🍂Quand le sang s'en mêle

Chapitre 14 {Les poissons}

                                  ~
La nuit est tombée et la jeune Laure se promène toujours dans la ville. Ses pieds son ravagé et son ventre, ne peu arrêter, de se faire entendre. La pauvre fille n'avait plus d'argent depuis qu'elle les avait tous dépensé dans l'hôtel et la soupe. Elle n'avait donc pas pu s'offrir un repas de la journée et son ventre désormais, ne fait qu'en demander. Du pain, de la soupe ou même un ragoût, peu convenir au petit ventre de l'orpheline.
Elle sait très bien, qu'elle pourrait simplement retourner chez elle et l'on lui offrirait une tablée complète de c'est chose. Simplement, elle n'en était pas capable.
Ce matin, elle ne voulait pas rentrer, car elle avait besoin de temps pour elle. Seulement désormais, c'est la honte qui lui en empêche. La honte d'avoir fuis en les laissant seul. Elle craint qu'ils lui en voudront, qu'ils la détesteront.
Laure aime mieux mourrir de faim, que de voir cette déception s'étendre sur le visage de ses proches.

C'est pourquoi elle continue de marcher, cherchant désespérément quelque chose à se mettre sous la dent.
                                ~
Ne trouvant rien après une heure, Laure décide de se poser dans un Park et s'y reposer un instant.
Le Park est ravissant, mais les paupières de la demoiselle ne peuvent s'empêcher de vouloir se clore. Tellement la jeune fille a marché et tant son ventre à gargouillé, le désire de sommeil arrive plus tôt que prévu. La fatigue prend alors le dessus sur la douleur et elle tombe dans un sommeil profond.
Autour d'elle, un silence s'installe. Les arbres s'arrêtent de virevolter, le vent ne souffle plus et seul quelques personnes laissent derrière eux, un petit sons qui laisse présager leur passage.
La vie, prend une pause.

             {Dans la tête de Laure}

Une brise, traverse les cheveux de la jeune fille qui s'accote sur le pont. En dessous de celui-ci, une eau claire ruisselle, le long de la rivière. Dans cette eau, ce trouve de tout petit poissons multicolores, qui sautent dans tout les sens.
Laure les regarde, fasciné.

Petite Laure: Père, regarder! Il y a  une multitude de petits poissons qui saute dans la rivière.

Mr. Amiore, s'approche de sa petite fille et regarde où elle pointe le doigt.

Léon: Oh, qu'ils sont beaux! J'aimais tant les regarder, lorsque j'avais ton âge. Lequel préfère-Tu, petit ange?

Laure, qui regardaient sont père, retourne sa tête vers les poissons et réfléchis.

Petite Laure: Um.. Je pense que le jaune avec une tête orange est le plus jolie, il a une tête rigolote, hihi.

Léon: Il est vraie que sa tête est amusante, tu ne trouve pas qu'il te ressemble!

Petite Laure: Ça, ce n'est pas très gentil. Il est très jolie, mais il est un jolie poisson, pas humaine. Haha!

Léon: Je le sais très bien, haha, je n'ai dit cela, que pour te faire rire.

Petite Laure: J'espère! Haha

Malgré que tout deux, trouve agréable ce moment, Léon revient à la réalité et se rappelle de l'événement à lequel ils devaient accéder.

Léon: Bon aller, les poissons sont agréable à regarder, mais ont nous attend à la maison. Tu ne voudrais quand même pas manquer l'arrivée des Wilson?

Petite Laure: Oh non, pas du tout père, je suis si excité de pouvoir leur présenter la maison. Je souhaite qu'ils se sente, comme si c'était la leurs.

Léon: Alors, allons-y! Il sont supposés être déjà arrivés.

La petite Laure prend donc la main de son père et ils commencent à marcher mains dans la mains sur le pont des poissons.
                                ~
Arrivé à la maison, une voiture c'est installé devant l'entrée et plusieurs domestiques sortent des bagages du coffre de celle-ci.

Laure regarde sont père furtivement et avec excitation émet...

Petite Laure: Ils sont arrivés! Ils sont arrivés!

Elle lâche ensuite la main de Léon d'un coup sec et cour le plus vite possible, pour aller dans la maison.

Dans la demeure, plusieurs bagages encombres l'entrée, mais cela n'importe peu à la petite fillette, qui ne veut que voir les nouveaux arrivants.

Mr et Mme. Amiore leur avait annoncé il y a quelques semaines que les Wilson's viendrais vivre avec eux et depuis cette annonce, Laure ne peu se contenir.

Elle court, elle court, jusqu'à arriver au deuxième salon. Dans la pièce, se dispose un divans contenant trois personnes et devant eux, la famille entière des Amiore.
Dans le premier divans, un homme gigantesque au lunette ronde, tient à sa main une tasse de thé qu'il remue avec lenteur. Ensuite, à ces côtés, une femme au cheveux brun foncé et au sourire tendre et aimable. Finalement, le dernier de la famille est un petit garçon. Il est vêtu d'un petit costards, de resplendissant yeux gris et d'un sourire grand comme le monde.

Laure sait, dès l'instant de son arrivée, qu'elle vas les adorer.

                                 *

Quand Laure se réveil, il fait complètement noir autour d'elle. Seul quelques lampadaires lui éclaire le passage de terre qu'y se trouve à ses pieds. Les magasins, qui autrefois grouillaient de vie, se sont calmés. Pourtant, malgré cela, de nombreux piétons continuent d'arpenter les rues de la ville.
Laure, sachant que la nuit attire les criminels, prend la décision de se lever et pour le reste de la soirée, rester éveillé.
Également, c'est jambes maintenant reposé, elle peu à nouveau marcher.
Rue après rue, une grande marche vient encore de débuter.

                                 ~

Plus tard dans la soirée, arrivé dans un cartier inconnu, Laure se fait bousculé par un homme qui parait très pressé. Il porte un manteau sombre et l'on pourrait croire qu'il souhaite cacher son visage.
La jeune fille le trouve étrange, mais ne se pose pas plus de questions.
Surtout que, juste après être bousculé, dans l'énervement, elle prononce...

Laure: Arg, auriez-vous au moins l'amabilité de vous excusé? C'est très grossier de votre part!

l'homme ne l'a regarde même pas et continue de marcher.

Laure: C'est ça, partez comme si de rien n'était, comme si je n'étais qu'un objet sans importance que l'on peu bousculer quand t'on le désire.

Laure se retourne et regarde au ciel, quel grossier personnage, ce dit t'elle.

Seulement, alors qu'elle vient de finir sa phrase, l'homme au manteau sombre s'arrête et dit...

Inconnu: Laure?