Flammed Hast [ DAZAI X OC ]

𝚌𝚘𝚑𝚊𝚋𝚒𝚝𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗

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Mark et Dazai se défièrent du regard un instant. Un instant qui parut si long que lorsqu'ils se détournèrent, la plupart des personnes présentes dans la salle s'étaient déjà éclipsées.

— Viens, Harper, on y va.

Le brunet prit la main de sa compagne et l'attira avec lui à travers la foule. Elle le suivait avec difficulté, car il ne fallait pas oublier qu'elle se tenait toujours sur cette fichue chaise. Elle maudit alors son fauteuil roulant et suivit Dazai à travers la foule qui tentait de sortir rapidement de cette salle qui n'avait plus rien de festif.

Ils se hissèrent un chemin jusqu'à la sortie, où les attendaient déjà leurs collègues.

Kunikida scruta les alentours.
— Ok. Tout le monde est là ?

— Oui, on n'a oublié personne, à priori, répondit Ranpo avec aplomb.

— Voilà à quoi servait ce rassemblement... souffla Yosano.

— Oui, c'est vrai qu'on aurait pu avoir mieux, comme ambiance... approuva Kenji.

— Pas le temps de se lamenter! s'exclama Kunikida. L'agence est désormais en danger. Même plus que les autres organisations.

— On doit trouver un moyen de se protéger mutuellement, enchaîna Dazai.

Ranpo croisa alors le regard de la brunette qui se tenait à ses côtés. Il déploya alors un grand sourire, ce qui plongea Harper dans un profond désarroi.

— On a eu la même idée, n'est-ce pas ? s'exclama Ranpo, le sourire béat.

— Non, Ranpo, ne me dis pas si tu comptes...

— ON VA TOUS COHABITER ENSEMBLE! la coupa ce dernier.

— C'est vrai que c'est la solution la plus adaptée... je suis d'accord, lança Kunikida.

— Et nous ? On a pas notre mots à dire ?répliqua Yosano, tangible.

— Et bien, non. C'est moi le chef de cet agence. Alors retournez chez vous faire vos bagages. Rendez vous à cette adresse dans une heure au plus tard. Les retardataires seront SANCTIONNÉ! dit-il en appuyant son regard sur Dazai et Harper.

Il tendit des cartons à chacun.
Sur cette feuille cartonnée se trouvait une adresse et une image du lieu.

— C'est un hôtel plutôt connu, ne vaudrait-il mieux pas séjourner dans un espace peu habité et plus discret ? le questionna Tanizaki.