- que l'inspection commence. Dit Émilie réfléchissant où elle devrait commencer sa visite, mais les gargouillis de son ventre eu le dernier mots.
- le restaurant ? Très bonne idée estomac.
- ça doit être tout droit devant puisque c'est de là que venait l'hôtesse. Se dit Émilie à elle même tout en se dirigeant vers les lieux.
Emilie fut surprise lorsqu'elle ne vit pas l'ombre d'un restaurant il n'y avait ni chaise ni table comme dans les trains. Mais c'était belle et bien une pièce avec de la nourriture stocké dans des boîtes
- wouah elles sont encore chaudes.
Elle continua à regarder partout quand elle constata qu'il manquait quelque chose.
- où est l'hôtesse.
Elle chercha partout dans tous les recoins de cette pièce mes rien.
- elle doit sûrement être dans les latrines de l'engin pensa Émilie.
Elle continua son investigations quand elle se dit " il n'y a vraiment pas grand chose à voir dans un avion"
Déçu, elle retourna à son siège quand elle aperçut une porte juste à l'arrière, regarda a gauche et à droite comme si elle était espionnée, avant s'en approcher.
Ce qui attisa sa curiosité est le fait qu'il y avait un genre de code d'accès sur la porte elle s'en approcha donc, puis se tourna de temps en temps pour voir si ce qu'elle faisait attirait l'attention de Christian.
- bon il ne me regarde pas je peux faire ce que je veux.
Elle essaya de mettre 0000
Mais rien.
Elle se tourna vers lui, le fixa avec un air qu'elle espérait mystérieux, pour essayer d'imaginer le code qui lui irait bien.
- d'accord Mr Stevens que pouvez moi me dire. Pensa t'elle. Mais son visage joyeux se perdit peut à peut quand elle se rendit compte qu'elle ne savait rien de lui: de ses goûts vestimentaires ou culinaires, de ces préférence musicaux ou d'animaux, de ses amis, ennemis, ou même de sa famille.
Elle laissa tomber ses bras le long de son corps avec lassitude, ses pensées la troublaient énormément
ce qui la rendait autant triste est le fait qu'il n'a même jamais essayer de vraiment lui en parler de toute ces choses.
Elle retourna donc s'asseoir sur ces somptueux fauteuil sans mot dire, déprimé par cette idée.
Lui était assis juste à côté d'elle sans même daigné lui accorder ne serais ce qu'un regard pour la consoler.
- je ferai mieux de compter les nuages pensa Émilie, avant de s'assoupir avant même d'avoir commencé.
Quelques minutes plus tard Christian terminais son travail, il voulais dès lors se reposer, ce qu'il fit d'ailleurs mais remarqua près de lui un silence assassin. il regarda donc du côté où il devrais normalement y avoir du bruit et fût soulager de constater qu'elle dormait comme une fleur au couché du soleil.
Il s'approcha alors d'elle, déposa un baisé sur son front comme un réflexe ou pour l'apaiser ou peut être s'apaiser lui même, calmer le désir qu'il ressentait à chaque fois qu'il la regardait.
Ce qu'il ressentait en ce moment était indescriptible et incontrôlable, il se rapprocha encore plus d'elle et la souleva comme de rien n'était parce qu'il voyait bien qu'elle ne dormais pas bien dans cette position assise, il l'amena devant cette porte verrouillé qui brisa le coeur de Émilie. Il inscrivit le code et derrière se trouvait une fabuleuse chambre décoré en noir et gris une chambre qui reflétait la personnalité de son propriétaire. Christian déposa Émilie sur le lit au centre de la pièce, enleva les chaussures d'Emilie, remit une mèche rebelle derrière son oreille, il était maintenant assit à côté d'elle en là fixant tout simplement
- j'aimerais tellement t'avoir pensa t'il essayant de calmer son cœur battant a vive allure.
- va t'en c'est le seul moyen. Réfléchissait Christian comme unique solution. Devant la porte de sortie il regarda une dernière fois derrière lui
- elle est si belle. Dit il si doucement que lui seul pouvait entendre. Et dire qu'un autre homme l'embrasse, la regarda, la déshabille a cette dernière pensé une rage folle l'emporta. Elle devait être à moi dit il en sortant de cette chambre.
Dehors il senti un regard posé sur lui mais ne s'en inquiétait pas car il savait déjà de qui il s'agissait. «l'hotesse» bien évidemment elle a tjrs été amoureuse de lui. Mais il ne l'a jamais touché jamais vraiment regardé d'ailleurs.
- comment une fille aussi gentille a fait pour devenir si vulgaire.
Je me souviens quand je l'ai rencontré, elle était si gentille et ce n'est que par culpabilité que je l'ai embauché, elle le savait. Et d'ailleurs la majorité des filles qui travaille pour moi ont été embauché pour la même raison. Mais cette partie de ma vie c'est du passé j'ai fait du mal je l'assume, je le regrette car c'était la faute de mon père et c'est sans doute pour cela que je n'ai pas eu droit au "karma"
- pff le karma seul mon frère y crois.
Après plusieurs heures de vole Emilie se réveille enfin, tjrs sonnée pas le réveille elle ne remarque pas encore où elle se trouve.
- suis dans un hôtel ? Dit elle reprenant ses esprits.
- non je ne crois pas je sent toujours l'avion bouger.
Elle s'avança vers la porte et toqua trois coups pour attirer l'attention, Christian perdu dans ses pensées, assis tête en arrière sur le fauteuil entendit un faible song venir de la chambre.
- elle s'est sans doute réveiller tant mieux car nous allons bientôt atterrir.
Emilie frappa de nouveau, mais rien personne, elle entrepris alors de chercher l'interrupteur ça il y avait un noir à effrayé une chauve souris.
- bingo et que la lumière soit dit Émilie en activant l'interrupteur
- et la lumière fut répond Christian un sourire aux lèvres.
Emilie dans sa quête de lumière n'avais pas remarqué que la porte avait été ouverte.
- où suis je ? Demanda la jeune fille
- dans un avion répondit l'homme aux trait mystérieux.
- j'avais pas remarqué merci
- nous allons bientôt atterrir, venez dit il en lui tendant le bras en tel un gentleman.
Emilie s'avança vers lui toute souriante et le traversa en lui jetant un regard moqueur
- je n'ai pas besoin de votre aide monseigneur
- nous le verrons bien
Emilie s'avança vers la sortie et constata quel c'était alors refermé. Rumina quelque mots avant de se tourner tout sourire vers lui.
- comment vous sentez vous dit elle l'air de rien
Christian ne pipa pas mots et s'avanca vers elle une lueur dangereuse dans le regard.
- que fait tu ?
Il ne dit rien et continue à avancer comme un fauve, d'un pas lent mais déterminer, Émilie se mit à paniquer et sans vraiment savoir pourquoi, comme par réflexe, elle recula le plus loin possible avant de se heurter contre la porte, il était déjà devant elle, il lui bloquait la voie de ces deux mains, il est là, assez proche pour que leurs nez se touchent, se pencha encore plus, vers son cou
- que faîtes vous ?
- je t'aide ne le vois tu pas ?
Sans qu'elle eu le temps de répliquer elle entendit un son et compris que c'était celui de la porte qui s'ouvrait.
Elle voulut dès l'instant s'échapper mais il l'a retenait par le bras, elle était vraiment à bout de force tout ce qu'elle voulait c'était d'être proche de lui mais dès le moment venu elle essayait de fuir, elle ne pouvait s'empêcher de vouloir de lui mais avait aussi peur d'être utilisé puis abandonnée, elle n'arrivait plus à contrôler les battements de son cœur qui devenait de plus en plus intense au fur et à mesure qu'il la rapprochait de lui.
- il va m'embrasser ? Se demanda t'elle
- oui dit il
- il entend mes pensées dit elle paniquée
- oui repris t'il.
Cette fois si elle eu vraiment peur.
- oui tu es très jolie dans cette tenu. Continua Christian.
La sonnette de l'avion retentit et on pouvait distinguer la voix du pilote.
- veillez attacher vos ceintures nous allons bientôt atterrir. Avait t'il dit.
- on doit y aller là, Maintenant lâche moi dit elle d'une voix à peine audible.
Christian obtempéra à la demande du pilote et libéra Émilie.
L'avion atterri sans encombres. Emilie et Christian descendirent, L'hôtesse qui était déjà en bas des escaliers regardait Émilie descendre, son cœur rempli de jalousie et de haine mêlé.
- pourquoi elle ? Pensa l'hôtesse avant de sourire faussement, bonne arrivé Mr Stevens dit elle.
Sans regarder ne serait ce une seule seconde Émilie.
Une voiture les attendait déjà. On y déposa leurs affaires et ils montèrent. Le trajet se passa dans un silence meurtrier, et tant mieux car ce que c'était passé dans l'avion ne faisait que se répété dans la tête d'Emilie
- est ce un signe ? Ou bien joue t'il avec moi pour me punir de mes comportements passé. Se demanda t'elle.
- c'est sûrement ça. Reprit elle en passant à la deuxième suggestions.
Son cerveau nu pas le temps de réfléchir plus longtemps car ils venaient d'arriver.

La voiture se gara devant un splendide cottage, Christian se tourna vers elle. Dans les couleurs rougeoyantes du soleil, ses yeux pris un aspect indéchirable et un désir incontrôlable s'empara de lui.
- c'est magnifique, murmura t'elle en ouvrant la portière
Dans ce paysage dégagé sans arbre et d'un jaune lumineux la jeune femme s'approchait timidement de son domaine les lèvres frémissantes d'un sourire contenu
- il y a un oasis. Venez, je vais vous montrer, mais avant mettez ceci.
Christian lui tendit un chapeau de paille qu'il avait pris dans le coffre de la bagnole. Il en avait aussi un identique sur la tête. Emilie ne pu s'empêcher de le regarder, car même avec ce chapeau sa beauté ne s'atténua pas d'un chouya au contraire il avait l'air plus décontracté malgré ça chemise bien repassé et c'est chaussures typique d'homme d'affaires,
- il est encore plus beau. Pensa t'elle
- tu baves !
Elle se réveilla de sa rêverie
- quoi dit elle irritée et gênée.
Il la regardait toujours et elle devenait de plus en plus rouge
- elle est si belle, de son chapeau à sa personnalité si naïve correspond parfaitement avec le paysage, cette femme le fait exprès ou quoi ? C'est complètement impossible d'avoir une t'elle beauté. Tout ces mots se mélangeaient dans la tête de Christian qui la regardait toujours, ce qui réveilla sa libido il n'en pouvais plus et en plus elle rougissait encore.
Il s'imaginait des scénarios où ils ne serais que deux dans un endroit un peu plus privé où ses caresses la ferais rougir de cette même façon ou peut être plus des cris et des orgasmes mêlés
- assez s'enquit il à voix haute sans s'en rendre compte. Ce qui fit sursauter Émilie de peur et il le remarqua
- désolé, allons y
- d'accord
"Cette femme seigneur pourquoi ?" Pense Christian
Avant de s'avancer avec elle. Emilie le suivie au coeur au coeur de cette savane en jettant des regards circulaires partout autour d'elle.
Il n'y avait que le silence qui régnait dans cet endroit magnifique et presque hors du temps.
Elle grimpa les marches et le suivit a l'intérieur du cottage d'une rare beauté.
Il posa son sac dans l'entrée et plaqua une main autoritaire dans son dos, Émilie eu un ok de surprise avant qu'un long frissons ne parcours son corps. Christian l'entraina sur le balcon.
- c'est splendide on dirait qu'on est sur l'eau. Dit elle dévorant l'oasis des yeux.
- c'était ça l'idée expliqua Christian en la regardant se pencher dangereusement
Il pris son bras pour qu'elle se redresse
- faites attention vous n'imaginez pas le nombre de femme qui se sont noyées en se penchant de la sorte...
Christian s'efforçait de rester sérieux devant sa mine déconfite.
Emilie venait de perdre sa bonne humeur en se rendant à l'évidence.
- il a sûrement amené des dizaines de femmes ici. C'est normal c'est pour des études alors pourquoi mon cœur se sert de cette façon. Elle failli couler une larme mais coe s'il lisait dans ses pensées il dit
- je plaisante Émilie, ici c'est ma résidence personnel, chuchota t'il en se penchant vers elle.
- j'ai du changer notre décision a la dernière minute le camps pour les Venu d'étudiants est beaucoup plus loin mais plus près du grand parc d'animaux.
Emilie était soulagée mais ne pu s'empêcher de le fusiller du regard tellement elle était furieuse, avant de se tourner vers l'horizon
- très drôle monsieur Stevens
Christian se rapprocha et l'obligea à la regarder en glissant son index sur son menton
- alors ? Vous ne regrettez pas d'avoir pris la place de votre amie ?
S'enquit il d'une voix profonde
Ses yeux s'abaissèrent timidement et le trouble de le faire défaillir il retira son doigt par crainte de lui faire peur et qu'elle ne s'en fuit comme d'habitude
Bon sang ! reprend toi s'admonesta t'il en serrant convulsivement les mâchoires.
- non je ne regrette pas, dit elle d'une voix à peine plus haut qu'un murmure ...
Comme si elle prenait conscience qu'elle était sur le point de basculer dans l'inconnu

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