🍂Quand le sang s'en mêle

Chapitre 9 {Mon nom est Joe, Joe Pampola}

Laure est dans une salle blanche, complètement blanche. Il y a une porte à gauche, mais elle est verrouillée avec un cadenas. Elle est seul, toute seule dans le milieu d'une pièce inconnue, attendant que quelques chose ce passe. Son dos et c'est cheveux, touche le sol et il est très froid. Laure regarde le plafond avec un regard vide, tout ce qu'elle pense de cette pièce: c'est qu'elle est trop parfaite. Pas une imperfection, la peinture est tout simplement parfaite.
Un silence très lourd règne dans la pièce. La jeune fille n'entend que sa respiration, mais quand elle entend un bruit venant de l'autre côté de la porte, elle sait que quelques chose l'attend. Pas par pas, quelqu'un s'approche de la porte, un son de clé annonçant son arrivée. Clic...clac...clic....clac, les sons ce rapproche de plus en plus. Laure prend peur et se relève pour aller à l'extrémité de la porte. Arrivé au fond de la salle son corps entier commence à se remuer et de longue goutte de sueur coule sur son frond. Elle n'a jamais eu autant peur de savoir qui entrerait dans une salle. Pourquoi l'avait t'ont emmené ici, que fait t'elle dans cette pièce?
T'en de questionnement alors qu'une simple porte s'ouvre tranquillement. Chaque grincements de la porte fait frémir de plus en plus la jeune fille qui toujours dans le fond de la salle, vie le pire moment de son existence. Puis, elle conte......1...2.....3....4.....5....6...
et la porte est enfin ouverte.

Laure: M. Stich?

Jeremy: Bonjour Laure, je me demandais justement si tu étais éveillé. J'ai désormais ma réponse.

Laure: Mais que faites-vous ici vous ne me connaissez pas, pourquoi suis-je ici d'abord?

Jeremy: Oh mon enfant, ne pose pas de question et fait place à l'action.

Laure: Quoi, mais...

Et un des murs qui formait la pièce disparaît pour se remplacer par une vitre. De l'autre côté de la vitre se trouve une sorte de chaise. La chaise est en bois et ressemble énormément au chaise d'exécution.
Il n'y a que cette chaise dans l'autre pièce, seulement dans la chaise, il y a quelqu'un: Aidan.

Laure se jette sur la fenêtre et crie de toute ces forces. Jeremy lui, s'avance également pour calmer la jeune fille. Seulement c'est difficile, car elle se remue dans tout les sens criant encore et encore. La pièce qui quelques minutes au paravant était dans un silence complet. C'est transformé lors d'une fraction de seconde, en hôpital psychiatrique.
Après au moins quatre bonnes minutes de chaos. Jeremy réussi avec un mouvement calculé, à bloquer Laure de la possibilité de bouger et de parler. Laure dépourvu d'énergie tombe alors sur le sol, les yeux rouge de colère. M.Stich enlève alors sa mains du visage de la jeune fille, mais garde c'est mains autour de sa taille, la gardant donc prisonnière.

Laure: ...Lâcher-le....je vous en supplie....lâcher-le, nous ne vous avons rien fait.

Jeremy: Justement, c'est ici que tu te trompe. Tu, n'as rien fait, au contraire de ton ami de l'autre côté de la vitre. Qui lui, a fait quelques chose de très grave, tu sais, très grave.

Il remet c'est mains sur la bouche de la jeune fille.

Jeremy: Et tu sais, les méchants, ceux qui font de très mauvaise chose. Ils doivent être punis. Tu ne crois pas?

Jeremy continue: Juste pour toi, car ont est très généreux, nous allons te laisser assister à une scène formidable. Tu veux bien? En même temps, ce n'est pas comme si tu avais le choix, mais bon.

Laure recommence à ce débattre, car elle sait très bien ce qui vient par la suite. Son cœur bat à milles à l'heure, elle ne veut pas, pas du tout.
Une porte dans l'autre salle s'ouvre et une femme au visage masquée et à la main armé d'une seringue, s'avance près du jeune homme. Laure ne voit presque rien, à cause de ses yeux remplis d'eau, mais pourtant elle ne veut toujours pas regarder. Cependant, Jeremy lui oblige et donc, elle regarde. Elle reste là, figé devant la scène, ne savant pas quoi faire.
Le silence règne à nouveau, alors qu'une aiguille ce plante dans le bras de Aidan. C'est seulement quand celui-ci ce mets à bouger dans tout les sens, qu'on entends enfin un bruit. Un bruit strident traversant les deux pièces et qui heurte par son passage, les tympans des deux kidnappeurs.