Sa femme de ménage.

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Conversation téléphonique

- Alors, comment se passe ton premier jours de travail ?
- Ça pourrais être pire.
- Oulah, je sens déjà qu'il y'a quelque chose qui ne vas pas.
- Je te raconterais plus tard, je dois bosser.
- Tu viens à peine de me téléphoner !
- Je sais, je te promet de t'appeler plus tard.

Je raccroche et range mon téléphone dans la poche de mon pantalon.
J'ignorai qu'être femme de ménage étais à ce point pénible et fatiguant, avoir une éponge et un balais sous le bras a longueur de journée, c'est pénible, sincèrement.

Bailey au moins a son propre bureau et se repose, les fesses sur la chaise, les yeux river sur l'écran face à elle.

L'immense maison de trois étages n'étais pas aussi simple sale que je pouvais l'imaginer, elle étais même presque propres avant mon arrivé, mais je dois avouer que sa m'a fais du bien de décompressé en fessant le ménage avec mes écouteurs sans fils enfoncé dans mes oreilles.

Je jette un regard sur l'horloge qui est au dessus des escaliers, 11:58.

Midi est la pause, je souffle et entre dans le bureau de Bailey.

- C'est la pause, je peut sortir manger ?

Me lançant un regard sous ses lunettes de vues, elle hoche la tête.

- Tu peut me rapporter un café sans sucre, s'il te plais ?
- .. Ouais.

Non mais sincèrement, t'a des pieds et des mains, non ? Tu t'en servira quand ?

Je secoue la tête et sort de la villa, en collant le téléphone contre mon oreille.

- Ouais bébé ?
- Ouais ?
- C'est la pause,tu veux quand ce retrouve ou ?
- Dans un lit, chez moi. -rire-
- C'est très drôle, je me fais pipi dessus.

Je roule des yeux en m'installant sur le côté conducteur.

J'entendais le rire de mon meilleur ami à travers le combiné, ce que me fis sourire.

- Au café de ce matin ?
- Ok, je serais dans quinze minutes.
- D'accord, à de suite bébé.

Il raccroche et je met le contact, quelqu'un tape contre la vitre, je sursaute et émis un cris.

- Putain mais t'es malade ?!

Je baise la vitre tout en soufflant, Liam se présente devant moi, sourire moqueur encré sur ces lèvres.

- Combien de fois je vais vous dire de ne pas haussez le ton avec moi, et depuis quand vous me vouvoyer ?

Merde ! Je me mord là lèvres, et me gratte la nuque.

- Désoler..
- Où vous allez ?
- Je vais déjeuner avec mon meilleur ami.

Il fronce les sourcils.

- Vous appelez votre meilleur ami « bébé » ?

Je secoue la tête en me mordant la joue.

- Qu'est-ce que sa peut vous faire ?
- Sa m'embête.

On se regard pendant un certain temps, avant que je ne décide à détourner le regard vers le pare-brise.

- Je dois y aller, je serais de retour à 13:00.

*•*•*•*

- Bébé ?

Non mais j'y crois pas ! Quel culot ce mec !

- Allo ???

Non mais où je suis tombé ?! C'est pas possible ! Je ne peut pas avoir un peu de...

- BÉÉÉBÉÉÉ !

Je sursaute en regardant au alentours, des gens nous regardais du coin de l'œil , je regarde mon meilleur ami droit dans les yeux.

- Çava pas ou quoi ?! Qu'est ce que t'a à crier comme ça ?!
- Moi ?! Mais c'est toi qui est dans les nuages !
- Moi ? N'importe quoi !

Je fixe mes haricots vert comme si que c'était la chose la plus satisfaisante au monde, je finis d'un seul trait le peu d'eau qui me restais, sentant le regard brûlant de mon adversaire qui étais face à moi.

- Bébé.. ça ne vas pas ?
- Si, je vais bien..c'est juste que ce mec est un con, c'est tout.
- Tu ma dis qu'il est beau, voir magnifique, pourquoi tu n'est pas heureuse de passer toutes tes nuits chez lui ? Tu vas peut-être le pécho qui sais ?
- Mais t'es un grand malade, toi !
- Tu ma dis qu'il a un beau cul, non ?
- Bébé ! Arrête !
- Bah quoi ? Dis toi plutôt que tu a de la chance.
- T'es un idiot.
- C'est de cette manière que tu m'aime, pas vrai ?
- Plus que tout au monde mon amour.

On se souris mutuellement avant de terminer le reste de nos plats, et que la pause prend fin.

*•*•*•*•