Chapitre 8 {Petit papillon s'envole}

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Laure, laisse couler une larme fébrile
le long de sa joue. Elle prend ensuite la lettre et la serre contre elle.
Elle prononce ensuite avec la voix cassée...

Laure: Tu vois, grand-mère, tu l'avais dis. Je suis la protégé de Aidan et l'es toujours été.

Laure: Tu te rappelle...tu te rappelle, quand je t'es raconté que Aidan m'avais poussé. J'étais revenu à la maison en pleurant et toi tu m'avais réconforté. Tu me l'avais dis...tu me l'avais dis à ce moment là. Tu m'avais dis:
Ma petite Laure, tu sais, depuis que tu es petite. Je te regarde jouer avec Aidan et avec le temps, j'ai remarqué que Aidan, essaye toujours de te protéger. Par exemple, il n'y a qu'hier soir, vous jouiez dans la cour et lorsque, tu as failli tomber. Sans même se poser de question, il s'était porter à tes trousse, tel un gentleman.
Alors dis moi, t'a t'il vraiment poussé.

Laure: Finalement, tu t'en rappelle, Aidan était arrivé et il avait tout expliqué disant aussi qu'il était mille fois désolé. Il avait simplement trébuché accidentellement. C'est ce jour là que j'avais compris qu'il serait toujours là pour moi. C'est toi qui me l'avais fait comprendre....c'est toi..

La jeune fille, fond alors en larmes, pour la quatrième fois en cette journée.

C'est là, que miraculeusement, le ciel décide de pleurer avec elle. Elle reste assise, mais tout de même,décide de rentrer rapidement dans son sac, le livre et la lettre.
Elle sent alors, la pluie lui tomber délicatement sur les joues . Elle sent aussi l'eau, progressivement se mêler avec sa chevelure rouge. Ce qui rend c'est cheveux, de plus en plus lourd. C'est vêtements eux, deviennent de plus en plus trempé et de même, deviennent plus transparent.

Laure lève les bras, haut dans les airs. Elle veut sentir l'eau couler en douceur, sur sa peau de pêche. Elle regarde le ciel, le ciel est gris. Il décrit à merveille cette journée, ce dit la jeune orpheline. Dire que ce matin, elle se trouvait dans un champ, récupérant de jolies roses.
Oh les belles roses, ça lui rappelait sa jeunesse, sa jeunesse et sa solitude.

Dans la famille Amiore, les parents ont toujours été très absents. Seulement, quand Laure était petite, elle ne réalisait pas cela.

{Flash back}

Anne Amiore rentra chez elle le dos alourdit. Elle avait travaillé fort ce jour là et en était très épuisé. Quand à son mari, il allait revenir plus tard, comme tout les soirs. Tous c'est enfant et les Wilson, était assis autour de la table, ils n'attendaient que Anne, pour commencer à manger.

Anne: Vous aller bien, votre journée c'est bien passé, la mienne fut épuisante.

Enfants Amiore: Oui, mère!

Margaret : Je suis aller avec petite sœur, marcher dans les pleines.

Anne: Et c'était bien, vous vous êtes amusé.

Laure: Oui, c'était vraiment amusant. Ont as même rapporter de jolies fleurs et des cailloux. Tu pourras les regarder après le souper!

Anne: Cela me fera grand plaisir, je suis sûr qu'elles sont magnifiques, mais pour l'instant, mangeons, mon ventre n'en peu plus.

Et toute la famille, commencèrent à s'empiffrer dans toute la bonne nourriture.

...Quelques temps plus tard

Après avoir fini de manger, les enfants ayant demandé la permission, sortirent de tablent. La petite Laure, elle, resta assise. Elle ne voulait qu'une chose, que sa mère regarde leurs trouvailles. Elle avait cueilli c'est fleurs, rien que pour elle et voulait à tous pris lui en offrir.

🍂Quand le sang s'en mêle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant