Chapitre 19 {Vous m'étranglez, je vous étrangle}

18 1 0
                                    

                                  ~

Laure reste immobile, ne comprenant rien à ce que l'homme vient de prononcer.

Elle cherche par la suite, dans la plus grande futilité, le regard de Aidan. Qui lorsque trouver, remarque, que lui, semble, par le plus grand étonnement de la jeune fille, complètement détendu. Regardant l'homme avec un regard confiant et sans mépris.  A t'elle mal entendu ces propos? Ce demande donc Laure après avoir vu, la façon donc Aidan se comporte. N'était-ce qu'un surnom des plus absurde, donné par affection pour le jeune garçon? L'orpheline, après être tant enduit de questionnement, semble peut à peut, avoir le cerveau en bouillit.

- Vous n'êtes pas très bavarde n'est-ce pas!

Réplique Hans, après avoir attendu de nombreuses secondes un signe de vie de la part de la jeune fille. Ce qui dans un sans, permet à Laure de reprendre en compte le monde qui l'entoure. 

-Ah euh oui, navré.

Réussi donc t'elle à énoncer. Alors que paisiblement, Hans c'est relever de sa chaise et se rapproche des deux jeunes.

-Ah, je comprend! Il ne te l'a toujours pas dit c'est ça! 

Aidan regarde maintenant le sol, un peu honteux.

-Non désolé, je n'ai pas réussi! J'aurais voulu en être capable, mais je préfère que ce soit toi qui lui dise. 

Laure est glacé par l'incompréhension et le désire de comprendre. Par dessous tout, elle commence à avoir gravement peur de Hans qui, laisse échapper un rire des plus diabolique avant de répondre au commentaire du garçon.

-Haha, je ne te croyait pas tant faible mon garçon! Toutefois, malgré qu'il aurait été pratique que tu lui explique en avance. Je vais sans problème, lui offrir une chaise bien confortable à mes côté et lui raconté ce qui doit être conté. Donc, chère Aidan, puisque tu est certainement fatigué, tu peu retourner dans ta chambre. Je vais m'occuper avec tendresse de ta belle hirondelle.

Et après un acquiescement de la tête, celui-ci se tourne et part de la pièce. Ne laissant même pas un au revoir à la jeune fille, qui elle, reste donc seule avec sa nouvel rencontre. Que celle-ci, sans surprise, n'aime pas grandement. Lui, qui après le dépars de Aidan, à préparé en quelque secondes une chaise pour elle et qui ne fait qu'attendre qu'elle s'y pose. Ce qu'elle fini par faire, réalisant qu'elle n'a pas vraiment d'autre choix.

-Avant de débuté, désiré vous un peu de thé.

Propose t'il, montrant avec entrain, la théière et le vers qu'il tiens en mains. Ce à quoi Laure aurait refusé, si ce n'est pas que son ventre qui n'a pas mangé n'y but de la journée, commence délicatement, à se manger lui même.

Elle accepte donc son offre et cale presque le thé qui lui est offert.

-Voudriez-vous des gâteau avec cela, vous me sembler bien affamé.

Encore un fois, son ventre dictant sa parole, elle accepte d'une vitesse fulgurante qui par l'étonnement, provoque un léger gloussement de la part de l'homme.

-Servez-vous donc, demoiselle, servez-vous!

Ce qu'elle fait sans hésitation alors que Hans d'un regard remplis de mépris regarde la jeune enfant. Ce qui par de fait, cause de la pars de Laure un sentiment tout à fait déplaisant. Un sentiment souvent expérimenté lors de moment où le silence s'installe et que l'on se découvre à avoir le ventre contracté. Le ventre contracté et les yeux ne sachant ou aller. «Pourquoi se sentiment fait donc son apparition lors d'une situation si anodine» se demande alors la jeune fille. Elle ne connait point cette homme, au contraire de Aidan et cette information qui devrait normalement la rassurer ne fait qu'empirer son doute. «Son frère, Son frère» ne fait que répété Laure dans sa jolie petite tête. Qu'allait-il lui avoué que Aidan aurait du avoué. Lui, qui avait agit de façon si étrange depuis leur réunion. Agit avec une telle froideur que La pauvre fille par moment, avait crue se trouver avec un autre homme que celui qu'elle aimait. Celui pour lequel depuis tant d'année elle ignorait les sentiment. Celui qui l'avait sans cesse protégé sans même que celle-ci ne s'en rende compte. Celui qui lorsque à ces côté, Laure se désignait comme la vraie personne qu'elle est et non celle, que la société désirait qu'elle soit. Celui enfin, qui la faisait rire comme personne et qui lui permettait de se sentir vivante. Cette homme ci, pour une raison qu'elle ignore, avait disparu ou peut-être, n'avait jamais existé. Demoiselle? entend t'elle l'homme lui énoncé après avoir réaliser que celui-ci lui parlais depuis quelques temps. Oui? trouve t'elle comme seule réponse.

🍂Quand le sang s'en mêle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant