DARKROMANCE.
Je m'étais convaincu que mes affaires étaient ma priorité, que mes objectifs professionnels et personnels étaient la seule chose qui méritait mon attention. Mais ce n'était que de la poudre aux yeux, des excuses que je me répétais pour...
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Dès qu'elle est entrée dans la salle de réunion avec sa jupe et une de mes cravates autour de son cou, quelque chose en moi s'est déclenché. Des images de nous deux, jouant à des jeux coquins avec cette même cravate, n'ont pas arrêté de défiler dans mon esprit.
Sa façon de lécher cette cuillère en mangeant sa glace, c'est inhumain. Je la vois qui commence à sortir.
Oh non non, je ne crois pas.
- Pas si vite, ma puce. Toi et moi devons encore parler d'un très gros problème.
Elle se retourne vers moi, me regardant avec incompréhension. Mais quand elle sonde ses yeux avec les miens, remplis de désir, elle comprend tout de suite, et un sourire en coin apparaît sur ses belles lèvres pulpeuses. Oh ma puce, si tu savais ce qui t'attend.
- Oui, mon amour ? Tu voulais me parler ? me dit-elle de manière innocente en papillonnant des yeux.
J'imagine sans mal cette tête-là quand elle est à genoux devant moi. Putain, j'en peux plus. Il me faut sa bouche. Je l'attrape par ses cheveux à l'arrière de sa tête et lui dévore les lèvres sans scrupule. Ses mains vont de mes cheveux à l'arrière de mon cou avant de descendre pour commencer à déboutonner ma chemise. J'arrête malgré moi le baiser.
- Pas ici.
Je prends sa main, nous sortons de la salle et montons dans la chambre. À peine la porte refermée, elle se jette sur moi, je la rattrape en maintenant ma prise en dessous de ses fesses. Ma chemise finit vite par terre, tout comme mes chaussures, les siennes et mon pantalon. Ma queue est déjà bien réveillée. Je suis en caleçon seulement alors qu'elle est toujours habillée.
Réglons vite cette injustice.
Depuis notre rencontre, je ne contrôle plus mes émotions, je ne contrôle plus rien. L'intensité de nos moments partagés semble avoir bouleversé mon équilibre émotionnel. La passion et le désir s'entremêlent, créant une toile complexe qui transcende toute logique.
- Ma puce, tu n'imagines même pas toutes les choses qui me sont passées par l'esprit en te voyant avec cette cravate, murmure-t-il, son regard empreint d'une lueur suggestive.
Je la regarde, cette cravate qui semble être devenue bien plus qu'un simple accessoire vestimentaire. C'est devenu le symbole d'une connexion profonde entre nous, un lien qui éveille en nous des sentiments que nous avons du mal à contenir. Son toucher est doux, ses gestes sont empreints de désir.
Je décide de débarrasser mon bureau d'un geste déterminé, l'assois délicatement dessus, et entame le retrait de sa jupe tout en continuant de l'embrasser. Chaque mouvement est empreint de la passion qui nous consume, une explosion d'émotions qui transcende la raison. Depuis notre rencontre, il semble que chaque instant passé ensemble soit une exploration des limites de notre désir mutuel.
