𝟭𝟴 - dezoito

797 32 0
                                    

PDV AMALYA

La voiture avance paisiblement sur la route menant à l'entreprise, Gonçalo occupant le trajet au téléphone, sa main posée tranquillement sur ma cuisse, en train d'organiser la livraison de Vladimir

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

La voiture avance paisiblement sur la route menant à l'entreprise, Gonçalo occupant le trajet au téléphone, sa main posée tranquillement sur ma cuisse, en train d'organiser la livraison de Vladimir.

À notre arrivée à l'entreprise, Ali se hâte pour ouvrir la porte, et je descends du véhicule.

- Merci, Ali.

Il répond d'un simple mouvement de tête, referme la porte derrière moi et fait signe aux voitures qui nous suivent. Une dizaine d'hommes en descendent.

Je saisis la main de Gonçalo, et ensemble, nous pénétrons dans le hall principal de l'entreprise. Les réceptionnistes nous saluent, et nous nous dirigeons vers l'ascenseur. Gonçalo reste au téléphone tout en appuyant sur le bouton du dernier étage.

Son appel se termine au moment où les portes s'ouvrent sur son étage. Nous nous dirigeons vers son bureau. Une fois à l'intérieur, il se dirige vers sa chaise après m'avoir embrassé, et je m'installe sur le canapé à proximité.

Cependant, après une vingtaine de minutes à traîner sur mon téléphone, l'ennui s'installe rapidement. J'ai déjà exploré tout son bureau et les locaux en entier. Rien de nouveau à découvrir.

Je regarde autour de moi, essayant de trouver quelque chose à faire. L'atmosphère du bureau est silencieuse, à l'exception des bruits étouffés des conversations téléphoniques qui se déroulent autour de moi. Je me lève et commence à déambuler dans la pièce, jetant un coup d'œil aux étagères remplies de dossiers et de trophées. Rien ne capte vraiment mon attention.

Finalement, je décide de m'approcher de la fenêtre, espérant trouver quelque chose d'intéressant à observer à l'extérieur. Les immeubles et les voitures s'étendent à perte de vue, mais même cette vue perd de son attrait rapidement. Mon esprit divague, cherchant désespérément une distraction.

Je me tourne vers Gonçalo, toujours absorbé par son travail. Un léger soupir m'échappe alors que je m'affale de nouveau sur le canapé, attendant que quelque chose d'excitant se produise. L'ennui persiste, et je me demande combien de temps cela va durer avant que notre mission ne prenne un tournant plus captivant.

Cinq minutes plus tard, je ressens toujours ce poids de l'ennui qui pèse sur moi, mais lorsque je le mentionne, un sourire se dessine sur le visage de Gonçalo. Il lève les yeux de son bureau et, comme s'il avait capté mon besoin de divertissement, se lève pour tirer une chaise à côté de la sienne.

- Viens ici, me dit-il en souriant.

Je m'approche et m'assois, attendant qu'il me donne quelque chose à faire pour échapper à cette monotonie qui m'accable.

- Bien, tu vas..., commence-t-il avant d'être interrompu par le haut-parleur posé sur son bureau.

- Monsieur Caído ? Un Agent Morales est ici pour vous voir.

Au sein de la mafia | TERMINÉE |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant