Chapitre ⑮❥

553 34 221
                                    


Chapitre 15
- Montagnes rudes -



Cet endroit ne m'avais vraiment pas manquer...

Le bus roule lentement, me permettant d'admirer les cerisiers pointant les bourgeons de leurs fleurs sur le bord du chemin, en route pour ma rentrée tant appréhendée.

Les mains tremblantes, et inconfortable sur le siège, je ne fais que bouger.

J'appréhende vraiment... Je rentre mes mains dans mes manches.

Ce matin j'ai quitter la demeure de Shancai, en prenant très tôt le bus. Je suis passée devant ma maison ce qui m'à fait un déchirement.

Je verrais mes meilleurs amis à midi au self, je leur en parlerais.

Le bus s'arrête à nouveau à un arrêt, et un garçon que je reconnais immédiatement rentre parmi d'autres personnes. Il se dirige vers moi.

Moi : Jungkook ? Étonnée.

Il pousse mon sac et s'assois à côté de moi

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.



Il pousse mon sac et s'assois à côté de moi.

Les filles autour commencent à chuchoter et à le dévisager comme des groupies en chaleur. Leurs pensées sont vraiment pathétiques...

Mais bon je suis personne pour juger et puis, pour le commun des gens c'est vrai que Jungkook est plutôt beau. Enfin... quand il essaye pas d'assassiner quelqu'un.

Je lève les yeux et me colle le plus possible à la vitre.

jungkook : Alors comme ça tu me trouve plutôt beau.. Dit-il chuchotant, en souriant comme un gars sympa et normal. Je pensais que je te dégoûtais.

Alors c'est ça que ça fait quand quelqu'un lit dans nos pensées. C'est vraiment désagréable.

moi : A l'extérieur oui. Mais pas à l'intérieur. Continuant de prendre un peu mes distances.

Il reste silencieux et tourne la tête pour regarder l'avancée du bus.

Pdv Jungkook

Elle me regarde comme un monstre. Si y'a bien quelqu'un chez qui je ne veux pas voir ce regard, c'est bien chez elle..

Je soupire.

Elle ne m'apprécie que quand je fais le gars normal, et que je me rentre dans les cases que nous impose la société.

Je suis un peu déçu, qu'elle est une vision si étroite des choses. Mais bon. Je suppose que je n'aurais pas dû prononcer des mots pareil, la traiter de dégât collatéral, et la jeter au sol. J'y suis aller peut être un peu fort.

𝐄 𝐱 𝐪 𝐮 𝐢 𝐬 𝐞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant