Chapitre 84 : Il était temps d'ouvrir les yeux

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Coucou les gens ! Tout d'abord, je vous préviens, ce chapitre est un peu ... hum comment dire ... Violent ? Déroutant ? Bref, vous jugerez par vous-même. 

En attendant, je vous souhaite une bonne lecture car moi j'me suis éclaté à l'écrire. J'ai mis 45 minutes pour le pondre donc autant vous dire que j'étais à fond. 

A bientôt pour la suite !  

PeAcE !  



PDV ANNA : 

Une odeur d'essence me pique le nez. Je peine à ouvrir les yeux mais je me force. Une fois ouvert, je n'arrive même pas à poser mon regard sur un point fixe. 

Je les referme et grimace en portant une main à ma tête. Lorsque je retire ma main, je sens un liquide épais et chaud en couler. 

Moi : " Et merde." Pestais-je difficilement. 

Je lève mon bras et tente de me hisser grâce au comptoir de la cuisine qui étrangement est encore intact

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Je lève mon bras et tente de me hisser grâce au comptoir de la cuisine qui étrangement est encore intact. Une fois mes deux jambes sur le sol, je suis prise d'un violent vertige. Je me rattrape de justesse. 

Tout à coup j'ai chaud. Je plisse les yeux. Une fumée pénètre alors dans l'habitacle du véhicule, du moins, de ce qu'il en reste. 

J'entends râler plus loin. Je fais maladroitement quelques pas avant de tomber nez à nez avec Benjamin. Il se tient la tête en grimaçant, mais lorsque son regard rencontre le miens, alors là, tout devient limpide. 

Il affiche un sourire mauvais avant de s'emparer de son arme à sa ceinture. J'ai juste le temps de me jeter sur le coté pour éviter une balle. 

Benjamin : " C'est finit Anna ! " Hurle t-il en rigolant. 

Son rire était diabolique. Comme s'il venait de perdre toute sa tête dans l'accident. La fumée commençait à sérieusement me monter à la gorge. Je tousse, révélant ma position. Je l'entends marcher à travers les décombres. Le camping-car n'est pas très grand. Je ne vais pas pouvoir jouer à cache-cache encore très longtemps avec lui. 

Une seconde détonation résonne dans l'habitacle. Je me jette de nouveau sur le coté pour atterrir derrière la table qui s'était arraché du plancher. 

 

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J'ai pas peur d'eux..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant