Lestrange ou Desources

Chapitre 10: Une revelation qui remets le doute en question

Le lendemain, les cours reprirent et à ma grande surprise le professeur McGonagall arriva en retard ce matin là elle s'excusa et nous fis rentrer. A la fin des 2h interminables de cours j'alla au terrain de Quidditch pour aller voire le match sui oppose Serpentard et Serdaigle . En arrivant je m'installa près de Draco et un autre garçon de ma maison s'installa à côté de moi.

-Salut.

Me dit le garçon.

-Salut on ne se connais pas je crois.

Lui ai-je répondue

-Non c'est vrai Marcus Flint sa fais longtemps que je veux me présenter.

-Ah oui moi c'est Lucie Lestrange heureuse de te rencontrer

Le match commença et Marcus commença a critiquer chaque joueur de Serdaigle et à donner des conseils aux joueurs de notre maison. Cela me fis sourire on aurai dit qu'il voulais jouer.

-On dirait que tu veux jouer

Lui declarai-je

-Oui le Quidditch est un sport qui m'intéresse énormément

M'a t'il répondu

Le match se termina et Serpentard gagna a 250 à 100.De retour a Poudlard a l'heure du déjeuner j'alla a la salle de défense contre les forces du mal pour rattraper mon cours que j'avais manqué quelque semaine auparavant mais bon heureusement le professeur Quirell est un bon professeur et vue qu'il me restait une heure j'en profita pour aller manger avant de retourner au cours de défense contre les forces du mal. Mais Marcus m'avais attendu avec Draco et Pansy donc je n'ai pas mangé seule.

-Regarde Lucie il y a Dumbledore

Me dit Pansy

- Oh oui je me demande ce qu'il vient faire la tous le monde a déjà mangé.

Ai-je répondu

-Lucie peut tu venir dans mon bureau s'il te plaît

En ne disant rien je m'exécutai avant même d'avoir finis mon plat, il m'emmena dans son bureau sans que je sache pourquoi. Arrivés à son bureau je remarquai qu'il y avais déjà un homme Dumbledore me le présenta et il s'agissait de Cornelius Fudge qui voulais me voir.

-Bonjour Lucie.

Me dit l'homme

-Bonjour monsieur.

Lui ai-je répondu.

-Tu dois sans aucun doute te demander pourquoi je t'ai demandé de venir et bien c'est pour te parler de ta lettre que tu as reçu avant Halloween.

Me déclara le ministre.

-Et bien alors qu'est-ce que cette lettre peut elle bien avoir de particulier.

Je sortis la lettre de ma poche et lui tendis

-Et bien je vais peut être te surprendre mais ce n'est pas comme tu le crois Bellatrix qui as écrit cette lettre c'est Florina Desources qui est ta mère et si elle t'a appelé Lucie Lestrange sur cette lettre c'est parce qu'elle savais que tu croyais que était Lestrange étant donné que tu lui ressemble énormément.

M'expliqua le ministre

-Cornelius vous y allez peut être un peu fort avec cette pauvre petite elle recherche sa famille et sachez qu'elle a répondue à cette lettre et l'a envoyé a celle qu'elle croyais être sa mère et comme vous le savez le courrier de notre chère Bellatrix doit être contrôlé c'est pour sa que c'est moi qui l'a possède tient Lucie je l'ai contrôlé et tout va bien tu peux la lire.

Dumbledore me tendis une lettre signée d'un BL faisant référence à Bellatrix Lestrange

A voix haute je lis:

-Le jour où tu es venu dans ce monde était le jour où ma vie a changé pour toujours. Je n'ai jamais pensé qu'il était possible de ressentir un tel regret depuis que je t'ai laissé devant cet orphelinat moldu. Un regard sur ton beau visage et je me suis sentie folle de joie mais également totalement terrifiée je me sentais pas prête d'avoir un enfant. Mais après ces 11 années vécue sans toi je me suis rendu compte que être ta mère est un tel cadeau. Toi, ma fille, tu es un si merveilleux cadeau. Je t'aime pour toujours.

Mais avant de quitter le bureau de Dumbledore je demanda

-Alors qui est ma mère Florina ou Bellatrix?

Les 2 hommes me regardèrent avec une mine abasourdie

Avant que Dumbledore déclare

-Les réponses que tu attends Lucie ne sont présentes qu'à un seul endroit ici

Il pointa son doigt en direction de mon cœur

-A qui fait tu le plus confiance??

Me demanda le directeur

-Aux lettres de ma mère les lettres de Bellatrix.

Et je quitta le bureau avec le doute puissant du début d'année