Chapitre 11 {Un peu d'alcool ne fait pas de mal!}

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{Bar du Saint-Édouard}

Joe est assis au comptoir du bar, il vient juste de demander un verre de whisky à son amis Carl, le propriétaire. Souvent, quand Pampola a besoin de réfléchir, il vient à cette endroit, reposer un instant.

Carl: Voilà pour monsieur, un bon whisky de la maison.

Joe le remercie, en bois une gorgée et comme à l'accoutumée, il est tout simplement divin.

Joe: Vous ne me décevez jamais!

Carl: On ne fait que des délices, vous ne verrez jamais un mauvais whisky, ici.

Joe: Je n'en doute point !

Carl: Vous allez bien ou sinon? Cela fait un bon moment que l'on ne vous a pas vue dans le coin.

Joe: Oui et bien pour vous, longtemps n'est que quelques jours.

Carl: C'est longtemps quand le client est à l'habitude tout les jours au bar.

Cette phrase fait rire les deux hommes.

Joe: Oui, effectivement!

Carl: Bon dite moi, qui a t'il de bon dans votre vie?

Joe: Oh rien de particulier, tout es comme à l'habitude. Mes journées sont composés du travail et de la solitude, rien de bien different.

Il regarde son verre, le secouant légèrement.

Carl: Et sur quel enquête travailler vous, vous avez l'air achevé.

Joe: Je ne travail pas vraiment en t'en qu'inspecteur, on m'as assigné un travail en t'en que garde du corp.

Carl: Mais, n'aviez vous pas arrêter de travailler en t'en que garde du corp? Il me semblait que ce travail vous avait traumatisé?

Joe: Oh oui, mais l'on avait plus besoin de moi en t'en qu'inspecteur et il m'on proposé le travail de garde du corps. Vous auriez du les voir, je ne pouvais pas refuser l'offre.

Carl: Vous êtes contient dans quoi vous vous embarquer? La dernière fois que vous avez fait ce boulot, il vous a laisser en mille morceaux.
Carl: Et puis d'abord, vous travailler sur qui? On ne vous renvoie pas pour un simple homicide.

Joe: C'est sur la famille des Amiore. Vous savez , ceux qui possède la compagnie. Ils ont subit une tuerie hier, toute les personnes qui étaient situées dans la maison, on été assasinés par une balle dans le crâne. La dernière fois que l'on a subit une telle tuerie, était la fois de l'enquête des Tiara.

Carl: Alors là, je comprend tout à fait. Vous n'auriez jamais pu être à la hauteur de cette enquête.

Et d'un air sarcastique Joe répond:

Joe: C'est très gentil, j'apprécie votre gentillesse.

Carl: Oh ne le prenez pas comme ça, vous êtes un très grand inspecteur. Seulement, dans ce genre d'enquête, il vaut mieux laisser les plus expérimentés travailler.

Joe: Je ne faisait que plaisanter, je sais très bien que l'affaire est en meilleure main avec eux qu'avec moi. Puis, j'aime bien ce travail, il me permettra d'affronter mon passé.

Il le cache, mais cela lui fait très peur.

Carl: Vous ne devriez pas, cela ne fera qu'empirer votre situation. Vous ne viendrez plus ici tout les jours, vous viendrez toute les heures.

Joe le regarde dans le blanc des yeux.

Joe: Je le sais, tout ce que vous me dites, je le sais déjà.

🍂Quand le sang s'en mêle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant