Un silence règne dans la rue. L'on entant même plus le chant des oiseaux. Le seul son que l'on peu entendre, viens de la bouche d'une jeune fille. Une jeune fille brisée en deux par l'annonce de la mort de la moitié de sa famille. Laure a une image horrible qui défile dans sa tête. Celle de sa propre famille, assis sur un canapé. Seulement, au lieu d'un sourire au visage, sa famille détient une balle dans la cervelle. Du sang, il y en a partout, sur le tapis, sur le divan. Aucun objets n'est épargné.
Laure regarde autour d'elle, elle se demande si elle est toujours en vie. Tout autour d'elle s'écroule, le sol se dérobe et elle tombe doucement dans un trou noir. Un tou noir très profond. Au bout du trou, ce trouve une porte, une porte jaune. Laure se demande si elle dois traverser la porte, de l'autre côté, ce trouve peut-être le paradis. Cependant, une personne sort de cette porte avant que Laure peut prendre sa décision. C'est un jeune garçon, il porte un costard et de belles chaussures cirées. Il lui tend la main, un sourire au visage. Laure, essuie ses pleures et prend la main du garçon. Pas à pas, ils traversent ensembles un couloir lumineux. Pour qu'enfin, arriver à la fin du couloir, une lumière infinie éblouisse la jeune fille.Laure se trouve dans une chambre d'hôpital. Un garçon est assis juste à côté de son lit et une jeune femme, s'accote à se dernier. Laure ouvre enfin les yeux.
Les deux membres de sa famille se jettent sur celle-ci, les larmes au yeux.Reece: Oh, tu es réveillée, comme tu nous as fait peurs.
Il essuie ses larmes avec un mouchoir brodé.
Margaret: Ne nous refait plus jamais cela, tu comprends, jamais. Nous avons déjà assez perdu. Nous ne voulons pas te perdre également.
Margaret renifle toute l'émotion qu'elle subit et ensuite, essuie ses larmes comme Reece il y a quelques secondes.
Laure relève la tête tranquillement, tout lui paraît encore irréel. Elle observe tranquillement le visage de son frère et sa sœur. Puis, elle observe la pièce dans laquelle elle se trouve. Vide complètement vide. Son souffle s'alourdit et son cœur se remet à battre la chamade. Elle se remémore les événements passés. Elle cris, elle cris de toute ces forces dans sa tête. Elle voudrait sortir de son corps et partir loin d'ici. Pourtant, elle reste là, dans ce lit, à souffrir. Son cœur lui fait mal, il est fendu. Fendu en milles morceaux par une fraction de secondes, une fraction de secondes qu'elle n'aurais jamais du vivre. Une fraction de secondes qui aurais fallu oublier au premier regard.
Malgré tout, Laure se lève doucement du lit, un peu étourdi.Margaret: Le docteur a dis que tu n'avais rien et donc, que dès ton réveil, nous pouvions partir. T'es souliers son là bas.
Laure prend délicatement les souliers entreposés dans le coin de la pièce et les enfilent, sans dire un mot.
Reece: Tu sais, notre maison est complètement entouré d'inconnus, Ça fait bizarre.
Margaret: Laure, je comprend ce que tu ressens, l'on est dans le même pétrin, tout les trois. Seulement, pour traverser cela, il serait mieux que tu nous parle.
Laure: Désolé, je ne devrais pas me comporter ainsi.
Margaret: Ne t'en fait pas, nous ne réalisons tous pas, ce qui vient de ce produire.
Alors que cette dernière, prononce cette énoncé. Une larme, coule le long de sa joue. Elle a également, un regard vide. Un regard que l'on ne veut jamais apercevoir, sur le visage d'un proche. Margaret essaye de rassurer son frère et sa sœur, mais dans son cœur, tout bascule également. Ont lui a annoncé qu'elle venait de perdre la moitié de sa famille et de plus, son propre mari. L'homme avec qui elle avais partagé 4 ans de vie commune. 4 ans d'amour qui s'envole, en ce jour morbide. Laure en est consciente, elle vois à travers le visage de Margaret et Reece, une douleur qu'elle n'a jamais vue auparavant.
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🍂Quand le sang s'en mêle
Mistério / Suspense--------------------- Dans un village éloigné de toute population. Laure, une jeune fille de 16 ans, fut mise au monde par Léon et Anne Amiore. Ce couple marié depuis déjà des années avait déjà eu cinq enfants avant l'arrivée de Laure. Il y avait Ma...