𝟴 - oito

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PDV AMALYA

Lundi 12 octobre 2020-21h30

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Lundi 12 octobre 2020-21h30.

21 h 30 arrive rapidement, et j'ai consacré l'après-midi à ranger les affaires que nous sommes allés chercher avec Sandro et Gabin. Ce dernier est très sympa et a beaucoup d'humour.

Enfin de retour dans ma chambre, je me prépare rapidement, faisant une petite toilette et fouillant dans mes robes. Je finis par choisir une robe mauve en satin à bretelles, épousant délicatement les courbes de mon corps, avec un décolleté en V plongeant et une jupe évasée sur la cuisse droite. Elle fait bien ressortir mes formes, et je me sens plutôt bien dedans.

Plus jeune, j'ai souvent été complexée par mes fesses, les trouvant trop volumineuses, mais au fil du temps, j'ai appris à les aimer.

Je décide de ne pas prendre mon arme ce soir, la robe étant trop moulante, cela ne passerait pas inaperçu. J'opte pour des escarpins blancs et un léger coup de mascara pour accentuer mon regard.

Consultant l'heure, je réalise qu'il est déjà 22 h 02, il est temps de descendre. Le bruit de mes talons résonne à mesure que je descends les marches.

Tous les regards se figent devant moi, mais mes yeux se fixent sur un seul individu.

Il est magnifique dans son jean noir et sa chemise blanche. Une Rolex orne son poignet, et ses chaussures de ville simples noires complètent son allure. En me voyant, il passe rapidement une main dans ses cheveux, geste que je suis du regard. Ses clavicules se dessinent grâce à la chemise qui le moule, et cette veste en cuir lui va à la perfection.

Amalya, attention, tu risques de baver.

- Très bien, allons-y, lance mon frère.

Tout les hommes présents portent leurs vestes en cuir, pour la discrétion, on repassera hein.

Lundi 12 octobre 2020 - 22h36

Arrivés en boîte, nous passons sans soucis par l'entrée VIP et nous retrouvons sur une mezzanine, avec une vue imprenable sur toute la boîte. Dans notre coin VIP, trois strip-teaseuses commencent à bouger sensuellement sur les barres.

Je ne prête guère attention à leur spectacle et me dirige vers la barrière qui sépare la mezzanine du reste de la boîte, scrutant la foule du regard. Je sens une présence à côté de moi, mais je ne bouge pas, sachant très bien de qui il s'agit. Caído.

- Tu vois le mec au bar, jean kaki et tee-shirt noir ? C'est lui, faut que tu nous l'amènes. Je le vois souvent en compagnie de Carlos sur les photos que mes hommes prennent pour moi.

- Très bien, dis-je ne quittant pas des yeux l'homme.

Je me détourne pour descendre, mais sa main me retient, mon cœur s'emballe. Je me retourne le regardant.

Au sein de la mafia | TERMINÉE |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant