Chapitre 7 {Enfin, de l'air frais}

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Laure reste assis sur ce banc pendant de longues minutes mais, après un moment, elle décide de partir. Elle n'allait quand même pas rester à jamais, sur ce banc, pleurer sur son sort. Cependant elle ne décide pas d'aller rejoindre l'inspecteur et les autres, elle préfère marcher. Marcher pour elle est un moyen de ce vider la tête et c'était justement ce qu'elle avait besoin. Pas par pas elle avance, dans les rues de la ville. Elle croise plusieurs magasins, un coiffeur, un boucher, un restaurant. Justement, lorsqu'elle passe devant le restaurant. Son ventre commence à grognée, elle a faim. Il commence à faire noir et la pauvre, n'a rien englouti depuis ce matin. Elle regarde donc dans son sac et magiquement, y trouve de l'argent. Justement le montent qu'elle avait besoin et même plus, pour obtenir une soupe bien chaude. Ont est l'été, mais pour une raison inconnue, Laure a froid.
Dans le restaurant, une lumière chaleureuse allume la pièce. De petite table ronde ou plusieurs familles mange, envahie l'endroit. Ils ont tous l'air heureux, à rigoler. Laure demande une table et on lui donne. Elle se sent si seule, elle donnerait tout pour être à la place de ces gens.
Après un certain moment, un serveur lui apporte un bonne soupe chaude. Elle contient des légumes et de la viandes, un classique. L'orpheline prend une cuillère et boucher par boucher, elle déguste son repas. Cette soupe lui rappelle les temps froid et la savoureuse dinde, du jour de l'an. Le jour de l'an de cette année était magique. Elle se souvient encore de la table remplie de nourriture et du sourire sur le visage de la famille.
Le moment où, elle et ces frères étaient aller porter des paniers remplis de produits diverse. Au familles, qui n'avaient pas la chance de s'en procurer. Leurs visage rempli de bonheur, avait comblé la soirée.
Que de beau souvenirs reviennent, dans la tête de la jeune fille.

La famille Amiore, revenaient de la messe du jour de l'an. Il riaient tous de Taylor, qui avait chuté, devant tout l'église. Ils se moquaient tous de lui en l'imitant tomber. Les parents essayaient de contenir leur enfants, mais ils étaient tous plier de rire face à la situation. C'est seulement rendu chez eux, qu'ils avaient arrêté de ricaner, ils étaient maintenant excité. Surtout la petite Sofia qui, chaque année, raffolait de cette fête. Toute la famille ensuite, avais enlever leur habits de neige et c'était précipité sur le buffet. Ils avaient tous un grand sourire un visage, ils allaient enfin pouvoir se régaler.
Après avoir exécuté la prière, le vacarme commençait. Tout le monde se jetaient sur la nourriture, tel des sauvages. Ils riaient en cœur et discutaient de tout et de n'importe quoi. De la dinde, des crevettes, du pain, de la purée de patate, tout était à leur disposition. La famille raffolaient peut-être de ces mets, mais dès que les desserts fis leur apparition. Ils aimaient cette fête encore plus. C'est à sept heure, que toute la famille, le ventre bien remplie. Était allé porter de bon repas à des familles au besoin. En équipe de trois ou quatre, ils s'étaient dispersés dans la ville à la recherche de personne dans le besoin. C'était l'idée de Laure de faire cette actions. Elle avait vu faire les quatre filles du docteur March et elle voulais faire de même. Ce qu'elle n'avait pas regretté. Ils étaient finalement tous rentrés à dix heures, tous plus fatigué les uns que les autres. Laure aurait voulu prolonger cette journée, comme toujours bien sûr.

Laure reviens à la terre quand sa soupe est fini. Elle regarde autour d'elle et réalise que tout les familles qui étaient auparavant au tables du restaurant, étaient tous partis. Elle a tellement pris de temps à la déguster, qu'elle est désormais seule dans la grande salle. Elle n'a plus rien à faire ici, alors elle paye son repas et sort du restaurant. Dans la rue, tout est noir. On peu voir la lune, haut dans le ciel. Laure ne veut toujours pas rentrer alors, elle prend la décision de continuer à marcher.
En marchant, elle croise un cimetière. Le cimetière où c'est grands-parents son enterré. Pourquoi pas, se dit-elle. Cela faisait un bon moment, qu'elle n'était pas aller les visiter. Elle n'avait rien à faire après tout.
L'entrée du cimetière est magnifique, elle est en pierre et est recouverte de verdure. Le nom du cimetière ne paraît même pas, tellement il est ensevelie. Laure y rentre tranquillement, comme quand elle était jeune. Quand elle était jeune et que sa grand-mère venait de mourir. Elle venais tout les vendredis, parler à sa grand-mère.

Cette vieille dame, encore en vie, était une sainte. Elle aidait tout le monde sans exception. Laure se souviendra a jamais, le jour ou elle avait perdu tache. Tache était un ourson en peluche qu'elle avait étant bébé. Puis quand arriva le jour où elle perdu tache. La pauvre jeune fille ne pouvait s'empêcher de pleurer. Elle était seule dans son lit en criant:

Laure petite: C'est pas possible, non c'est pas possible.

Sa grand-mère passant juste à côté, était entrée la réconforter. Elle lui avait dit:
Grand-mère Amiore: Oh ma pauvre fille, ne t'en fait pas, je suis sûr que tache se porte très bien. Dans la vie, il y aura toujours un moment où tu penses que tout s'effondre autour de toi. Cependant, n'oublie pas que ta famille est là et que peut importe les circonstances, le bonheur te reviendra.

Et poufs comme par magie quelques jours plus tard, tache avait été retrouvé.  Laure n'avait jamais oublié ce moment. C'était un ans, avant la mort de la vieille dame. La petite Laure n'était encore, que petite fille, quand l'évènement c'était produit. Pourtant ce jour l'avait marqué à jamais. C'était la première fois qu'elle était confrontée à la mort.

Le cimetière est exactement comme Laure s'en rappelle. Ranger treize et dixième tombe (elle l'avait mémorisé). C'est grands-parents avaient été enterrés dans la même tombe. L'orpheline trouvait cela romantique, malgré le fait qu'elle n'avais jamais eu la chance de rencontrer le vieillard. Elle 
décide, de s'assoir au côté de la tombe. Se sentir proche d'eux, rien qu'un instant.
Elle regarde autour d'elle puis, prend son sac de tissu, pour y chercher son roman favoris. Elle fouille, elle fouille, mais elle ne trouve pas le livre qu'elle recherche. Cela dit, elle trouve un autre roman, celui d'Aidan.
Elle réalise alors, qu'elle n'a jamais eu l'occasion de le lire. Puis justement elle se rappelle l'avoir mis dans son sac, pour la motiver.
Pourquoi pas maintenant, ce dis t'elle. Elle est confortable, vider de ses pensées. Elle trouve ce moment approprié. Elle dépose alors le livre, sur ses genoux et caresse le livre avec délicatesse. Elle examine chaque détail du livre du plus gros au plus petit. Elle avait complètement oublier le titre.

Laure: Vois, sur un champ de rose, qu'elle beau nom

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Laure: Vois, sur un champ de rose, qu'elle beau nom.

C'est là que, dans crier gare. Elle observe, un petit papier qui ressort, sur un côté du roman. Elle le retire délicatement, c'est un papier plier en quatre. Elle jurerait, ne l'avoir pas vue le jour, qu'on lui avais remis. Curieuse, elle déplie la feuille plis par plis, c'est un message. Elle a peur tout d'un coup, peur de ce que pourrait contenir le message. Elle voit soudain, le nom d'Aidan qui surgit de la lettre. Elle comprend alors de quoi s'agit cette lettre et elle ne veut pas la lire. Non, pas du tout. Néanmoins, c'est tout de même ce qu'elle fait, elle commence à lire.

               Chère Laure Amiore,
Je ressent depuis déjà quelques jours, une ambiance bizarre autour de moi. Comme si quelqu'un me regardais, mais de façon mal sainte. Je sais pourquoi et je sais qui, mais je ne peu pas te le faire assavoir. Je voulais simplement que tu sache que si...
Sache, que je serais toujours à t'es côtés, même si je ne suis pas vraiment là. Tu es la personne qui conte le plus pour moi, dans ce stupide monde. Depuis notre enfance tu as illuminé mon chemin. Avec ton sourire éblouissant, tu m'as rendu heureux. Je suis un connard, de ne te l'avoir jamais faire paraitre. Alors que devant moi ce trouvait la plus belle fille du monde. Prend soin de toi et tout ira bien. Il ne veulent que moi, alors ne t'en fait pas. Tu iras me voir au cimetière, c'est déjà ça.
Vie une belle vie, tu le mérites.
                         Adieu,
   
                    Aidan Tiara

🍂Quand le sang s'en mêle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant