours autant irrité.
- que des profiteuses !

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