- ceci est votre carrosse princesse. Avait dit Christian à Émilie
Soudain elle s'était pris de vertige et se laissa tomber, mais Christian intervint et la rattrapa.
- est ce que vous allez bien. Demanda Christian
- oui je crois. Disait elle en se levant précipitamment. 
- vous en êtes sûr disait Chris le coeur lourd de compassion. Qu'est qui vous ait arrivée.
- je ne sais pas vraiment. Elle disait vrai elle ne savait pas. Juste  des brides de souvenirs qui lui paraissait triste mais c'était sa vie et ça ne concerne qu'elle.
- qu'attendons nous allons y Mr Stevens. Allez vous rester là a me regarder mourir de faim
Disait elle souriante
- non, bien sûr que non  allons y. Dit t'il avec assurance.
Ils entrèrent dans le véhicule et s'en allèrent. Dans la voiture il constata que Émilie ne se sentait pas bien,
- on dirait qu'elle pense à quelque chose. Pensa t'il
Emilie essayait de se rappeler de ce  flashback si affligeant.
- mademoiselle pharel est ce que tout va bien
Sa voix était comme un choc qui la retira de son songe.
Comme elle ne répondait pas il pris sa main. Ce qui eu pour conséquence de faire trembler les jambes d'Emilie tellement son coeur battait vite
- allez vous bien ? Répéta t'il
- oui oui bien sûr.
- sachiez que vous devez me dire la vérité. Dit il d'un ton assez sévère. Un ton qui ne plaisait pas vraiment a Émilie. 
- et vous sachiez que vous n'avez pas le droit de me parler ainsi. Dit elle en se tournant pour le regarder dans les yeux en le pointant du doigt, mais elle se rendit compte trop tard  que c'était une erreur car les beau yeux noisette du bel homme fit chavirer son coeur et toute sa colère disparu, il attrapa alors la main tendu d'Emilie et l'attira a lui. Elle était devenu muette il ne lui restait que ses frissons elle tremblait de partout 
-   mademoiselle pharel rendez vous bien compte que je m'inquiète a votre sujet et je n'aime pas que vous me mentiez de la sorte. Ai-je  était suffisamment claire ?
- mais de quel droit osez vous ! dit elle d'une voix presque inaudible.
Il resserra son étreinte en rapprochant leurs visages.  Une peur presque insoupconée l'envahie, et elle se decola de lui le coeur battant.
Il n'avait aucune idée de ce qui se passait mais sait qu'il avait Vu de la peur dans ses yeux.
- suis je a ce point effrayant. C'était il demandé
Le chauffeur s'arrêta devant un superbe restaurant et ils descendirent.
Les lieux était vraiment somptueux ce qui illumina le visage d'abord effrayé de Émilie 
- c'est très beau dit Émilie d'une voix presque inaudible. Mais elle fut vite reprise dans la réalité, quand elle se mit a penser que malgré cette somptueuse robe elle ne tromperait personnes, elle n'était pas de ce monde si, elle était plus tôt du monde petit casse  croûte après avoir nourrie Gertrude évidemment.
sa place n'était pas ici. Dit elle résignée
- vous êtes ravissante. Vous allez aimez je vous promet, mais si vous ne vous sentez pas bien je vous promet de vous ramener. Faite moi confiance
Elle le regardait les yeux pleins d'émotions son coeur battait au rythme d'une fanfare
- mais comment lui faire confiance alors que chaque fois que je suis proche de lui mon cœur bat si vite sans aucune raison. Même si ces derniers temps c'est différent. Oublie ça Emi se somma t'elle.
- allons y. Dit il en lui tendant son coude
qu'elle saisi malgré avoir hésité.
Il entrèrent dans le restaurant et tout était magnifique.
- bonjour Mr Stevens. Déclara une jolie demoiselle avec un très beau sourire elle était brune, fine et petite avec des yeux magnifiquement vert. C'était la réceptionniste
- bonjour Clara
- Mr Stevens je vous prierai de m'appeler Mademoiselle Pennintong. Dit elle en perdant son sourire. Avant de continuer a parler
- Que puis-je faire pour vous? La table familiale ?
- non pas cette fois. Je suis accompagné voyez vous.
Elle jeta un œil derrière lui et trouva une belle femme vêtu d'une somptueuse robe bleue.
Lorsque Emi leva la tête elle pu voir le visage de la réceptionniste qui la dévisageait. Les yeux de cette dernière était dépourvu d'émotions mais Emi  pu y découvrir de la pitié. Mais elle ne compris pas pourquoi.
- alors je veux une table pour deux. Ma préférée bien-sûr. Repris Christian.
- bien-sûr Mr, vous obtenez toujours ce que vous voulez. Elle avait dit ces mots comme si elle en avait été témoin. Puis elle repris
- Tom ! Cria t'elle accompagne Mr a sa table préférée. Et prend leur commande
-  ok grande sœur.
Donc il sont frère et sœur pensa Emi sous le champs.
Ils étaient enfin a leur table. Tom déposa les menus et s'en alla.
- Mr Stevens allez vous bien ?demanda Emi immédiatement après le départ de Tom.
Christian repensait aux mots de Clara. Elle ne lui avait donc pas pardonné pensa t'il. Quand il s'imaginait des stratégies pour se faire pardonner,la douce voix de sa compagne le fit revenir à la réalité.
- Mr Stevens ? Appela encore Émilie
- oui mademoiselle pharel
- je me demandais si vous vous sentez bien ?
- oui bien sûr.
Emilie n'était pas vraiment convaincu. Mais n'insista pas.
- alors mademoiselle pharel qu'est ce qui vous fait envie.
- je dirais tout mais ça ferait trop gourmande. Pensa t'elle à haute voix
- que dites vous ? Demanda Christian en riant.
- je vous assure que non. Reprit il. Tant que votre estomac peut le contenir
Emilie était devenu toute rouge quand elle réalisa qu'elle avait parlée a voix haute.
- désolé. Dit elle
- pourquoi vous excusez vous ce n'est pas un crime d'habitude les femmes qui viennent ici en m'a compagnie ne mange presque rien car on peur du regard des autres et de moi. Mais vous non. Donc c'est amusant
- avez vous choisi ? Demanda Tom a son retour
- oui moi je voudrais du poulet dit Émilie
- pareil pour moi. Dit Christian en regardant Émilie qui rougissait.
Elle est si belle. Pensa t'il
Il voulait lui dire mais ne voulais surtout pas la rendre gêné
- ce sera tout Mr ?
- nous voudrions aussi du vin
- d'accord Mr
Et Tom s'en alla
Tant pis pour la gêne pensa Christian
- vous êtes resplendissante
Emilie devint encore plus rouge.
- vous aussi dit elle d'une voix a peine audible.
Ce mélange entre cette douceur et cette timidité était si beau qu'un désir presque incontrôlable vint se nicher entre les reins de Christian. Qui se ressaisir aussitôt.

- pourrait vous posez une question ? Demanda Christian
- oui mais a deux condition
- les quelques dit il en riant
- premièrement si elle est trop personnel je ne vous répondrai pas.
- et la deuxième ?
- si vous m'en posez un je vous en pose deux. Ok ?
Il se mit a sourire
- ok , pourquoi vétérinaire ?
- hummm, bon pour faire simple  mes parents étaient des éleveurs très pauvre qui ne vivait que de cela. Mais le bétail mourait tellement faute de soin vétérinaire. C'est tout.
- ah je vous comprends vouloir sauver sa famille a tout pris. Répond il l'aire songeur. Puis se reprend et dit. Ça vous ressemble tellement, mais est ce vraiment tout ?
- oui ! Euh , non , en faite je sais pas.
Christian était perdu et elle le voyais bien
- il s'est bien passé autre chose mais je ne m'en souviens plus. Apparamment j'ai eu un choc émotionnel ou un truc comme ça.
Voici votre commande. Dit tom avant de s'en aller
- a mon tour. Première question.
- je suis prêt allez y
- qu'est ce qui vous a poussé à être vétérinaire ?
- mon père
- sérieusement
- mon père
Emilie eu un petit rire
- désolée mais c'est difficile de croire qu'un homme comme vous. Avez obéi aussi docilement à votre père
- je sais que ça peut vous paraître difficile à croire mais dans ma famille c'est mon frère qui ne sais jamais laisser faire par mon père et qui réalisais toujours ce qu'il voulait.
- oh et il est quoi maintenant
- hmmm cuisinier
- c'est génial ça
- votre vin. Dit tom en revenant
- merci répondit Emilie
- je vois que aimez beaucoup les délicieux repas. Dit Christian en souriant
- ah ça oui. Réponds Emilie sans aucune gêne
Ce qui fit rire Christian
Elle leva alors la tête pour le regarder et elle fut ébloui par tant de beauté.
- il est si beau. Pensa Émilie. Puis elle se ressaisi quand elle remarqua qu'il avait arrêté de rire et la regardait.
Le silence devint pesant
- alors quel est ta deuxième question ? Demanda Christian pour rompre le silence.
Elle sourit
- comment tu connais ma taille de robe.
- le jour où je t'ai embrassé ma main était sur tes hanches, c'est tout. Il avait dit ça en la regardant droit dans les yeux.
Elle rougissait et ça  rendais Christian tellement fou qu'il du donner un coup de point sur la table pour stopper le désir qui naissait entre ses reins.
Le reste de la soirée furent comblé pas des rires et des découvertes.

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