Unexpected Love

9

- Vous y êtes
- merci de m'avoir raccompagnée Mr Stevens
- se fut un plaisir. Et s'il vous plaît arrêtez donc de me vouvoyer appelez moi Christian.
- d'accord
Ils descendirent de la voiture au même moment.
Émilie sortie les clés de son sac pour ce rassurer qu'elle était bien là. Parce que pour être tête en l'air elle l'était.
- et moi. Dit Christian. Ne devrait je pas vous appeler Émilie.
- si cela vous fait plaisir 
Dit elle sans le regarder.
- effectivement cela me fait plaisir
Elle se mit a rougir à ces mots.
- allons y
- pardon ? Je ne comprends pas
- mais allons y chez toi je te  raccompagne
Elle se mit à rire
- je ne crois pas non
- mais si dépêches toi. dit Christian déjà devant elle. Il arriva en premier devant son appartement, ouvrit la porte puis entra comme s'il était chez lui. Elle remarqua alors qu'elle n'avait plus les clés, tout ce n'en chantait pas beaucoup Émilie. Qui marchait aussi vite que possible avec ces talons pour le rattraper.
Elle entra chez elle et vu Christian faire du café. Cet homme était toujours beau quoi qu'il faisait. Mais fut vite de ce rappeler qu'elle était en colère contre lui.
- mais pour qui vous prenez vous.
Et sans prévenir Christian arrêtait tout ce qu'il faisait et se tourna vers elle, son regard avait changé, il était devenu plus menaçant, il s'avançait vers elle d'un pas lent mais déterminer. Elle voulu s'en fuir mais son coeur et ses jambes n'était pas d'accord. En quelque d'un côté elle voulait tellement qu'il s'approche un peu plus vite. Il arriva alors à son niveau, la plaqua doucement contre le mur et dit
- je t'avais demandé de me tutoyer, et tu avais pourtant accepté pourquoi viens tu de dire <<vous>>
Ces yeux était si beau et son regard si perçant qu'elle se cru fondre. Elle ne pouvait plus parler elle se mordillait juste la lèvre. Et ce fut un coup de poignard pour Christian, pendant toute la soirée il a du se retenir mais la c'était trop il la voulais il voulait l'embrasser tout de suite. Mais il se rappela la dernière fois où il l'avait fait elle s'était enfuie aussitôt
- pourquoi ne m'embrasse t'il pas pensa Émilie. Elle n'attendais que ça, elle n'arrivait même plus à suivre les battements de son coeur tellement ils étaient irréguliers.
- désolée fut les seuls mots qu'elle réussit a prononcer
- non c'est moi dit il s'en bouger son corps
Elle était si belle et cette couleur rouge sur ces joues le tentais encore plus.
- Christian ?
L'entendre prononcer son nom était de trop et de plus encore se désir qu'il avait tant refoulé au restaurant réapparaissait.il n'en pouvais plus , il l'embrassa mais cette fois avec plus de plaisir et plus d'ardeur que la première fois c'était un baiser passionné.
Emilie était étonné au début mais tellement satisfaite qu'elle ouvrit la bouche pour en avoir plus. On ne l'avait jamais embrassé de la sorte elle aimait ça et apparamment lui aussi car il eu un petit grognement qui donna des frissons à Émilie.
Soudain la réalité lui revint en face tel un miroir : il est riche.
Elle ne sais ni pourquoi ni comment elle craignait les hommes riches. Mais a cet instant elle s'en foutait elle voulait juste qu'il continue de l'embrasser
- il est riche. Dit une petite voix dans sa tête qu'elle fit vite d'ignorer en intensifiant leur étreinte. Christian eu un grognement de satisfaction, il la souleva jusqu'à ses hanches et elle profita pour y enrouler ses  magnifiques jambes. Le baisé devenais plus fiévreux. Les choses allaient enfin aller plus loin, quand soudain...
- il est riche. ...Repris la même petite voix
- il est riche. Riche. Riche. Encore un riche.
Emilie ne plus contenir cette voix plus longtemps.
Lorsque Christian voulais ouvrir la fermeture éclair de sa robe, elle le stoppa net, rompant le baisé et s'éloigna au maximum de lui de peur que son corps ne contredise ses actes.
Emilie avait sans aucun doute  perdu une partie de sa mémoire mais ce qu'elle sais c'est que de cette même partie perdu elle avait conclu de ne jamais tomber dans les bras d'un homme  riche. 
- Christian désolé mais va t'en s'il te plaît. Dit elle en se rapprochant de la porte pour l'ouvrir.
Il voulu répliquer mais à la vu de ses yeux remplis de larmes il s'en alla s'en rien dire.
Puis elle ferma la porte
- pourquoi tu as fait ça ? pourquoi ? Tu lui as encore fait peur. Se reprocha t'il. Il ferma les yeux et pris la décision d'éviter a tout prix Émilie.  Car il savait que s'il la revoyait il ne pourrait s'abstenir de la toucher et de l'embrasser a nouveau. Il parlait en sortant de immeuble et dit au chauffeur d'aller déposer la voiture directement au garage lui il n'habite pas loin et préfère donc marché. Après une telle décision qu'il regrettait déjà il avait besoin d'air et bcp d'air d'ailleurs.
Derrière la porte fermée on retrouve une Émilie en larme. Elle se déchaussa et couru dans sa chambre, se recroqueviller dans sa couverture. Elle voulait savoir pourquoi elle avait si peur des hommes riches, pourquoi son cerveau bloque cet épisode de sa vie, pourquoi n'a t'elle droit qu'à deux options : soit attendre que sa mémoire revienne petit à petit pendant une période indéterminée soit sur un choc en rapport avec son incident. Elle était fatiguée d'attendre elle voulait tout savoir et maintenant. Elle se leva, décrocha son portable, compose le numéro de Richerette pour tout lui demander, mais se rendant compte de l'heure elle y renonça.
Elle alla se coucher en espérant trouver le sommeil même si cela paraît impossible car un homme tourmente son esprit.
Le lendemain matin Émilie se réveille plus tôt que d'habitude et décide alors de réviser puis de prendre une douche, après cela elle se servit du café et se mit à la fenêtre dans l'espoir de voir l'acteur de ses rêves, mais il ne se présenta pas ni lui ni son chien d'ailleurs, elle eu un pincement au cœur et partie s'asseoir. Après son café elle se prépare et part en direction des cours.
Elle était l'a première comme ressamment ces derniers temps. Elle voulu alors appeler Richerette mais s'abstint quand une troupe d'élèves entra
- bon plus tard avait elle dit.
La salle se remplit et la professeur entra. Ils se levèrent, et s'assirent lorsqu'elle en fit signe.
- aujourd'hui vous aurez un petit contrôle et la personne qui aura la plus grande moyenne aura une surprise.
- laquelle madame ? Avait demandé un garçon au font de la classe
- encore un de ces enfants courageux que  rien n'effraie. Pensa Émilie
- C'est une surprise j'ai dit
- s'il vous plaît madame pour nous galvaniser. Insista alors le jeune homme
- bon d'accord.
Celui qui a la plus grande moyenne se verra offrir un voyage de une semaine avec un expert de confiance. Dans une jungle pour une expérience pratique du métier. Assurance garantie, un hôtel sera au courant de votre arrivé et donc toutes les dépenses seront pris en charge .
Tout le monde était existé sauf Émilie  perdue dans ses pensées avec pour principal acteur Christian Stevens.
Mme Bukarel partagea les copies, et l'examen commença. Quelques heures après l'examen, les cours se terminent et Émilie décide d'aller à son parc préféré où elle à l'habitude d'aller quand elle est anxieuse. Elle s'assit sur un banc observa les gens pendant quelques minutes le coeur plein de chagrin puis appela Richerette.
- allô Riri ? J'ai besoin de toi. Dit Émilie la gorge serrée
- allô Emi est ce tout va bien ? Réponds Richerette soucieuse
- oui oui a merveille je veux juste te voir
- s'il te plaît Emi ne me mens pas
- pourquoi pas ? Vous avez tous refusé de m'aider à retrouver la mémoire. Dit elle à Richerette avec les yeux remplis de larmes
- tu sais très bien que c'est faux. Le vétérinaire qui nous a aidé nous a clairement dit de laisser aller et de ne surtout pas forcé.
- et pourquoi pas ?
- Parce qu'il s'agissait d'un choc émotionnel. Dit Richerette triste.
- et depuis tant d'années rien a changé. Dit Émilie furieuse
- en faite Emi. Dit Richerette pensante
- oui quoi ?
- il nous a aussi dit que tu pouvais ne jamais tant souvenir, mais que ça dépend juste de l'impact de ce qui c'est passé a eu sur toi.
- mais au dernière nouvelle on m'a dit que un choc en rapport avec l'incident pourrait tout réparer. Pas vrai ?
- oui mais personne. Richerette toussa avant de continuer. Ne sais ce qui t'es arrivé.
- pourquoi tu mens Richerette ? Tu veux le dire que toi ma meilleure amie tu n'en sais rien ?
Richerette toussa encore une fois puis dit
- en faite Émilie hum
Demain j'ai un autre concours alors je dois te laisser.
- Richerette ne raccroche pas. Dit Émilie dans un souffle de colère
Elle venait de l'appeler Richerette ça veut dire qu'elle est furieuse contre moi. Pense son ami. Emilie peut être gentille mais quand elle se met en colère contre quelqu'un elle l'oublie complètement. Ce n'était jamais arrivé avec moi mais je l'ai déjà vu faire, je dois arranger ça
- Richerette ? Richerette ?
- bon ok Émi on se voit à 14h au café de Maggie Près du parc
- ok
Elle raccrocha directement. Et retourna s'asseoir sur le banc.
Emilie était très pênée et se posait beaucoup de questions. Elle n'avait pas remarqué que le temps avait vite passé il était presque 14 heures, elle quitta ce banc et alla directement au café.
Elle ne trouva pas beaucoup de monde mais c'était normal à cet heure, les gens viennent de finir leurs pauses et retournent à leurs occupations. Elle salua alors Maggie d'un sourire qui lui répondit directement avant de s'approcher de Émilie.
- bonjour Émilie, tu veux une table ?
- oui j'attends mon amie
- qui ? Le super canon qui était avec toi la dernière fois ?
- non non pas du tout dit Émilie gênée. Non cette fois si c'est ma meilleure amie qui vient.
- je vois on pourrait faire connaissance dans ce cas. Répondit Maggie excitée. Il faut dire que le mélange entre douceur et agitation de cette fille était vraiment réconfortant. Pensa Émilie. Puis la porte s'ouvrit sur une femme ravissante.
- Riri ?
- salut Emi. Richerette entre dans le café enfin plus rassurée car elle avait entendu Émilie prononcer son surnom.
- elle n'était donc plus fâchée. Pensa Richerette en soufflant de satisfaction.
- prenez cette table dit Maggie pour rompre le silence
Elles s'assirent a leurs tables, passa leur commandes deux cafés et des donuts, Maggie les laissa, et la discussion commence.