PDV de Bradley Campbell
Moi : - Anna, je veux te parler. Allons au balcon. Elle hocha la tête et me suivis, jusqu'au balcon. Tu veux danser?
Anna : - Hum oui... Euh Bradley on ne danse pas au rythme de la musique...
Moi : - Mais on danse à notre rythme, Anna. Lui dis-je tout près de son oreille. Elle me repoussa et elle se dirigea vers la bord du balcon.
Moi : - Écoutes je sais que tu m'as vue avec cette fille. Tu penses toujours que je suis un homme bien ? Je m'approcha d'elle et elle se retourna.
Elle : - ... Je ne sais pas, je n'arrive pas à te cerner... C'est difficile...Je m'approchai d'elle dangereusement, je lui prit par sa taille, je mis ma main délicatement sur sa joue et nos visages se rapprochèrent de plus en plus et je l'embrassai et elle répondit à mon baiser. Et Anna me poussa mon torse légèrement et je m'écartai d'elle lentement, mais je tenais toujours sa taille.
Moi : - Et maintenant tu arrives à me cerner. Et je lui regardai avec une expression neutre, sans émotion.
Anna : - Bradley... Je ne te comprends pas, tu es indescriptible. Est-ce ton armure pour cacher tes sentiments?
Moi : - Je pense que oui... Maintenant tu penses que je suis un connard. C'est mieux ainsi. Tu as même dit devant cette femme que j'allais l'abuser et bien je pense que tu as raison.
Elle : - Je lui ai dit ça parce que... Je n'ai pas envie qu'elle ne t'approche encore plus de toi. Son visage se crispa et semble tendue.
Moi : - Anna répond-moi honnêtement, tu étais jalouse?
Elle : - Ok c'est bon, tu m'as déjà assez tester pour aujourd'hui! J'ai pas envie d'en parler! C'est trop demander ça. Quand j'y pense pourquoi tu voulais m'épouser, ok j'ai compris c'était pas du sérieux Ok... Tu sais quoi, je pensais vraiment qu'on allait passer une bonne soirée, résultat tu était à deux doigt de b*iser une pute devant moi quand même, c'est hallucinant la vie.
J'ai même réfléchi si il fallait vraiment te pardonner mais j'ai fait le bon choix de me méfier, elle rit nerveusement. Tu sais quoi, je vais me casser et je ne veux plus te revoir, et puis tu vas bien b*iser avec tes p*tes de première classe, tu ne vas pas t'ennuyer.Elle partit aussi vite de la villa le plus vite possible, mais je la rattrapa et je lui tenais son bras vers la sortie.
Anna : - Mais lâche-moi!!!
Moi : - Tais-toi. Dis-je d'une voix ferme et poser.Et je l'embrassa pour qu'elle se taise et elle essaya de me repousser mais en vain, et je la serrai encore plus de mon corps. Anna me pris par le col et me fit éloigner d'elle, elle me gifla.
Anna : - Tu ne peux pas te jouer de moi! Je ne peux pas... Je ne peux pas... Elle prenait sa tête entre ses mains, et c'est comme si elle parlait à elle-même. Ne t'approche plus de moi!
Elle vit un taxi et elle se précipita pour le prendre et je retenais son bras encore une fois.
Je ne supporte pas de la voir avec des larmes, ça ne lui va pas. Elle ne mérite pas d'être triste.Anna : - Dégages. Mais je la retenais encore. Dégages! Son ton est un peu plus ferme, et elle me regarda avec ses yeux mouillés.
Je la lâchai et elle ne se retourna pas. Je me dirigeai vers la villa, ma sœur me vit et son regard me dit rien qui vaille.
Rachel : - Je t'ai vu avec Anna, tu n'avais pas le droit de lui faire ça, et à cause de toi, elle a pleuré. Tu te rends compte! Et en plus de ça, tu embrasses une p*te devant elle?!?! C'est quoi ce délire, je me demande si tu l'aimes vraiment...
Moi : - Tais-toi! Je fais ce que je veux! Elle me regarda outrer et elle me jeta un regard noir.
Rachel : - Saches que même si tu es mon frère, je peux te faire aussi souffrir. Dit-elle d'une voix glaciale et menaçante, et elle tourna ses talons.Je monta dans ma chambre et j'enlève le nœud papillon du smoking énerver, je jetai ma veste sur le fauteuil, je pris une bouteille de Martini et je versai dans mon verre et le bus sur le balcon de ma chambre.
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Le destin nous a réuni [EN PAUSE]
RomanceIl descendit de la voiture et il m'ouvrait la portière pour m'obliger à descendre. Je descendis de la voiture et je n'arrivais pas à le regarder droit dans ses yeux... " Pourquoi tu me fais ça ? " Dit-il d'une voix tremblante. Des larmes commençaie...