🍂Quand le sang s'en mêle

Chapitre.21 {Dissocier l'affinité}

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Son visage qui se positionne maintenant en direction du plafond, vient alors se détériorer au simple souvenir de son malheur. Un malheur qui comparé à d'autre, ne serait que miettes, mais qui dans ses circonstances, la laisse brisé et abattu.
Son corp est figé, n'étant pas capable de faire un seul mouvement. Sa peau douce comme elle est, devint livide. Alors que sa respiration, débute à augmenter drastiquement. Ses lèvres roses laisse apparaître de légères blessures par l'excessivité de morsure. Un sentiment l'enrage et la consume, il la démolit, fait d'elle une autre personne. Elle est ma foi, ENRAGÉE.

Le visage de celui qu'elle croyait connaître, celui qui dans la norme, lui apparaîtrait comme réconfort et bien-être, ne fait désormais que l'effondrer dans le sentiment de la rage et de l'horripilation. Un visage angélique de par sa délicatesse, mais qui lorsque revue, avait semblé à Laure comme une toute autre personne. Par ailleurs, cette personne qu'avait pensé connaître la jeune fille, avait-il changé, où n'avait-il simplement jamais montré sa vraie nature. Lui avait-elle mentis depuis leur rencontre et toutes leurs conversations n'était qu'un idéal qu'il avait essayé de percevoir. Sans oublier cette lettre qu'il avait créé soigneusement, non pas dans le but d'une simple blague, non, dans une cruauté diabolique. Tellement d'éléments qu'elle ne peu mettre en contact avec l'homme qu'elle aime et qui malgré leur absurdité peuvent potentiellement s'avérer véridique. Non, pour Laure, ceci ne peu être possible. Chaque moment passé avec elle ne pouvait être planifiée. Dans ses yeux, elle avait beaucoup trop de fois perçu une tendresse qu'il ne serait possible d'imaginer et qui ne faisait que prouvé son innocence. Néanmoins, son innocence sur quel sujet? Il n'a tout de même pas tuer quelqu'un. Seul la confusion de son existence perturbe l'orpheline. Tellement les événements dépourvu de sens ce sont succédées, Laure s'effondre à chacun d'entre eux malgré leur importance, grande ou misérable.
Seule un élément créer un malaise dans ses pensées. Pourquoi avoir mentis sur le déroulement du jour fatidique? Y avait t'il un élément si déconcertant, que si raconter, créerait en elle un traumatisme instantané ou avait-il simplement mentis pour cacher quoi que se soit qu'elle ne doit pas savoir.

Cette étrange démis-frère apparu de l'ombre n'aide certainement en rien la situation. Qui dès que aperçu par la jeune fille, lui avait provoqué un mal-être et une confiance inexistante. Cette homme qu'elle ne connais en rien, aurait très bien pu lui mentir en plein visage en accusant Aidan de ne pas être sa vraie personne. Pourtant, quelques chose dans le parler de cette homme avait confirmé qu'il disait en majorité vraie.
Laure n'a donc qu'une hâte et c'est de trouver réponse au près des concernés, le lendemain. Si bien-sur, celle-ci réussi à trouver le sommeil. Ce qui sera ma fois compliqué vu le nombre de pensées qui trotte dans la tête de l'orpheline. Sans oublier son ventre, qui malgré les gâteaux ingérés, manque de nourriture. Peut-être serait-il préférable pour elle de s'occuper au lieu de se morfondre. Elle avait tout de même fait un somme dans le parc et étonnamment, ne se sent pas tant en besoin de plus de sommeil. Ce qui contredit ses cernes qui, depuis la mâtiné, se sont creusées et lui donne une allure de morte vivante.
Donc, dans le besoin de se changer les idées, elle se remémore l'existence du livre qu'elle détient dans sa sacoche et se lève du lit pour le maintenir en main. Il n'y a probablement aucun élément dans celui-ci qui lui rappellera sa vie misérable. En faisant abstraction du nom de l'auteur tout de même. <Vois, sur un champs de Rose> se dit-elle, alors qu'elle se dépose sur le coin du lit, le livre à la main. La dernière fois qu'elle avait essayé d'en lire une page, la lettre qu'elle avait retrouvé lui en avait empêché. Néanmoins, à présent, elle ne voit rien qui peu l'empêcher d'en lire une petite partie.

<Première partie: la découverte du monde> et sa lecture débuta.

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